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Les externalités (2/2)

Soumis par Anonyme le

Si l’on ambitionne de changer la finance ou, plus largement, de contribuer à une société plus durable et solidaire, il faut commencer par apprendre à compter et mesurer ce qui compte.
Si le PIB fait partie des concepts utilisés quotidiennement, il est capital de s’approprier (déconstruire) cet indicateur omniprésent (1e analyse). Et d’identifier avec précision ce que cet indicateur ne mesure pas (2e analyse).

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Le PIB, c'est quoi ?

Soumis par Anonyme le

Si l’on ambitionne de changer la finance, ou plus largement, de contribuer à une société plus durable et solidaire, il faut commencer par apprendre à compter et mesurer ce qui compte.
Si le Produit intérieur brut (PIB) fait partie des concepts utilisés quotidiennement, il est capital de s’approprier (déconstruire) cet indicateur omniprésent (1e analyse). Et d’identifier avec précision ce que cet indicateur ne mesure pas (2e analyse).

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Septembre

Les monnaies citoyennes sont-elles porteuses de résilience ? (2/2)

Soumis par Anonyme le

Les monnaies citoyennes, notamment depuis le film “Demain”, suscitent beaucoup d’intérêt vu les impacts positifs (sociaux et environnementaux) qu’elles semblent offrir. Mais peut-on aller plus loin et affirmer qu’elles seraient même porteuses de résilience ? C’est ce que nous allons explorer dans ces deux analyses. Dans la première, nous commençons par définir le concept de résilience et de délimiter de quelle type résilience les monnaies citoyennes pourraient être porteuses. Dans la seconde, nous formulons quelques hypothèses qui nous pousseraient à répondre par l’affirmative : oui, les monnaies citoyennes sont porteuses de résilience.

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Les monnaies citoyennes sont-elles porteuses de résilience ? (1/2)

Soumis par Anonyme le

Les monnaies citoyennes suscitent beaucoup d’intérêt vu les impacts positifs (sociaux et environnementaux) qu’elles semblent offrir. Mais peut-on aller plus loin et affirmer qu’elles seraient même porteuses de résilience ? C’est ce que nous allons explorer dans ces deux analyses. Dans la première, nous commençons par définir le concept de résilience et en délimiter la portée pour l’appliquer aux monnaies citoyennes. Dans la seconde, nous formulons quelques hypothèses qui nous pousseraient à répondre par l’affirmative : oui, les monnaies citoyennes sont porteuses de résilience.

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13/04/2018
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Financité Magazine N°49 : Le service public est-il mort ?

Soumis par Anonyme le

Derrière ce titre provocateur, il convient de remettre au coeur du débat les fondements du service public. Au-delà des dogmes hérités du consensus de Washington laissant à penser que les entreprises privées seraient toujours plus efficaces que les entreprises publiques, ce fameux service public a pour but de produire du lien social, de garantir à tous les citoyens leurs besoins essentiels : de l’éducation à la santé en passant par les moyens de communications. En soi, le service public est donc un bien commun, appartenant aux citoyens et non à quelques personnes. À l’ensemble de ces citoyens donc, de décider de l’avenir du service public.

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La Belgique lance une obligation verte (2/2)

Soumis par Anonyme le

La Belgique a émis sa première obligation verte et figure parmi les pionniers en la matière. Devons-nous nous en réjouir ? En partie seulement ? Quelles sont les clés pour comprendre et les éléments nécessaires pour se forger une opinion ? Le but de ces deux analyses est de fournir des pistes de réponses à ces questions.

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03/04/2018
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Avril

La Belgique lance une obligation verte (1/2)

Soumis par Anonyme le

La Belgique a émis sa première obligation verte et figure parmi les pionniers en la matière. Devons-nous nous en réjouir ? En partie seulement ? Quelles sont les clés pour comprendre et les éléments nécessaires pour se forger une opinion ? Le but de ces deux analyses est de fournir des pistes de réponses à ces questions.

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03/04/2018
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Avril

Le monde selon Bernard Friot en débat (3/3)

Soumis par Anonyme le

« La cotisation sociale offre une définition anticapitaliste de la valeur. Son versement consiste tout simplement à attribuer une valeur économique à des non-marchandises telles que les prestations de santé, l’éducation des enfants, l’activité des retraités. En finançant ainsi le salaire à vie des pensionnés, le salaire au grade des soignants, le salaire maintenu des malades ou des chômeurs, le travail non marchand des parents, elle subvertit le marché du travail et la mesure des biens par leur temps de production. »

 

 

Introduction générale aux trois articles

La Sécurité sociale n’a jamais été autant remise en question qu’aujourd’hui. Que ce soit en France ou en Belgique, les gouvernements conçoivent sans cesse de nouvelles réformes pour combler le « déficit de la Sécu ». Et même ses plus ardents défenseurs semblent parfois incapables de revendiquer davantage qu’un « sauvetage » de la Sécurité sociale. Le monde semble ainsi partagé entre ceux qui voudraient « détricoter » le système de protection sociale et ceux qui pensent qu’en bricolant elle pourrait encore jouer un rôle, notamment de réduction des inégalités.

