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Les placements éthiques 3e édition 2001

Soumis par Anonyme le
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Alternatives économiques
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1291-1704
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2001
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2001

Les incitants fiscaux à l'épargne sont-ils équitables en Belgique ?

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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DE-MARC2013-2
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Année d'édition
2013
Date d'édition
12/2013
Mois d'édition
Décembre

Comment améliorer l'incitant fiscal à l'épargne en Belgique ?

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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DE-MARC2013-1
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Année d'édition
2013
Date d'édition
12/2013
Mois d'édition
Décembre

Sauter le pas de l'épargne

Soumis par Anonyme le
  • Des projets-pilote encouragent à l'épargne.
  • Une épargne accompagnée est parfois la solution.

À côté de ceux qui arguent qu'ils pourront épargner plus tard, à un moment plus approprié de leur vie, ou qu'ils n'ont pas assez d'argent pour le faire, certains peuvent avoir besoin d'un petit coup de pouce pour franchir le pas et retrouver la confiance en leur capacité de mettre de l'argent sur le côté. Je n'avais jamais épargné de ma vie ! Maintenant, je sais que c'est possible. Moi, j'épargnais, mais, à la moindre occasion, j'allais vider mon compte d'épargne. C'est ainsi que s'expriment des participants au projet-pilote de micro-épargne que Financité a mené entre mai 2011 et juin 2012, simultanément, en Belgique, en Hongrie et en France1. Ce programme visait à inciter des personnes à faibles revenus à épargner pendant une année et à analyser si, au terme de cette période, leur comportement d'épargne avait changé.

En Belgique

Chez nous, 180 personnes, disposant de revenus modestes et, pour la plupart, sans activité professionnelle, ont été recrutées et réparties dans 12 groupes à Bruxelles et en Wallonie. Les participants se sont engagés à épargner régulièrement pendant un an dans le cadre d'un programme d'épargne. Le challenge en jeu : s'ils arrivaient à épargner et à assister aux réunions pendant 12 mois, ils récupéraient, à l'issue du programme, leur épargne majorée de 50 %. Cette bonification, plafonnée à 120 €, représentait une épargne mensuelle de 20 €. Croire que cet incitant soit la seule raison qui ait incité ces personnes à épargner serait erroné. Ce cadeau a, certes, été le plus souvent le premier moteur pour se lancer dans l'aventure, mais cette bonification n'a pas empêché près de la moitié des personnes d'abandonner assez vite le programme. À l’inverse, plus de la moitié des participants a persévéré jusqu'à la fin du programme et certains s'astreignent aujourd'hui encore à l'épargne malgré la suppression de la bonification.

Se sentir capable

La plupart des participants avaient pourtant d'emblée exprimé la crainte de ne pas arriver à épargner de manière régulière, faute de moyens. Finalement, beaucoup d’entre eux se sont découvert un nouveau talent. Certains ont épargné 5 € par mois, quand d'autres ont mis 20 € ou plus de côté. Mais, plus important encore, en dédiant leurs économies à la construction d'un projet dans le moyen terme, ces participants ont réussi à anticiper et à retrouver un pouvoir de décision sur leur argent. Les réunions mensuelles rassemblaient les participants d'une même région. Les thèmes du surendettement, des risques liés au crédit, de la gestion budgétaire... ont permis aux participants de s'informer, mais surtout d'échanger au sujet de leurs expériences et de mettre leurs propres difficultés à épargner en résonance avec celles des autres. On le voit, les avantages tirés de ces projets – sentiment de confiance en soi, capacité de se projeter dans l'avenir, de construire un projet à plus long terme... – dépassent le simple bénéfice de la somme épargnée. Notre société tend à mettre en place des mesures curatives de médiation de dettes, de lutte contre le surendettement, de guidance budgétaire a posteriori, mais elle devrait également s'attacher à créer en amont des programmes de prévention. Qu'on le veuille ou non, l'épargne n'est pas un concept qui va de soi pour tout le monde : il demande un minimum d'apprentissage. Ce type de programme montre la nécessité de mettre en œuvre des solutions qui se basent directement sur les difficultés à épargner que les personnes rencontrent.

