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Pay-day lenders: why can we consider them as being bad players on the credit market?

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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The study analyses the specificities of pay-day lenders products and industry (especially active in the US and in the UK) and looks deeper in their economic models. It seems that the inappropriate uses of pay-day loans (arrears, repeated uses...) by the clients are precisely the ones that boost their incomes !

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2015
Date d'édition
03/2015
Mois d'édition
Mars

Epargne collective : un principe, des pratiques

Soumis par Anonyme le

L'épargne pour tous est-elle possible ? rassemble un panel de contributeurs qui se penchent sur deux questions : pourquoi l'épargne est-elle si importante et quels dispositifs (fiscaux, de bonification, d'épargne collective...) convient-il de mettre en place pour inciter efficacement les publics visés (notamment précaires) à épargner ?

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Réseau Financité
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2014
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12/2014
Mois d'édition
Décembre

Financité Magazine n°33 : Epargnez-vous

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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Épargnez-vous - Fiscalité, égalité, sécurité p.6-7 - Alternatives autour de l'épargne p.8-9 - Pour une autre finance - Cent-une idées pour une finance plus responsable p.10-11 - L'épargne en jeu, participez p.13

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2014
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03/2014
Mois d'édition
Mars

Credit Union : une place sous le soleil belge ?

Soumis par Anonyme le
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Auteur(s)
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Sommaire

Réponse à l'exclusion financière pour les uns, étape intermédiaire avant un retour aux services bancaires classiques pour les autres, étendard d'un mouvement coopératif au coeur du système financier, les Credit Unions font parler d'elles depuis de nombreuses années, que ce soit dans les pays où elles se développent ou ailleurs. Présentation de leurs caractéristiques, des principales leçons tirées du modèle britannique. Et si les Credit Unions étaient avant tout une source d'inspiration pour doper les pratiques d'épargne des moins nantis ?

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MO-JERU2012-3
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Année d'édition
2012
Date d'édition
04/2012
Mois d'édition
Avril

2010: A changing Europe - COmbating poverty, supporting entreprise

Soumis par Anonyme le
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Editeur
European Microfinance Network
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Année d'édition
2010
Date d'édition
06/2010
Mois d'édition
Juin

From tackling poverty to achieving financial inclusion—The changing role of British credit unions in low income communities

Soumis par Anonyme le
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FD-FARD-2/2
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Année d'édition
2007
Jour d'édition
23
Date d'édition
23/12/2007
Mois d'édition
Décembre

Saving and borrowing : Use of the Social Fund Budgeting Loan scheme and Community Credit Unions

Soumis par Anonyme le
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Auteur(s)
Editeur
Department of Social Security
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AR-SAVI2000-1
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2000
Jour d'édition
1
Date d'édition
01/01/2000
Mois d'édition
Janvier

Credit Unions : des machines de guerre ?

Soumis par Anonyme le

En bref :

  • Les credit unions sont des coopératives d'épargne.
  • Ses membres appartiennent à la même communauté.
  • Elles tendent à élargir leur palette de produits et services.

L'idée de récolter l'épargne de membres d'une communauté pour leur octroyer des crédits dans le futur n'est pas neuve. C'est de ce concept que sont nées les Credit Unions dans les années 60. Mais l'idée trouve son origine dans
l’Europe du début du XIXe siècle, notamment avec F. W. Raiffeisen, qui exporta le concept de coopérative financière dans les milieux ruraux allemands.
Les Credit Unions sont des coopératives d’épargne et de crédit (donc détenues par leurs membres) qui servent les besoins financiers de ceux-ci, et en tout premier lieu, leurs besoins d'épargne et de crédit. Cependant, elles diffèrent substantiellement des prestataires commerciaux. Elles réservent en effet leurs services à leurs seuls membres. Ceux-ci possèdent un lien commun, qui peut être géographique (vivre ou travailler dans le même quartier), le fait d'être membre d'une même association ou organisation, d'être employé dans un secteur particulier, par un même employeur ou partager une même profession ou tout autre intérêt. Les Credit Unions (C.U.) ne poursuivent pas de but lucratif. Les excédents budgétaires sont utilisés afin de limiter les taux d'intérêt des crédits proposés aux membres, mais également afin d’augmenter la rémunération de l’épargne, et/ou de diminuer le coût des produits proposés. Enfin, elles sont supervisées par un conseil d'administration non rémunéré, dont les membres sont élus parmi les membres de la coopérative.
À ce jour, les C.U. opèrent dans un certain nombre d’États européens, mais aussi dans une centaine d'autres pays à travers le monde. Leur poids financier est parfois marginal, mais dans certains pays, comme en Irlande, les C.U. représentent 70 % de parts de marché du secteur bancaire.

