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Vieillesse : sécurité sociale obligatoire ou liberté subventionnée ?

Soumis par Anonyme le

Pour les personnes âgées, pouvoir échapper à la pauvreté dépend très largement du fait qu’elles sont, ou non, propriétaires de leur logement. Cette analyse vise à déterminer si le système de pension obligatoire en vigueur en Belgique répond encore à l’objectif de retraite décente.

En quelques mots :

  • Les personnes âgées, et les pensionné·e·s dans une moindre mesure, sont donc confronté·e·s à un risque de pauvreté plus élevé que la population totale.
  • Les personnes âgées, si elles veulent échapper à la pauvreté, ont intérêt à être propriétaires de leur logement, sans plus devoir assumer de charges de crédit, ou louer un logement à des conditions plus avantageuses.
  • Le « pilier » d’épargne immobilière – comme son homologue d’épargne financière - ne favorise ni la solidarité, ni une retraite décente à l’ensemble de nos aîné·e·s, au contraire d’un système de sécurité social universel.
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Un marché carbone pour tou·te·s ?

Soumis par Anonyme le

Cette analyse explore la mise en place d’un budget carbone individuel, de la méthode de répartition à la fixation du prix en passant par la comptabilité.

En quelques mots :

  • Il convient d’abord de procéder à l’allocation initiale des droits de polluer
  • Le·la Belge moyen·ne a une empreinte carbone d’une grosse dizaine de tonnes de CO2 et devrait la réduire à 2 tonnes pour respecter la trajectoire d’un réchauffement climatique limité à 1,5° ou 2° C. Au moins diviser par 5, oui : l’enjeu est de taille.
  • Dans certains cas, un marché carbone pour les personnes serait un véritable mécanisme de redistribution, puisqu’en attribuant à chaque personne le même nombre de droits à polluer, on leur attribuerait, de facto, le moyen de les revendre à des personnes qui ont davantage de revenus
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Juin

Réforme et justice fiscale

Soumis par Anonyme le

En juillet 2022, le Ministre des Finances a publié son « épure pour une vaste réforme fiscale ». Cette analyse vise à déterminer si ce projet va effectivement dans le sens de la justice fiscale.
 
En quelques mots :

  • Sur le revenu, le projet a le défaut de ne pas cibler les bas et moyens revenus. C’est le contraire de la justice fiscale.
  • Sur la taxation qui doit aider à se constituer un patrimoine, la mesure envisagée ne cible à nouveau pas les bas et moyens revenus
  • L’ « Épure pour une vaste réforme fiscale » n’est pas à rejeter dans son ensemble. Cependant, a elle cette particularité de cumuler des aspects franchement positifs et avec d’autres absolument indéfendables.
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Novembre

Quand on s'aime on compte

Soumis par Anonyme le

Qu’est-ce qu’une économie du ménage équitable ? Une égale distribution des ressources financières, du temps ? Cette analyse vise à étudier la répartition des ressources au sein des ménages belges et les outils qui permettraient d’améliorer cette répartition.

En quelques mots :

  • En moyenne, nous constatons que les hommes consacrent la majorité de leur temps au travail rémunéré, tandis que les femmes prennent en charge la majorité du travail gratuit, c'est-à-dire des tâches domestiques et de l’éducation des enfants.
  • Comment peut-on partager les dépenses de manière équitable lorsque les revenus sont inégaux ?
  • Bien que des outils intéressants existent, l’idéal serait sans doute une application ayant pour objectif « un ménage équitable » qui soit accessible, gratuite et facile d’utilisation. Celle-ci pourrait comptabiliser et visibiliser les heures de travail domestique et de soin, calculer le partage des dépenses au prorata des revenus et du patrimoine, mais aussi permettre de garder une trace et une vision commune du budget et des paiements au sein du couple de manière transparente.
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Avril

Les mains invisibles du marché

Soumis par Anonyme le

À travers le monde, des milliers de personnes, et surtout des femmes, font un travail invisible. Cette analyse revient sur la notion de travail de reproduction et évoque des pistes pour le visibiliser, le comptabiliser et le valoriser.

