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Associations inédites de la finance alternative

Soumis par Anonyme le
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RV-DEFI-1/2
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Année d'édition
2008
Date d'édition
03/2008
Mois d'édition
Mars

Regulating Transformational Branchless Banking: Mobile Phones and Other Technology to Increase Access to Finance

Soumis par Anonyme le

Branchless banking spreads quickly in developing countries. Information and communication technologies (ICT) and non-bank retail channels such as post offices provide access to finance to many people. This paper presents a short list of key topics and recommendations for a proportionate regulatory policy in this sector.

Necessary but not sufficient preconditions for steady and safe growth are:

  • authorisation of retail agents equipped with ICT as principal customer interface
  • development of risk-based anti-money laundering rules and rules for combating the financing of terrorism adapted to branchless banking

Branchless banking’s sustainability as a means of providing financial services to poor people will furthermore depend on regulatory measures such as:

  • the permission for non-bank retail outlets to serve as agents
  • carefully defined restrictions
  • the creation of a regulatory category for electronically stored value
  • a clarification of the legal boundaries between retail payments, e-money and other stored-value instruments and bank deposits
  • effective consumer protection
  • inclusive regulation and effective oversight of payment systems
  • good governance of competition among providers

Policy should urgently consider gaps in regulation and use proportionality as a guiding principle. Co-ordination between authorities and other interested players has to be facilitated.

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DE-CGAP2008-1
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Année d'édition
2008
Date d'édition
01/2008
Mois d'édition
Janvier

Alterfin octroie un dividende de 4% à ses 1392 actionnaires

Soumis par Anonyme le

Dans le contexte financier et économique actuel, il s’agit d’un taux remarquable. Le dividende octroyé pour 2008 était aussi de 4%. C’est grâce aux excellents résultats financiers d’Alterfin qu’un pourcentage identique peut à nouveau être distribué.

2009 fut pour Alterfin une année exceptionnellement positive. Le résultat financier, bénéfice de 675.587 euro, est le plus élevé jamais enregistré. Fin 2009, le capital social d’Alterfin s’élève à 10,3 millions d’euro, apportés par 1.392 actionnaires. En 2009, la croissance record du capital est de près de 1,5 million d’euro (+ 17%) et 173 nouveaux actionnaires ont rejoint la coopérative. 76% du capital est aux mains des 1.253 particuliers; le reste est souscrit par 139 actionnaires institutionnels.

En date de clôture des comptes, le portefeuille total géré par Alterfin s’élève à 30,7 millions d’euro (soit 44 millions de dollars US). 2009 a donc enregistré une croissance de 3,9 millions d’euro en comparaison avec 2008. 56% du portefeuille est investi dans des institutions de microfinance (IMF) et 44% dans des associations de petits paysans qui vendent leurs produits dans le circuit du commerce équitable. 27% de ces crédits sont financés grâce au capital social d’Alterfin et 73% grâce aux fonds de responsAbility Social Investment AG (fonds de placements suisse).

La société coopérative a été créée fin 1994. Les activités ont généré un bénéfice depuis 1998. Chaque année depuis l’exercice 2000, les résultats des activités d’Alterfin lui ont permis de distribuer un dividende (entre 1% et 4%) à ses coopérateurs. Alterfin prouve ainsi qu’en tant qu’investisseur social, elle gère le capital lui confié de manière durable.

“En 2009, Alterfin s’est davantage tournée vers le soutien à l’agriculture. Pas moins de 44% du portefeuille de crédits sont directement investis dans le milieu agricole. Deux tiers des pauvres dans le monde sont en effet dépendants de l’agriculture pour leur survie. En nous orientant principalement vers ce secteur, nous augmentons notre impact social”, selon Hugo Couderé, directeur d’Alterfin.

Présentation d'Alterfin

La société coopérative Alterfin est le résultat d’une collaboration unique et riche entre des ONG (11.11.11, SOS Faim, les Magasins du Monde Oxfam, Oxfam Solidarité, Entraide et Fraternité, le Réseau Financement Alternatif, ...), des banques (Triodos et Fortis) et près de 1.300 actionnaires particuliers. Grâce à leur participation, Alterfin peut compter sur un capital de 10,3 millions d’euro fin 2009. Par l’octroi de crédits, Alterfin soutient des institutions de microfinance et des associations de petits producteurs qui vendent leurs produits sur le marché du commerce équitable.

Pour en savoir plus sur Alterfin

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Alterfin
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Ce samedi 27 mars 2010, l'Assemblée Générale des coopérateurs d'Alterfin scrl a approuvé la proposition de son conseil de distribuer un dividende de 4% à ses actionnaires.

