Comment les banques Belges sont impliquées dans la colonisation israélienne
Israeli settlements are illegal and render impossible sustainable development and peaceful solution to the Israeli-Palestinian conflict. Yet, several European banks are actively involved in Israeli banks that play a pivotal role in maintaining and expanding Israeli settlements.
Notre avenir ébranlé - Investissement des banques dans le changement climatique
1. Méthodologie
2. Constats principaux pour les 25 plus grandes banques
3. Constats relatifs aux banques en Belgique
4. Recommandations
5. Analyse des institutions financières
Dirty Profits 3
Le rapport « Dirty Profits III » publié à la veille de la journée mondiale des droits de l'homme dévoile que des banques actives en Belgique investissent des milliards dans des entreprises qui violent les droits humains et détruisent l'environnement.
L'exploitation, la corruption et la destruction de l'environnement font partie du business model des multinationales et des institutions financières qui les financent. Le consortium international 'Facing Finance', dont FairFin est membre, démontre que depuis 2012, 144 milliards d'euros au total ont été investis par les institutions financières dans les 25 entreprises étudiées. BNP Paribas y investit 13 milliards, Deutsche Bank 15 milliards. Belfius limite quant à elle les investissements dans ces 25 entreprises à 165 millions.
Les banques doivent élaborer des critères d'exclusion clairs et transparents pour les investissements dans des entreprises qui violent les droits humains et nuisent à l'environnement. Puisque l'auto-régulation ne semble pas fonctionner, il est nécessaire que l'État mette en oeuvre des lois interdisant les investissements nuisibles. Pour FairFin, Belfius pourrait être un cas intéressant pour l'État belge, en excluant toutes entreprises nuisibles de ses investissements.
Dirty Profits 3
Le rapport « Dirty Profits III » publié à la veille de la journée mondiale des droits de l'homme dévoile que des banques actives en Belgique investissent des milliards dans des entreprises qui violent les droits humains et détruisent l'environnement.
L'exploitation, la corruption et la destruction de l'environnement font partie du business model des multinationales et des institutions financières qui les financent. Le consortium international 'Facing Finance', dont FairFin est membre, démontre que depuis 2012, 144 milliards d'euros au total ont été investis par les institutions financières dans les 25 entreprises étudiées. BNP Paribas y investit 13 milliards, Deutsche Bank 15 milliards. Belfius limite quant à elle les investissements dans ces 25 entreprises à 165 millions.
Les banques doivent élaborer des critères d'exclusion clairs et transparents pour les investissements dans des entreprises qui violent les droits humains et nuisent à l'environnement. Puisque l'auto-régulation ne semble pas fonctionner, il est nécessaire que l'État mette en oeuvre des lois interdisant les investissements nuisibles. Pour FairFin, Belfius pourrait être un cas intéressant pour l'État belge, en excluant toutes entreprises nuisibles de ses investissements.
Geen scheiding !
Deze morgen lezen we in de pers de grote lijnen van het rapport van de Nationale Bank over de splitsing van de banken. Deze oplossing is niet wenselijk. Fairfin, Réseau Financement Alternatif en het collectief citoyen Roosevelt, de 3 organisaties achter de campagne “Banken Splitsen” roepen op tot meer doorzicht en politieke verantwoordelijkheid.
Bankensplitsing: een schaamlapje tussen sparen en speculeren
Zal de Belgische staat haar kans laten lopen. Het voorstel van de hervormingswet dat vanmorgen op de agenda stond in het kernkabinet zou een slappe kopie van de scheidingswet zijn die het spaargeld en de publieke middelen 50 jaar adequaat heeft beschermd.
La complicité des banques belges dans la spéculation sur l'alimentation
Rapport : Les banques en Belgique financent l'accaparement de terres
Deutsche Bank et BNP Paribas : plus casinos que banques ?
FairFin, notre pendant néerlandophone a fouillé les comptes des 7 grandes banques actives sur notre territoire.
Résultats : mise à part Triodos et dans une moindre mesure Argenta, aucune banque ne pratique réellement son métier de base. Mauvais élève par excellence : la Deutsche Bank avec 19 % seulement de ses actifs investis dans des prêts à l'économie réelle.
Lisez le communiqué de presse de FairFin
Consultez l'intégralité de l'enquête