 

1Les résultats complets du projet SIMS (Social Innovation on Micro-Saving) sont consultables sur le site www.fininc.eu.

3 questions à Xavier Guyaux, enseignant en sciences économiques

Est-ce que vous parler de l'épargne avec vos élèves de secondaire ?

Surtout d'un point de vue macro-économique. Vous savez sûrement que des théories économiques envisagent l'épargne comme quelque chose de négatif : l'argent ne circule pas. Je discute aussi avec mes classes de la question des taux d'intérêts. J'ai beaucoup d'élèves musulmans et la charia interdit ce retour sur capital. Je prends du temps à essayer de leur faire comprendre qu'on est rémunéré pour un effort.

C'est le bon moment, l'école, pour préparer à l'épargne ?

Honnêtement, je pense qu'il est trop tôt pour convaincre de si jeunes personnes de penser à plus tard. L'épargne dans leur vie quotidienne peut seulement être envisagée sur le court terme, dans le but d'acheter quelque chose. A l'université aussi, ces questions d'épargne de vie sont peu abordées. Je pense que c'est au moment du premier emploi que tout se joue. Après d'autres notions préparent à une vie plus responsable, pour inculquer ces dernières, il n'est jamais trop tôt.

La gestion budgétaire par exemple ?

Bien sûr, c'est là que tout commence. Il y a un véritable travail de sensibilisation à faire auprès des jeunes. Par exemple, un de mes élèves avait réussi à souscrire à trois offres d'abonnements téléphoniques en même temps, et il est mineur bien entendu. Après avoir abordé en classe, ces questions d'offres douteuses, il est venu m'en parler. De manière générale, nos jeunes doivent être préparés à plusieurs notions : celle d'inflation, celle de taux d'intérêts, celle de frais récurrents, ... Ces notions devraient être inculquées à tous les élèves, pas uniquement aux classes de sciences économiques.

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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Les incitants financiers, aussi importants soient-ils, ne seront pas toujours suffisants pour convaincre une personne d'épargner et modifier son rapport à l'argent. Un encadrement peut s'avérer, dans certains cas, une solution à long terme.

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AR-ROLA2014-1
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Année d'édition
2014
Date d'édition
03/2014
Mois d'édition
Mars

L'épargne par le crédit

Soumis par Anonyme le

En bref

  • Les Credit Unions encouragent d'abord l'épargne.
  • Elles assurent à leurs membres des services et conseils financiers.

Paul Jones est l'un des grands penseurs des Credit Unions en Grande-Bretagne. Docteur en économie sociale, ses recherches sont étroitement liées aux établissements de ce type.

On parle plus de « culture du crédit » que de l'épargne en Grande-Bretagne. Pourquoi ?

Cette « culture du crédit » date de la période post-Seconde Guerre mondiale. En Angleterre, la population a connu un véritable accès aux crédits et, au fil des années, aux crédits trop faciles. À tel point que, depuis environ 10 ans, nous faisons face au problème croissant du surendettement, et cela ne s'est pas arrangé avec la crise économique. À l’origine les Credit Unions portaient d'ailleurs bien leur nom : elles ont été créées pour accorder des crédits, mais sans but lucratif, au sein de communautés, de groupes de travailleurs, ... L'époque que nous traversons marque un véritable changement des mentalités en Grande-Bretagne. Les Credit Unions n'échappent pas à la tendance. Les gestionnaires de ce type d'établissement cherchent désormais de plus en plus à encourager l'épargne, pour garantir le crédit, et pour assurer aux clients un certain confort. Pour combattre la pauvreté, les problèmes d'endettement, l'épargne est la meilleure solution.

L'épargne par le crédit ?