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AR-COLL2010-2
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Année d'édition
2010
Jour d'édition
31
Date d'édition
31/03/2010
Mois d'édition
Mars

Le crédit peer-to-peer

Soumis par Anonyme le

Lancer une nouvelle activité, acheter une voiture, un nouveau salon ou parfois aussi rembourser des prêts lorsque la machine infernale de l'endettement s'est emballée, autant de raisons qui obligent la plupart d'entre nous à contracter un prêt auprès d'un intermédiaire financier.

L'idée a fleuri de se passer de son banquier et d'emprunter de l'argent directement auprès d'un autre particulier. C'est le crédit peer-to-peer, autrement dit, le crédit de personne à personne. L'idée n'est pas bien neuve, mais ce qui l'est, c'est de passer par internet pour se mettre en contact avec d'autres personnes désireuses de prêter de l'argent pour en retirer un petit profit.

Depuis 2005, plusieurs sites ont débarqué sur la Toile. Ces interfaces peer-to-peer ressemblent à celles que l'on connaît depuis quelque temps, permettant à des particuliers de s'échanger entre eux des fichiers audio et vidéo. La crise de 2008 ayant rendu les banquiers frileux à l'idée de prêter de l'argent à des personnes financièrement peu intéressantes, les sommes prêtées et empruntées via de tels sites ont monté en flèche1.

Le prêt 2.0

La plupart des sites proposent des prêts à tempérament entre particuliers. En général, le taux d'intérêt sur lequel l'emprunteur et le prêteur se mettent d'accord est plus bas qu'à la banque.

Le fonctionnement varie d'un site à l'autre. Certains proposent au prêteur de définir une somme, une durée et un taux d'intérêt et répartissent automatiquement cette somme entre différents emprunteurs afin de répartir le risque. D'autres proposent de prêter une somme d'argent définie à un taux défini. C'est alors le système lui-même qui déterminera le meilleur taux (par un système d'enchères) entre l'emprunteur et le prêteur. D'autres encore ne permettent pas de transfert d'argent en ligne entre particuliers, mais gèrent l'administration et la légalité du prêt entre particuliers. Souvent ces sites se rémunèrent en prélevant un pourcentage sur les sommes prêtées et empruntées.

Le prêt social

Au-delà de l'activité rémunératrice que recherchent la majorité des prêteurs via ce mécanisme, il existe une dimension sociale et solidaire indéniable. Tout d'abord, ces plateformes mettent souvent en relation des personnes autour d'un projet commun (monter une affaire, acheter une maison...). Mais surtout, elles permettent à des personnes qui n'auraient pas pu obtenir de crédit auprès de leur banque d'y avoir malgré tout accès. Nombre de personnes, dans une situation financière difficile, ont pourtant besoin de contracter un crédit pour certains achats indispensables, comme une machine à laver ou une voiture pour aller travailler. Elles pourront l'obtenir sur un site de crédit peer-to-peer.

Ces plateformes de crédit peer-to-peer se tournent également vers le microcrédit pour des personnes qui souhaitent lancer leur propre affaire, mais n'ont pu obtenir de crédit auprès de leur banque, soit que cette dernière juge leur situation financière instable ou leur projet trop risqué ou pas assez rentable.

Dans leur version positive, les plateformes de crédit peer-to-peer sont donc une alternative intéressante aux organismes financiers pour obtenir un prêt. Par le fait qu'elles créent une nouvelle forme de collaboration sociale plutôt qu'une relation froide entre une personne et une institution, le taux de non-paiement est relativement faible. Dans leur version négative, ces plateformes créent un risque certain d'empirer une situation financière déjà difficile au départ.

Les avantages et les inconvénients du crédit P2P

Les plus :

  • La création d'un lien social entre deux personnes ou deux communautés.
  • La possibilité pour un emprunteur d’obtenir un crédit même s'il est exclu bancaire.
  • Le taux d'intérêt, en général plus bas que si l'emprunteur passait par un intermédiaire financier.

Les moins :

  • Le risque pour le prêteur de perdre son argent.
  • Le risque pour l'emprunteur d'emprunter à tort et de surpasser sa capacité de remboursement (risque de surendettement) ou de se lancer dans un projet professionnel mal préparé (risque de faillite).

Et en Belgique ?

De tels sites sont surtout en vogue aux États-Unis. Ils prospèrent également au Royaume-Uni ou en Australie. Prosper (un des opérateurs historiques) a été récemment lancé aux Pays-Bas et Zopa (un autre grand acteur du secteur) est en passe de s'installer en Italie (où il doit d'abord régler quelques problèmes juridiques avec la Banque italienne). Quelques sites sont répertoriés en France, mais rien pour l'instant en Belgique.

