Europe's banking trilemma : Why banking reform is essential for a successful Banking Union
Le rôle de la culture dans la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale
Ouvrage faisant partie de la collection Culture Education permanente n°19
Crédit coopératif
Les Québécois et l'investissment socialement responsable
Informations à fournir sur les questions environnementales et sociales
Marketing of Socially REsponsible Investments to retail clients
Report from Finance Wath's
Intérêts de la mise en place des monnaies sociales en Wallonie et à Bruxelles du point de vue des différentes parties prenantes
Dirty Profits 3
Le rapport « Dirty Profits III » publié à la veille de la journée mondiale des droits de l'homme dévoile que des banques actives en Belgique investissent des milliards dans des entreprises qui violent les droits humains et détruisent l'environnement.
L'exploitation, la corruption et la destruction de l'environnement font partie du business model des multinationales et des institutions financières qui les financent. Le consortium international 'Facing Finance', dont FairFin est membre, démontre que depuis 2012, 144 milliards d'euros au total ont été investis par les institutions financières dans les 25 entreprises étudiées. BNP Paribas y investit 13 milliards, Deutsche Bank 15 milliards. Belfius limite quant à elle les investissements dans ces 25 entreprises à 165 millions.
Les banques doivent élaborer des critères d'exclusion clairs et transparents pour les investissements dans des entreprises qui violent les droits humains et nuisent à l'environnement. Puisque l'auto-régulation ne semble pas fonctionner, il est nécessaire que l'État mette en oeuvre des lois interdisant les investissements nuisibles. Pour FairFin, Belfius pourrait être un cas intéressant pour l'État belge, en excluant toutes entreprises nuisibles de ses investissements.
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