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Investir (dans) les coopératives, une autre forme de résilience de la société

Soumis par Anonyme le

Même en période de crise sanitaire, les coopératives restent ouvertes à l’épargne et à la participation citoyenne. L’opportunité de s’investir dans des projets positifs et collectifs qui participent d’un renouveau démocratique, affirment dans une carte blanche plusieurs coopératives.

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27/11/2020
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Novembre

Rémunération des dirigeants : des parts variables sans critères environnementaux, une pratique bientôt impossible

Soumis par Anonyme le

Définir une rémunération variable pour un dirigeant d’entreprise sans prendre en compte des critères extra-financiers ? Cela est désormais impensable pour une grande entreprise. Le dernier rapport annuel du Haut comité de gouvernement de l’entreprise (HCGE) créé pour veiller à l’application du code Afep-Medef sur la gouvernance des sociétés est très clair : "Il n’est plus acceptable que la détermination de la rémunération variable d’un dirigeant n’intègre pas de critère environnemental".

La présence de critères sur la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est demandée depuis deux ans par le HCGE et cela semble désormais intégré par la très grande majorité des grandes entreprises. Pour l’exercice 2019, 90,4 % des sociétés du SBF 120, dont 94,6 % des sociétés du CAC 40, prévoyaient ainsi le versement d’une partie variable à leurs principaux dirigeants mandataires sociaux, selon des éléments liés aux politiques de développement durable. 

 

Des critères précis et matériels pour les entreprises

Mais le HCGE demande des améliorations dans l’application de ce principe. Le Haut Comité "attend que les critères RSE soient définis de manière précise", qu’ils soient "lisibles, pertinents et intègrent les enjeux sociaux et environnementaux propres à l’entreprise". Une "simple référence à l’application de politique RSE, le renvoi à un programme interne RSE ou à des enjeux généraux non définis ne sont pas suffisants", précise l’organisme de gouvernance.

Pour accélérer la décarbonation des entreprises, l’institut français des administrateurs (IFA) va dans le même sens. Dans un rapport sur le rôle des conseils d’administration dans la prise en compte des enjeux climatiques par les entreprises, l’IFA recommande aux conseils de fixer des critères quantifiables liés à la performance climatique, comme la trajectoire de réduction des émissions et la notation environnementale de la société, dans la rémunération variable des dirigeants. En 2019, ils étaient juste un peu plus de 10 % à le faire.

Plus d’exigence dans la mise en œuvre

Si l’intégration de critères RSE précis dans la rémunération est si plébiscitée par les organismes de contrôle c’est qu’elle est considérée à la fois comme un signe de maturité des entreprises sur ces questions et comme une motivation supplémentaire pour intégrer ces dimensions dans la stratégie des entreprises. "Il ne suffit plus de cocher la case RSE. Les mandataires sociaux sont désormais jugés sur la mise en place des actions", assurait ainsi Franck Chéron, associé chez Deloitte et auteur d’une étude sur la rémunération des dirigeants français. Il en veut pour preuve l'intégration de critères RSE jusque dans le variable de long terme des dirigeants (réalisé par 45% des entreprises du CAC40 en 2019). Même si cela reste anecdotique en termes de montant puisque ceux-ci ne comptent que pour 4% du total de la rémunération globale...

La façon dont les entreprises mettent en application la RSE dans leur gouvernance sera de plus en plus scrutée par le Haut comité, prévient sa présidente Patricia Barbizet. Dans son dernier rapport, elle annonce que le HCGE sera "particulièrement exigeant dans ces domaines (diversité au sein des instances dirigeant, pratique des conseils en matière de RSE, critères de rémunération, NDR), en veillant à la fixation d’objectifs ambitieux et à leur réalisation diligente".

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La présence d’au moins un critère environnemental est requise parmi les critères extra-financiers qui permettent de déterminer la rémunération variable du dirigeant, demande le Haut comité de gouvernement des entreprises dans son septième rapport annuel. Par ailleurs l’organisme qui veille au respect du code Afep-Medef sur la gouvernance des entreprises attend que les critères de responsabilité sociale des entreprises (RSE) soient précis, lisibles et pertinents pour l’entreprise.