En quelques mots :

  • Le travail de reproduction englobe généralement le travail de procréation, le travail domestique, le travail de soin (le care en anglais) et le travail sexuel.
  • En Belgique, en 2020, au quotidien, 81 % des femmes font du travail domestique contre 33 % des hommes.
  • Les enjeux de valorisation du travail reproductif dépassent les questions liées à l’équité d’accès au marché du travail, à l’emploi et à la liberté qu’il peut amener.
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Avril

Investir l'avenir

Soumis par Anonyme le

La crise sanitaire a débouché sur une récession de 3,3 % de l’économie mondiale. À l’heure où les investissements publics sont plus que jamais nécessaires, est-ce le grand retour du modèle keynésien ? Cette analyse fait le point sur les investissements publics en Belgique.

En quelques mots :

  • Le keynésianisme exhorte les États à avoir un rôle actif et « contracyclique ». En période de crise, il s’agit de relancer l’économie par des plans d’investissement.
  • Les politiques de relance d’inspiration keynésienne visent, comme d’autres, à augmenter la richesse produite, mesurée par le PIB.
  • La Belgique fait donc actuellement partie des pays européens qui investissent le moins. Le gouvernement fédéral vise à faire passer le niveau des investissements publics bruts de 2,6 % à 4 % du PIB d’ici à 2030.
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L'impôt sur la fortune : un pas vers plus de justice fiscale en Belgique ?

Soumis par Anonyme le

Dans la première partie de cette analyse, nous avons parcouru les différentes implémentations, les limites et les récents débats autour de l’impôt sur la fortune en Europe et aux États-Unis. 

Cette analyse vise à comprendre où se situe la Belgique dans ce débat. Est-elle favorable à l’introduction d’un tel impôt ? Comment sont taxés les patrimoines chez nous ?

En quelques mots :

  • En Belgique, il n’existe pas d’impôt sur la fortune proprement dit, mais le pays taxe les revenus et les patrimoines plus élevés.
  • La Belgique taxe faiblement les revenus du capital.
  • La nouvelle taxe sur les comptes-titres a été élargie et devrait augmenter le budget de l’État.
     
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L'impôt sur la fortune : un outil légitime en temps de crise ?

Soumis par Anonyme le

Avant que la crise sanitaire ne monopolise les débats, l’impôt sur la richesse devait être un point crucial de la campagne présidentielle aux États-Unis où les inégalités ne cessent de se creuser.

Un tel impôt peut-il réellement réduire les inégalités ? Cette analyse fait un tour d’horizon de la manière dont se présente cet impôt en Europe et décrypte le projet américain.

En quelques mots :

  • Cette forme d’impôt n’est pas très répandue en Europe.
  • La France a récemment troqué l’Impôt de Solidarité sur la fortune (ISF) contre l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) pour promouvoir l’investissement dans les entreprises françaises.
  • Aux États-Unis, cette « wealth tax » serait accompagnée d’une « exil tax » afin de décourager le départ des Américain·e·s les plus fortuné·e·s.
     
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Helicopter money

Soumis par Anonyme le

La Banque centrale européenne a un objectif : un taux d’inflation autour de 2 %. Grande amatrice des analogies militaires, elle parle régulièrement de l’éventail d’armes qu’elle est en mesure d’utiliser. Parmi celles-ci, il y en a une que l’on évoque du bout des lèvres à Francfort : la monnaie hélicoptère.

C’est Milton Friedman qui a popularisé l’idée en voulant démontrer la neutralité de la monnaie à long terme. Sa théorie est la suivante : en lâchant des millions par hélicoptère sur la population, l’effet n’aurait aucun impact sur le long terme, mais bien dans le court terme en relançant l’inflation, particulièrement s’il y a avait un effet de surprise suivie d’une euphorie consumériste généralisée. Tiens, ne serait-ce pas ce qui intéresse la Banque centrale européenne?