Oui, mais ce n’est que l’une des multiples dimensions visant à encourager l'épargne. Les Credit Unions reposent en partie sur ce concept. Par exemple, une personne qui a contracté un prêt auprès d'une Credit Unions, remboursera son crédit 10 livres par semaine, mais versera en même temps 2 livres supplémentaires qui atterriront sur son compte d'épargne. De cette manière, à l'échéance du prêt, elle aura constitué un petit capital « forcé ». Tout le monde y gagne : la Credit Union qui a collecté de l'épargne et, du même coup, augmenté sa capacité à prêter et l'épargnant. Psychologiquement et socialement, avoir de l'argent de côté, c'est très important. Mais, aujourd'hui, nous allons plus loin dans l'incitation à l'épargne.

Comment ?

À travers nos partenariats, notamment. Par exemple, la grande majorité des Credit Unions en Grande-Bretagne travaillent avec des Housing associations, soit des associations de logements sociaux. Ces dernières aident des gens à faibles revenus à trouver un logement. Mais elles ont besoin que leur locataire bénéficie de services financiers afin de régler le loyer (un compte en banque, un crédit, etc.), ainsi que d'une garantie que les mensualités seront bien versées. En Angleterre, l'exclusion financière est bien plus élevée qu'en Belgique. Sans les Credit Unions, des gens à faibles revenus ou surendettés par exemple, n'ont pas accès aux services bancaires de base. Encore une fois, tout le monde y gagne : la Housing Association encaisse ses loyers, la Credit Union bénéficie d'une forte publicité, et, surtout, le membre bénéficie d’une aide qu'il se voit généralement refusée par le système bancaire traditionnel.

Les Credit Unions sont-elles fortement développées en Grande-Bretagne ?

Nous gagnons du terrain. À Manchester, nous comptons 120 000 membres, à Leeds 30 000, à Glasgow 35 000. Au total, ce sont plus d'un million de personnes qui font partie des Credit Unions en Grande-Bretagne !

Les Credit Unions visent-elles uniquement un public plus vulnérable financièrement ?

La majorité de nos membres sont des personnes qui dépendent des allocations sociales de l’État. Le mois dernier à Manchester, nous avons recruté 500 nouveaux membres dont 400 étaient des personnes à faibles revenus. Nous sommes hors du circuit traditionnel et plus à l'écoute, c'est donc prévisible, en un sens. Mais les Credit Unions doivent se diversifier pour survivre : nous avons besoin de membres qui appartiennent à la classe moyenne pour continuer à boucler nos bilans. Malheureusement, à ce titre, les Credit Unions sont des institutions financières comme les autres ! La spécificité de la Grande-Bretagne, c’est que, chez nous, les Credit Unions sont implantées dans des quartiers défavorisés, alors qu’ailleurs dans le monde, où le modèle est aussi développé, ce n'est pas nécessairement le cas.

Comment encourager la mixité au sein de vos membres ?

Via les fusions, notamment. Nous étions six à Manchester, aujourd'hui nous ne formons plus qu'un seul établissement, plus fort, avec plus d’écho. À Manchester, aussi, nous travaillons avec plusieurs corps de métiers autour de l'épargne : les municipalités, les hôpitaux, le personnel d’entretien... au moment de payer le salaire, une somme est prélevée automatiquement et envoyée sur le compte d'épargne du salarié. Quand je vous dis que la culture est différente en Angleterre, c’est vrai : tout le monde, la classe moyenne y compris, doit apprendre à épargner. Ce système fonctionne donc très bien, car il est automatique, lié à l'employeur. Nous misons actuellement sur le développement d'une série d'outils en ligne. Si notre interface est aussi performante que celle d’une grande banque, nous avons plus de chance de recruter des membres aux profils différents. Au-delà de tout cela, le changement est en marche depuis la crise financière : beaucoup plus de gens veulent mettre un peu d'argent de côté ou se détourner du système bancaire traditionnel.

Les Credit Unions font donc également de l'éducation financière ?