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19/11/2020
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Novembre

Les promesses trompeuses de l'investissement socialement responsable

Soumis par Anonyme le

Le label ISR est censé distinguer des placements respectueux de l'homme et de sa planète, ce qui est loin d'être garanti

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16/11/2020
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Le prix de l'influence

Soumis par Anonyme le

L’ influence a un prix. Les registres de dépense de lobbying mis en place à Washington pour ce qui concerne les États-Unis, à Bruxelles pour les institutions européennes et depuis plus récemment à Paris permettent de tracer une partie au moins des sommes consacrées par les entreprises à faire entendre leur voix auprès des décideurs. Le quatrème chapitre de l’édition 2020 de CAC40 : le véritable bilan annuel sur penche sur le prix que coûte cette influence.

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06/11/2020
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Les femmes et les hommes du CAC40

Soumis par Anonyme le

Beaucoup de suppressions et peu de créations d’emplois, des relations de pouvoir toujours défavorables aux femmes, des données très insuffisantes sur les accidents au travail, et une troublante tendance à l’érosion de la protection des salariés. Le cinquième chapitre de l’édition 2020 de CAC40 : le véritable bilan annuel sur penche sur les (très fragmentaires) informations sociales publiées par les grandes entreprises françaises.

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10/11/2020
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Novembre

Un fardeau croissant pour la planète

Soumis par Anonyme le

Les grandes entreprises françaises communiquent énormément sur leur engagement pour le climat et l’environnement. Mais les beaux discours ne se traduisent pas dans des actes, et les chiffres des émissions de gaz à effet de serre, des déchets et de consommation de matières premières continuent le plus souvent d’augmenter d’année en année. C’est ce que montre le troisième chapitre, publié ce jour, de l’édition 2020 de « CAC40 : le véritable bilan annuel ».

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Novembre

Les patrons au service de qui

Soumis par Anonyme le

Des rémunérations patronales qui planent en haute altitude, des dirigeants dont les intérêts sont totalement alignés sur ceux des marchés financiers, des entreprises qui mentent sur la vraie mesure – abyssale – des écarts de revenus en leur sein... Tel est le tableau que dresse le deuxième chapitre de l’édition 2020 de « CAC40 : le véritable bilan annuel ».

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L'observatoire des multinationales

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29/10/2020
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Octobre

Epargne-pension durable

Soumis par Anonyme le

Pour beaucoup, l’épargne-pension est le tout premier, voire même le seul, investissement. Son avantage fiscal et son apparente facilité en font un produit phare pour compléter la pension légale. Mais que finance cette épargne ? Et surtout, existe-t-il des produits d’épargne-pension « socialement responsable » ?

Si l’offre d’épargne-pension est large, la grande majorité de ces produits n’incluent aucune référence à des critères sociétaux ou environnementaux. Seule la performance financière est clé. Malgré une demande constante des client·e·s, l’offre d’une épargne-pension durable est très limitée.

En 2015, Vdk bank était la première banque en Belgique à développer une politique d’investissement durable pour son fonds d’épargne pension. Un premier pas timide. Même si cette politique semble assez robuste, le résultat du screening du portefeuille avec la liste noire Financité est décevant : 2,26 % du portefeuille est investi dans des entreprises et États qui ne respectent pas les principes contenus dans les conventions ratifiées par la Belgique.

Début 2018, KBC a lancé une version « socialement responsable » de son fonds de pension. Si l’on peut regretter qu’il s’agisse d’un nouveau fonds et pas d’une modification du produit existant, les client·e·s qui souhaiteraient transférer leurs avoir peuvent cependant le faire sans frais. En ce qui concerne le secteur de la fourrure, le cuir, les jeux de hasard et la pornographie, la banque pourrait se montrer plus rigoureuse, car actuellement elle accepte des sociétés qui réalisent jusqu’à 10 %, voire 25 %, de leur chiffre d’affaires dans ces activités peu éthiques. En revanche, concernant les armes, le tabac et certaines énergies fossiles, la banque applique une tolérance zéro. Ceci prouve qu’une approche très stricte est possible.