Boober (un site issu des Pays-Bas, en faillite depuis juin 2009) a pourtant tenté de s'y implanter en 2007. Il a essuyé un refus de la CBFA, l'organisme de contrôle des banques. La CBFA a mis en avant la loi bancaire de 1993 : « Seuls les établissements de crédit peuvent faire appel au public en vue de recevoir des fonds remboursables ». Cette disposition a été mise en place en vue de protéger le consommateur contre des sociétés peu scrupuleuses en matière de crédit.

Il existe par contre des coopératives de crédit social comme Crédal ou de Hefboom. Ce ne sont pas des organismes de crédit, mais des coopératives de crédit. Dès lors, leurs fonds proviennent d'investisseurs qui leur achètent des parts. Celles-ci pourraient être vendues online. Mais ici encore, un accord de la CBFA semble indispensable.

Sites de peer to peer

 

1Aux États-Unis, les sommes prêtées via les plateformes peer-to-peer sont passées de 282 millions de dollars en 2006 à 5,8 milliards de dollars en 2010 (montant estimé). (**préciser la source ?)

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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Des plateformes internet permettent de se prêter de l'argent entre particuliers sans passer par les banques. Certaines ont une visée plus solidaire. Le système n'est pas encore possible en Belgique.

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RV-BAYO2008-1/49
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Année d'édition
2010
Jour d'édition
17
Date d'édition
17/03/2010
Mois d'édition
Mars

Microcrédit sans peine

Soumis par Anonyme le

Désormais, il est possible d'aider un entrepreneur du Sud sans quitter son fauteuil.

Au Ghana, Ramatu a besoin de 725 $ pour monter son épicerie. En Équateur, Walter a besoin de 400 € pendant 6 mois pour réparer son taxi...

A partir de 20 € sur Babyloan ou 25 $ sur Kiva, vous pouvez aider une personne à monter son entreprise et participer ainsi à la grande aventure du microcrédit.

Depuis que le Bangladais Muhammad Yunus a obtenu le prix Nobel de la paix pour la création de la Grameen Bank, le microcrédit est définitivement entré dans l'ère du grand public. Aujourd'hui, l'homme de la rue sait que dans les pays en développement, un prêt d'une somme minime peut permettre à des micro-entrepreneurs de lancer leur activité et d'améliorer leur niveau de vie. Ce que l'on sait moins, c'est qu'il est possible, sans avoir à quitter son confort, de prêter de l'argent à un éleveur de chèvres au Mozambique, à un coiffeur au Bangladesh ou à une coopérative de femmes au Libéria : il suffit pour cela d’un ordinateur, d’une connexion à internet et d’une carte de débit.

Ceci s’appelle le crédit en ligne. Depuis cinq ans, il connait une croissance exponentielle dans les pays du Nord, comme dans ceux du Sud.

En 2005, est née Kiva, première plateforme de microcrédit en ligne, mettant en relation des prêteurs du Nord et des emprunteurs du Sud. En réalité, le prêteur octroie un crédit, non pas à un micro-entrepreneur en particulier, mais à une institution de microfinance (IMF) qui joue les intermédiaires et se charge de sélectionner les entrepreneurs et de leur délivrer les fonds.

Microcrédit en ligne, un business en pleine expansion

150 millions d’euros ont transité en 2009 (+ 50 % par an depuis 5 ans) par les dix plateformes de microcrédit en ligne aujourd’hui existantes : Kiva (USA), MyC4 (Danemark), MicroPlace (USA), RangDe (Inde), DhanaX (Inde), Babyloan (France), Veecus (France), Wokai (USA), United Prosperity (USA) et World Vision Micro (USA).

Le prêteur choisit l’entrepreneur qu’il veut aider, à hauteur de 15 € minimum, en se basant sur une biographie et une description des motivations de l’emprunteur, accompagnée d’une photo. Trois à neuf mois plus tard, l’investisseur retrouve son argent et peut alors le prêter de nouveau à un autre entrepreneur ou le récupérer.

L’accent est mis sur la relation interpersonnelle (peer-to-peer) qui se crée entre le prêteur et l'emprunteur. Régulièrement au cours de son prêt, il reçoit des nouvelles de ce dernier. Les prêteurs peuvent dialoguer entre eux sur les blogs et forums de ces sites, mais rien n’existe encore pour créer un contact direct entre prêteur et emprunteur. Dans les faits, cela reste difficile à réaliser quand on sait que moins d’un milliard de personnes ont accès à internet dans le monde.

Risque et retour sur investissement

Suivant le type de plateforme, les investisseurs sont rémunérés (à hauteur de 1 à 6 %) ou ils choisissent de prêter sans intérêts. Dans un cas comme dans l'autre, ces plateformes de microcrédit en ligne en appellent à la fibre sociale des investisseurs.