En pratique

Rappelons que la BCE est tout à fait en mesure de décider du nombre d’unités en circulation. La discussion consiste à savoir par quel moyen elle les met en circulation.

En pratique, différentes options sont envisageables. Il peut tout simplement s’agir d’un transfert direct à la population sur leurs comptes en banque. La même procédure peut être réalisée en passant par les États qui pourraient également accorder un crédit d’impôt aux citoyen·ne·s. On pourrait même imaginer que les comptes des particuliers·ères soient crédités via les banques commerciales. L’opération est enfantine, d’un point de vue technique.

Un discours politique difficile à écrire

Imaginez-vous, président.e de la BCE, prêt·e à annoncer devant un tapis de journalistes que chaque citoyen·ne européen·ne va recevoir 9 000 euros (montant fictif). De belles étrennes de fin d’année. Mais une fois la joie passée, le temps des explications arrivera.

Pourquoi avoir attendu si longtemps? Pourquoi s’être obstiné pendant une décennie à coup d’austérité, de coupes budgétaires, de réduction des services publiques au nom du remboursement des dettes? Et pourquoi avoir laissé le peuple grec boire le calice jusqu’à la lie alors que des alternatives étaient à portée de main? Est-ce que l’intérêt des citoyen·ne·s a primé dans cette décision ou s’agit-il d’une posture de façade destinée à maintenir la stabilité d’un système bancaire qui tire sur la corde?

Il fait peu de doutes que les retombées économiques de la monnaie hélicoptère seraient bénéfiques. Elle permettrait une consommation additionnelle qui aura l’heureux effet de booster des rentrées fiscales de l’État. Néanmoins, parmi les critiques, il faut noter les craintes de spirale inflationniste.

Mais malgré les vertus éthique, facile et équitable de la mesure, ce n’en serait pas moins un pansement sur une jambe de bois. Une relance par la consommation n’implique pas de savoir quels types de dépenses seront opérées. Relancer l’économie à grand coups de prêt-à-porter, de produits plastiques qui ont fait trois fois le tour de la planète ou de belles allemandes ne modifie en rien notre structure productiviste actuelle. Celle-là même qui ravage notre planète sans regard pour le vivant et la pérennité de notre espèce. Cet outil ne remet pas en cause les nombreux dogmes qui subsistent dans nos modèles économiques. Mais rien n’empêche d’être créatif!

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FINANCITÉ MAGAZINE n°59 : PERMIS DE POLLUER

Soumis par Anonyme le

Financité Magazine n°59

Au sommaire

4/ Dossier

Plus les riches deviennent riches, plus ils·elles émettent de CO2. Et ce quand bien même ils·elles ont accès à des modes de consommation plus onéreux et moins polluants. Parmi les individus les plus émetteurs de la planète, on retrouverait les 1 % plus riches américain·e·s, luxembourgeois·es, singapourien·ne·s et saoudien·ne·s. Alors pour sauver l’humanité sur cette planète, beaucoup s’accordent à dire qu’il faut absolument réduire les inégalités qui sont largement corrélées aux émissions polluantes des pays. Sauf que pour le faire, il faut certainement prendre le risque de mettre en péril l’ordre social et financier.

10/ La finance expliquée : Les zinzins

11/ Interview : "On peut se féliciter d'avoir forcé les banques à se capitaliser"

12/ Analyses
En route pour l'agence bancaire itinérante
A vendre (et à financer) : énergie 100% belge
Payer les banquier·ère·s en fonction de leur impact sur le monde

18/ Actus

20/ Finance solidaire :Manger avec l'économie sociale

21/ Campagne : Dehors les seniors ?

22/ Monnaies citoyennes : Relancer le commerce grâce à la monnaie locale

23/ Les expert·e·s du quotidien : Par téléphone, que des arnaques ?

24/ Régions

30/ Le mouvement Financité

32 Sans filtre : Une semaine dans le désert bancaire

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