Bien sûr. Certaines ont un programme d'éducation financière à proprement parler. À Manchester, nous n'en avons pas, mais nos conseillers sont formés pour écouter et réagir à des profils critiques. Là, on perçoit la différence avec le circuit traditionnel et, surtout, avec les fournisseurs de crédit rapides1. Chez nous, le temps consacré à chaque personne est souvent proportionnel à ses difficultés financières.

1Les payday loans en Angleterre sont des petits prêts à court terme (une ou deux semaines jusqu'à la prochaine « paie »). Comme il n'existe pas de limite aux taux d'intérêts, ceux-ci peuvent atteindre les 400 %!

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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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En Grande-Bretagne, pas de culture de l'épargne, mais plutôt du crédit. Un véritable problème auquel les Credit Unions tentent de répondre.

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AR-CLOO2014-3
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2014
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03/2014
Mois d'édition
Mars

Incitants à l'épargne en Belgique et en Europe

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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À l'instigation de EFIN (European Financial Inclusion Network), un inventaire des initiatives privées et publiques incitant à l'épargne a été mené dans plusieurs pays européens - dont la Belgique - au cours de l'année 2013. À qui ces pratiques s'adressent-elles ? Quelles leçons peut-on en tirer, à l'échelon européen et au niveau belge ? Quelles pratiques intéressantes pourrait-on adopter dans notre pays ? La présente analyse dresse un premier bilan de cette recherche.

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2013
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12/2013
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Décembre

Innovation en matière d'épargne : résultats d'une expérience pour personnes précarisées en Belgique

Soumis par Anonyme le
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Les personnes à faibles revenus peuvent-elles épargner ? Comment les y inciter ? Ne manque-t-il pas un dispositif pour les inciter à mettre de l'argent de côté ? Cette analyse détaille les impacts d'une expérience belge de micro-épargne parmi des personnes à revenus modestes, et mesure l'utilité d'un tel dispositif dans le contexte national d'inclusion financière.

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Octobre

Innovation en matière d'épargne : résultats d'un projet français avec des apprentis

Soumis par Anonyme le
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Le cursus scolaire professionnel français comporte un cours qui aborde certaines questions liées à la finance. Une expérience en France a permis de mesurer l'impact de modules spécifiques d'éducation financière sur la gestion budgétaire des apprentis. Quels en sont les résultats ? Ne devrions-nous pas tenter une expérience similaire en Belgique ?

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MO-CAYR2013-2
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2013
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Octobre

Innovation en matière d'épargne : résultats d'un projet hongrois avec des Roms

Soumis par Anonyme le
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Bien que les montants épargnés soient limités, les expériences de micro- épargne ont démontré l'utilité, sur les plans psychologique et financier, de mettre de l'argent de côté pour des personnes à faibles revenus. La population rom en Hongrie, vivant majoritairement en situation de précarité, ne fait pas exception. Quels sont les enjeux pour une expérience de micro-épargne réussie avec des personnes de la communauté rom ? Dans quelle mesure ces apprentissages pourraient- ils être transposables au contexte belge ?

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MO-CAYR2013-1
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2013
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Octobre

Livrets A, B ou Vert en Belgique

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Alors qu'en France l'épargne populaire est encouragée depuis le XIXe siècle avec le livret A, le Parti socialiste et Ecolo-Groen souhaitent la création d'un livret d'épargne similaire en Belgique via le livret « B » ou livret « vert ». En septembre dernier, les deux partis ont chacun déposé à la Chambre une proposition de loi visant la distribution d'un tel livret. Leur objectif est commun : utiliser l'épargne des Belges pour soutenir l'économie réelle locale. Actuellement, les PME et les ménages sont trop souvent confrontés au rationnement des crédits nécessaires à leur développement. Aussi, il apparaît urgent pour ces partis politiques d'élargir l'offre actuelle de produits d'épargne disponibles sur le marché financier. La mise en place de ce type de livret d'épargne populaire est-elle véritablement nécessaire en Belgique ? L'expérience française peut-elle nous être utile lors de l'élaboration d'un tel produit ? Comment garantir qu'il puisse effectivement atteindre l'objectif visé ?

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PI-SIMO2012-1
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Octobre