Ce choix est loin d’être neutre. Il a un impact direct sur les garanties des prêts. Les prêts sont garantis uniquement chez Babyloan et>DhanaX1, soit par les institutions de microfinance, soit par le site internet lui-même. Si les emprunteurs font défaut (ce qui arrive dans moins de 2 % des cas), les investisseurs retrouveront leur capital de départ. Sur toutes les autres plateformes, l’investisseur supporte le risque et perdra sa mise en cas de non-remboursement par l’emprunteur. Bien que l'on considère qu'il n’y a pas d’investissement avec retour sans risque, l'on est en droit de se demander ce qu'il en est pour ceux qui ne rapportent pas d’intérêts.

 

Le prochain défi qui attend ces plateformes est celui de la transparence. Celle des taux d’intérêts bien sur, mais aussi celle du processus de prêt. Comment les fonds transitent-ils ? Sont-ils bien affectés aux personnes choisies par les prêteurs ?

Les plateformes ont aujourd’hui tout à prouver.

www.babyloan.org

Babyloan est la première plateforme de microcrédit en ligne lancée en France. Une initiative prise en septembre 2008 par Arnaud Poissonnier (un ancien banquier) et Aurélie Duthoit.

Babyloan permet de financer des micro-entrepreneurs dans sept pays d'Afrique, d’Amérique du Sud et d’Asie (Bénin, Équateur, Nicaragua, Vietnam, Tadjikistan, Cambodge et Philippines) à travers sept institutions de microfinance, partenaires sur le terrain, qui sélectionnent les micro-entrepreneurs et leur avancent les fonds.

A partir de 20 €, vous prêtez aux micro-entrepreneurs pour trois à douze mois en vous basant sur une minibiographie de ces derniers, leur photo et une analyse de leur niveau de vie faite par Babyloan (situation économique, situation sanitaire, scolarisation des enfants et rôle social).

Aucun retour financier n'est à attendre de ce prêt, en revanche vous recevez régulièrement des nouvelles des micro-entrepreneurs que vous financez et pouvez récupérer votre argent lorsqu'ils ont fini de rembourser ou décider de le prêter de nouveau.

En 18 mois, près de 600 000 euros prêtés par plus de 5500 investisseurs ont financé plus de 2100 projets.

 

 

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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Le microcrédit en ligne, un business en pleine expansion entre Nord et Sud. Un investissement à risques limités et à fort retour social.

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RV-BAYO2008-1/48
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2010
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17
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17/03/2010
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Mars

Le "Student Positive Awards" récompense un mémoire sur la microfinance

Soumis par Anonyme le

Ce jeudi 11 mars 2010 dans le cadre du Salon SIEP-Liège, le 1er prix de la première édition du Student Positive Awards a été décerné à Madame Alizé Manderlier, Master en Ingénieur de Gestion, étudiante sortante à UCL – Louvain school of management pour son mémoire : « Etude de l’impact de différents mécanismes de gouvernance sur les performances financières et sociales des Institutions de Microfinance en Asie du Sud.». Sa motivation pour ce mémoire fut de « Contribuer à la multiplication des outils, des analyses et des approches afin d'offrir une gouvernance adéquate aux institutions de microfinance, et d'ainsi faire de ces dernières des moteurs économiques à même de lutter efficacement et massivement contre toutes les formes de précarité, en aidant jusqu'aux plus pauvres à parvenir à une vie digne de sens et de respect. »

Le jury a retenu ce mémoire pour « la haute qualité de l’analyse sur les critères de performances économiques et sociales de la microfinance ainsi qu’à la mise en perspective de solutions innovantes qui pourraient s’appliquerà l'économie sociale ainsi qu’à d'autres régions. Autrement dit, le mémoire apporte une contribution concrète et directe au secteur concerné. »

Intéressé de participer à une prochaine édition?

Contactez l'asbl POSECO

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Communiqué de Poseco
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Un mémoire sur la microfinance primé par le Student Positive Awards en Belgique.

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17/03/2010
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Mars

Growth and Vulnerabilities in Microfinance

Soumis par Anonyme le
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CGAP
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2010
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02/2010
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Février

Pourquoi les banques françaises devraient se mettre à la microfinance

Soumis par Anonyme le
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2010
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24/02/2010
Mois d'édition
Février

Overindebtedness: what could we learn from microcredit?

Soumis par Anonyme le
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FD-FARD-3/26
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2009
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20
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20/11/2009
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Novembre

Le microcrédit en Europe : un outil pour combattre la pauvreté

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Le microcrédit en Europe est reconnu comme un outil pour combattre l'exclusion sociale et la pauvreté. Mais qui sont les pauvres en Europe ? Et ont-ils réellement accès au microcrédit ? Les éléments de réponse semblent montrer que les pauvres en Europe sont également souvent exclus du microcrédit.

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Septembre
 

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