Enfin, ING a annoncé en octobre 2018 que sont fonds de pension devenait « plus durable ». La nouvelle politique dite « durable » du fonds d’ING, n’exclut par ailleurs que partiellement les secteurs controversés classiques comme l’armement, le tabac, la pornographie, les jeux de hasard, la fourrure et le cuir. La banque exclut largement les sociétés qui produisent de l’électricité nucléaire, mais prévoit une exception pour les Green Bonds de ces sociétés, partant du principe que ceux-ci ne financeraient que des projets d’énergie verte. ING n’exclut par ailleurs aucun autre secteur, en ce compris le secteur de l’énergie fossile.

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01/03/2020
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Mars

Les lobbies industriels font une entrée remarquée dans la plateforme européenne sur la finance durable

Soumis par Anonyme le

La liste de la cinquantaine de membres de la plateforme sur la finance durable, instance chargée de conseiller la Commission "sur les initiatives politiques et règlementaires sur la finance durable et plus particulièrement la mise en œuvre de la taxonomie", a été dévoilée le 1er octobre. La sélection effectuée parmi plus de 500 candidatures est un subtil équilibre à l’européenne entre nationalités, genres, représentants de l’industrie, de la finance et des ONG sans oublier les expertises sur la finance durable et les technologies environnementales (voir tableau).

Premier phénomène frappant : le nombre très important de représentants de l’industrie à travers une douzaine d’associations de lobbying sectoriels auxquels s’ajoutent les représentants d’Airbus, le constructeur d’avion européen, d’Iberdrola et de E.On, deux énergéticiens. Ce choix répond vraisemblablement au feu nourri de critiques provenant de l’industrie, auquel Bruxelles a été soumis depuis la publication du référentiel de la taxonomie. Mais on peut s’interroger sur la capacité que pourrait avoir ces acteurs à freiner le déploiement d’un référentiel qui a privilégié une définition exigeante des éco activités pour coller aux objectifs environnementaux de l’Union Européenne plutôt qu’une amélioration progressive des techniques existantes. 

Petit nombre de praticiens de la finance durable

Autre phénomène frappant, le petit nombre de praticiens de la finance durable présents sur la plateforme. Elles viennent du TEG, comme l’espagnole Helena Viñes Fiestas qui représentera BNP Paribas ou la néerlandaise Brenda Kramer du fonds de pension PGGM. Trois français figurent aussi dans cette catégorie, dont Stéphane Voisin, ancien directeur de recherche ISR chez un broker, qui représente l'Institut Louis Bachelier affilié à Paris Europlace, dont il coordonne le programme de recherche sur la "finance verte et durable". Et deux représentants d'ONG : Thierry Philipponnat pour Finance Watch, qui est aussi le président de la Commission Finance et climat de l’AMF, et Sébastien Godinot qui représentera le WWF et travaille sur la finance durable depuis une quinzaine d’années. 

Les autres ONG sont plutôt spécialisées sur un aspect spécifique de la protection de l’environnement. Agent Green, ONG roumaine, travaille sur la déforestation, la fondation Ellen Mac Arthur sur l’économie circulaire, European Water Association sur tout ce qui touche à la protection et la régulation de l’eau. Fait notable, l’ONG suédoise ChemSec qui bataille pour un meilleur respect de la règlementation REACH sur la toxicité chimique est invitée à participer. Les consommateurs, eux, seront représentés par le BEUC.