Rares sont désormais ceux qui voient dans la Sécurité sociale un modèle d’avenir, une institution prometteuse, voire révolutionnaire. Mais ils existent. Notamment, au premier rang d’entre eux, Bernard Friot, sociologue et économiste français. Dans cette série de trois articles, nous avons choisi de lui donner la parole ; d’écouter attentivement, d’une oreille bienveillante mais critique, ce qu’il nous dit ; d’enfiler ses lunettes pour relire l’histoire de la Sécurité sociale, de sa création aux réformes qui nous sont proposées depuis les années 80 (article 1) ; de réinterroger et redéfinir les termes du débat qui pourraient brider notre créativité pour envisager des alternatives (article 2) et de présenter l’avenir qui pourrait découler des propositions de Bernard Friot, notamment mais pas seulement ― tant s’en faut ― le salaire à vie. 

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La Sécu en Belgique : repenser les termes du débat (2/3)

Soumis par Anonyme le

Les mots sont importants. Et si parler aujourd’hui de « trou de la sécurité sociale », de « charges salariales et patronales », et d’« État social actif » ne choque pas, c’est parce que nous avons intégré un discours très négatif vis-à-vis de la Sécurité sociale. L’expression « trou de la Sécurité sociale », désormais courante dans l’usage, identifie la Sécu comme une institution coûteuse, non rentable (à la limite, un luxe...), dans laquelle il faudra couper à la première crise venue.

 

 

Introduction générale aux trois articles

La Sécurité sociale n’a jamais été autant remise en question qu’aujourd’hui. Que ce soit en France ou en Belgique, les gouvernements conçoivent sans cesse de nouvelles réformes pour combler le « déficit de la Sécu ». Et même ses plus ardents défenseurs semblent parfois incapables de revendiquer davantage qu’un « sauvetage » de la Sécurité sociale. Le monde semble ainsi partagé entre ceux qui voudraient « détricoter » le système de protection sociale et ceux qui pensent qu’en bricolant elle pourrait encore jouer un rôle, notamment de réduction des inégalités.

Rares sont désormais ceux qui voient dans la Sécurité sociale un modèle d’avenir, une institution prometteuse, voire révolutionnaire. Mais ils existent. Notamment, au premier rang d’entre eux, Bernard Friot, sociologue et économiste français. Dans cette série de trois articles, nous avons choisi de lui donner la parole ; d’écouter attentivement, d’une oreille bienveillante mais critique, ce qu’il nous dit ; d’enfiler ses lunettes pour relire l’histoire de la Sécurité sociale, de sa création aux réformes qui nous sont proposées depuis les années 80 (article 1) ; de réinterroger et redéfinir les termes du débat qui pourraient brider notre créativité pour envisager des alternatives (article 2) et de présenter l’avenir qui pourrait découler des propositions de Bernard Friot, notamment mais pas seulement ― tant s’en faut ― le salaire à vie. 

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14/12/2017
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Décembre

La sécu en Belgique : Des hauts et débats (1/3)

Soumis par Anonyme le

Le film de Gilles Perret, La Sociale, a permis de populariser l’histoire de la Sécu en France. L’histoire de la Sécurité sociale en Belgique suit évidemment une évolution proche, faite de hauts et de bas. Promener un regard rétrospectif sur les courbes de ce système permet de relever un certain nombre de principes fondamentaux qui font toujours débat et qui sont, aujourd’hui encore, au cœur des luttes politiques et sociales. 

 

 

Introduction générale aux trois articles

La Sécurité sociale n’a jamais été autant remise en question qu’aujourd’hui. Que ce soit en France ou en Belgique, les gouvernements conçoivent sans cesse de nouvelles réformes pour combler le « déficit de la Sécu ». Et même ses plus ardents défenseurs semblent parfois incapables de revendiquer davantage qu’un « sauvetage » de la Sécurité sociale. Le monde semble ainsi partagé entre ceux qui voudraient « détricoter » le système de protection sociale et ceux qui pensent qu’en bricolant elle pourrait encore jouer un rôle, notamment de réduction des inégalités.

Rares sont désormais ceux qui voient dans la Sécurité sociale un modèle d’avenir, une institution prometteuse, voire révolutionnaire. Mais ils existent. Notamment, au premier rang d’entre eux, Bernard Friot, sociologue et économiste français. Dans cette série de trois articles, nous avons choisi de lui donner la parole ; d’écouter attentivement, d’une oreille bienveillante mais critique, ce qu’il nous dit ; d’enfiler ses lunettes pour relire l’histoire de la Sécurité sociale, de sa création aux réformes qui nous sont proposées depuis les années 80 (article 1) ; de réinterroger et redéfinir les termes du débat qui pourraient brider notre créativité pour envisager des alternatives (article 2) et de présenter l’avenir qui pourrait découler des propositions de Bernard Friot, notamment mais pas seulement ― tant s’en faut ― le salaire à vie. 

 

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29/11/2017
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Novembre