Fin de l'exclusion ?

Les premières C. U. sont présentes au sein de communautés d'émigrants dans les années 60, souvent grâce ou à travers de leur communauté religieuse. Ces C.U. étaient de petite taille (quelques dizaines ou centaines de membres), locales, et n'accordaient de crédit que dans la mesure des fonds épargnés disponibles. Le principe de l'épargne préalable à tout crédit et celui de la proportionnalité des fonds prêtés (on ne prête pas plus du triple du montant jusqu'alors épargné) étaient des maîtres mots. Les travailleurs étaient bénévoles, et la logique dominante était l'action sociale.
C'est sous l'influence américaine que d'autres modèles de C.U. ont vu le jour. Pour réussir au mieux une C.U., atteindre un fonctionnement économique efficace et durable, l'idée est venue d'implanter ce type de structure auprès d'employés d'un groupe industriel ou d'une entreprise, avec, comme sources de revenus de l’épargne et du remboursement de prêt, le prélèvement direct sur le paiement des salaires.
Ces deux modèles ont poursuivi leur développement durant les années 80 et 90 et perdurent aujourd'hui. Les C.U. du premier type étaient le plus souvent soutenues par les autorités locales, dans leurs stratégies de lutte contre la pauvreté et la régénération des communautés locales les plus défavorisées. Les C.U. du second type, étant, elles, aidées par les entreprises elles-mêmes, dans leur souci de soutenir leurs employés qui traversent des passes difficiles. Alors qu'on comptait 94 de ces deux types de coopératives en 1986, on en dénombrait presque 700 en 2001, dont la majorité servait des publics exclus, des habitants de quartiers défavorisés.
Aujourd'hui, quel que soit la formule choisie, les C.U. restent modestes, généralement faibles financièrement et globalement vulnérables : elles comptent en moyenne 200 membres pour le premier type, un millier de membres pour le second.
Des études ont mis en évidence la faiblesse des C.U. : petite taille, peu de services financiers proposés. Elles pointent le fait qu'au final ces initiatives ne remplissent que partiellement leur mission « d'inclusion », précisément à cause de ces éléments de faiblesse. De nouveaux schémas de développement ont donc été envisagés. Il s'agit désormais de construire un business plan robuste, de disposer de localisations intéressantes, d'introduire l'informatique et autres technologies ad hoc, et enfin de rémunérer des employés plutôt que de recourir à des bénévoles. Pour atteindre de tels objectifs, il a fallu mettre en œuvre des fusions entre C.U., de manière à réaliser les économies d'échelles nécessaires, ce qui, au final, a eu pour effet de réduire le nombre total de C.U. malgré la création d'une série d’initiatives entre 2001 et 2011.
Ces nouvelles mesures ont été, pour nombre de C.U., une véritable révolution. Le développement de services tels que l'ouverture d'un compte courant, l'offre de contrats d'assurance, la mise à disposition de liquidités et, bien entendu, d’une gamme de produits d'épargne et de crédit constituent, pour beaucoup d’entre elles, de fameux défis à relever.

En Belgique ?

En Belgique, l'exclusion financière est faible, notamment grâce à la loi sur le service bancaire de base qui interdit aux banques belges de refuser l'ouverture d'un compte à toute personne en situation administrative régulière. Pourtant, des études montrent que l'épargne reste problématique pour les ménages à revenus modestes. Par ailleurs, l’expérience pilote des programmes de micro-épargne montre que les C.U. restent bel et bien une option digne d’intérêt.

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Le cas particulier des groupes d'épargne de proximité

Les groupes d'épargne de proximité sont composés de citoyens qui souhaitent offrir une valeur sociale à leur épargne. Ils mettent en commun une partie de leurs économies qu'ils prêtent, la plupart du temps sans intérêts, à des associations. Depuis plus de 20 ans que ces groupes existent, rares sont les prêts qui n'ont pas été remboursés. En Belgique, on dénombre plusieurs exemples de groupes d'épargne de proximité parmi lesquels : L'Aube (Liège), La Bouée (Francorchamps), Les Ecus baladeurs (Ottignies), La Fourmi solidaire (Gallaix), Le Pivot (Dison).

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Auteur(s)
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
Lieux
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Petits groupes d'épargnants à l'origine, les Credit Unions sont devenus pour certains de véritables banques. Poursuivant l'objectif de servir les plus défavorisés, ces groupements pourront-ils grandir jusqu'à éradiquer l'exclusion financière ?

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2012
Jour d'édition
16
Date d'édition
16/06/2012
Mois d'édition
Juin