Dernier fait marquant : la plateforme compte un membre du groupe d’experts de haut niveau auteur du rapport publié en janvier 2018 qui a donné le coup d’envoi de tout le dispositif européen. Il s’agit Sean Kidney, fondateur de Climate Bonds Initiative. Elle sera par ailleurs présidée par Nathan Fabian, directeur des investissements responsables des PRI (Principles for Responsible Investment), qui était observateur du HLEG et qui a porté et piloté les travaux sur la taxonomie au sein du TEG. ■

 

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La Commission Européenne a mis fin aujourd’hui à un suspense de plusieurs semaines en publiant la liste des membres qui vont siéger pendant les deux prochaines années au sein de sa future plateforme sur la finance durable. Elle a modifié en profondeur le profil de la structure qui va succéder au Groupe Technique d’Experts (TEG) : les lobbys industriels y sont beaucoup plus nombreux que les spécialistes de la finance durable.

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01/10/2020
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Octobre

Helicopter money

Soumis par Anonyme le

La Banque centrale européenne a un objectif : un taux d’inflation autour de 2 %. Grande amatrice des analogies militaires, elle parle régulièrement de l’éventail d’armes qu’elle est en mesure d’utiliser. Parmi celles-ci, il y en a une que l’on évoque du bout des lèvres à Francfort : la monnaie hélicoptère.

C’est Milton Friedman qui a popularisé l’idée en voulant démontrer la neutralité de la monnaie à long terme. Sa théorie est la suivante : en lâchant des millions par hélicoptère sur la population, l’effet n’aurait aucun impact sur le long terme, mais bien dans le court terme en relançant l’inflation, particulièrement s’il y a avait un effet de surprise suivie d’une euphorie consumériste généralisée. Tiens, ne serait-ce pas ce qui intéresse la Banque centrale européenne?

En pratique

Rappelons que la BCE est tout à fait en mesure de décider du nombre d’unités en circulation. La discussion consiste à savoir par quel moyen elle les met en circulation.

En pratique, différentes options sont envisageables. Il peut tout simplement s’agir d’un transfert direct à la population sur leurs comptes en banque. La même procédure peut être réalisée en passant par les États qui pourraient également accorder un crédit d’impôt aux citoyen·ne·s. On pourrait même imaginer que les comptes des particuliers·ères soient crédités via les banques commerciales. L’opération est enfantine, d’un point de vue technique.

Un discours politique difficile à écrire

Imaginez-vous, président.e de la BCE, prêt·e à annoncer devant un tapis de journalistes que chaque citoyen·ne européen·ne va recevoir 9 000 euros (montant fictif). De belles étrennes de fin d’année. Mais une fois la joie passée, le temps des explications arrivera.

Pourquoi avoir attendu si longtemps? Pourquoi s’être obstiné pendant une décennie à coup d’austérité, de coupes budgétaires, de réduction des services publiques au nom du remboursement des dettes? Et pourquoi avoir laissé le peuple grec boire le calice jusqu’à la lie alors que des alternatives étaient à portée de main? Est-ce que l’intérêt des citoyen·ne·s a primé dans cette décision ou s’agit-il d’une posture de façade destinée à maintenir la stabilité d’un système bancaire qui tire sur la corde?

Il fait peu de doutes que les retombées économiques de la monnaie hélicoptère seraient bénéfiques. Elle permettrait une consommation additionnelle qui aura l’heureux effet de booster des rentrées fiscales de l’État. Néanmoins, parmi les critiques, il faut noter les craintes de spirale inflationniste.

Mais malgré les vertus éthique, facile et équitable de la mesure, ce n’en serait pas moins un pansement sur une jambe de bois. Une relance par la consommation n’implique pas de savoir quels types de dépenses seront opérées. Relancer l’économie à grand coups de prêt-à-porter, de produits plastiques qui ont fait trois fois le tour de la planète ou de belles allemandes ne modifie en rien notre structure productiviste actuelle. Celle-là même qui ravage notre planète sans regard pour le vivant et la pérennité de notre espèce. Cet outil ne remet pas en cause les nombreux dogmes qui subsistent dans nos modèles économiques. Mais rien n’empêche d’être créatif!

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