La pauvreté et la précarité sont intuitivement entendus comme générateurs de stress, mais aussi de potentiel déséquilibre alimentaire, de repos perturbé et de comportements à risque plus fréquents (automédication via l'alcool et le tabac). Dès lors, agir sur une seule des dimensions de la pauvreté (l'absence d'épargne) permet-il d’espérer des améliorations sur la santé des bénéficiaires ? Exploration.
Type de support
Type de document
Editeur
Réseau Financité
Sommaire
Thématiques liées
Code de classement
FA-JERU2015
Indice du code de classement
4
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
FA-JERU2015-4
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2015
Jour d'édition
17
Date d'édition
17/09/2015
Mois d'édition
Septembre