Sustainable investable themes
Crossing the river and interpreting sustainable development for financial markets
Company funding, capital market differences and regulatory systems
Le goût d'entreprendre : financement et recherche
Giordano Dell'Amore Microfinance Good Practices Europe Award 2011 - The Experiences of the Finalists 2011 and winners 2010
La financiarisation des entreprises
L'éternel débat sur les relations capital-travail est loin d'être dépassé. Il est au cœur des questionnements sur la financiarisation des entreprises, laquelle favoriserait le capital au détriment du travail. En cause, le pouvoir accru des actionnaires – en particulier des investisseurs institutionnels – dans la gouvernance des entreprises. Explications.
Financiarisation, court-termisme et innovation : l'équation impossible ?
Au cours d'une précédente analyse, nous avions évoqué l'impact de la financiarisation sur la gouvernance d'entreprise. Deux phénomènes liés à la financiarisation ont ainsi contribué à modifier la politique stratégique des grandes entreprises (cotées en Bourse) : l'évolution de l'actionnariat des entreprises d'une part, et l'importance prépondérante prise par ces actionnaires d'autre part, souvent au dépend des travailleurs ou de l'investissement. Cette contribution analyse les conséquences de ces transformations sur la politique d'investissement des entreprises et, en particulier, sur l'innovation.
Financité magazine N°37 : Finance et entreprises : La course contre la montre
Finance et entreprises : la course contre la montre
* Dossier : Financiarisation des entreprises
* Zoom : L'éducation financière à l'école
* Pour une épargne fiscalement juste
* Le billet d'humeur d'Eric de Staercke
Depuis les années 80, la financiarisation s'est invitée dans nos entreprises qui ont utilisé massivement les marchés boursiers pour se financer. Le phénomène s'est amplifié jusqu'à devenir la norme et à totalement modifier la donne. La recherche effrénée de capitaux externes a perverti les logiques entrepreneuriales. En devenant à ce point dépendantes de l’apport de capital des actionnaires et de leur «satisfaction», en les récompensant avec des dividendes substantiels, les entreprises ont cédé à la logique de la rentabilité à court terme. Le tout, au détriment du réinvestissement, de l’innovation. Fondamentalement, c’est le «business» et l’essence même du travail qui s’en sont trouvés modifiés.
Responsible Investment Performance of UK Asset Managers
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