Aller au contenu principal

Wal-Mart, l’empire du rêve américain

Soumis par Anonyme le

Oncle Sam à l’ère globale

Sam Walton, fondateur du groupe de distribution américain Wal-Mart, est l’un de ces personnages qui nourrissent continuellement le mythe du rêve américain : partir de rien, devenir multimilliardaire et, en prime, recevoir la Freedom Medal (la plus haute décoration civile des États-Unis) de la main du président de l’époque, George Bush père. Du fin fond de l’Arkansas, il fonda sa première société de distribution, développa plusieurs supermarchés, avant de bâtir un véritable empire. L’une des plus grandes entreprises privées au monde est capable de peser sur les décisions politiques, de bouleverser la balance commerciale de la première économie mondiale, de déterminer le salaire minimum réel, de casser les syndicats, d’influencer les flux de capitaux mondiaux, voire d’ouvrir des voies diplomatiques parallèles.
Le géant mondial de la grande distribution a tout pour plaire. Leader mondial du secteur, un chiffre d’affaires supérieur au PIB de la Suisse, le premier employeur privé du monde (actuellement plus de 2 millions d’employés) affiche des bénéfices records : en dépit de la crise financière, Wal-Mart a dégagé 3 milliards de bénéfice net au premier trimestre 2009. Ce chiffre s’explique notamment par l’accroissement, depuis la crise, de l’engouement de la population pour ces magasins à bas prix.
De plus, Wal-Mart a développé un programme de standards éthiques et déploie beaucoup d’énergie pour que l’ensemble de l’entreprise soit durable à long terme. Cette multinationale semble donc être le fleuron de notre ère moderne qu’est la globalisation...

Que cache donc ce succès fulgurant  ?

Mais pourquoi Wal-Mart est-il systématiquement la cible d’attaques de la part du monde associatif et des syndicats?

Lorsqu’il s’agit de droits élémentaires du travail, comme le droit de se syndiquer, l’égalité salariale entre hommes et femmes, un revenu et des conditions de travail décentes, Wal-Mart est loin d’intégrer ces concepts dans sa stratégie de management du personnel. Que du contraire, Wal-Mart semble totalement allergique aux syndicats au point d’en arriver à fermer les supermarchés (même très rentables) où les employés s’étaient regroupés sous la bannière d’un syndicat, d’espionner les délégués syndicaux, de financer illégalement les mouvements anti-syndicalistes, de systématiquement faire appel de toute décision judiciaire, bref de mettre une pression terrible sur ses travailleurs pour éviter tout type de revendication sociale en vue d’une amélioration des conditions de travail.

Wal-Mart est le roi des prix bas, mais aussi des bas salaires. Car pour garantir des prix aussi bas à ses consommateurs, il faut bien obtenir les prix les plus bas chez les fournisseurs.

À travers son programme de standards éthiques, Wal-Mart semble prendre la mesure de ces critiques et décidé à être socialement responsable. Depuis 1992, il existe un code de conduite qui, pour s’assurer de son application effective, est vérifié sur le terrain auprès des fournisseurs et autres agents avec lesquels Wal-Mart fait du commerce. Mais la capacité de Wal-Mart à faire respecter son propre code de conduite a été mise en doute à plusieurs reprises (1), notamment au Bangladesh où des enfants de moins de 14 ans travaillaient à la production de vêtements pour les marques de Wal-Mart et où les conditions d’hygiène et de sécurité étaient bien en deçà des normes internationales.

Pourquoi en parler en Belgique  ?

AXA, ING, Fortis-BNP -Paribas, Dexia, Citibank, Deutsche Bank, KBC, toutes ces banques utilisent une partie de votre argent pour financer et acheter des actions de Wal-Mart : au total, le montant investi par les banques actives en Belgique atteint 4,5 milliards d’euros.

Via le site www.secretsbancaires.be, n’hésitez pas à les interpeller.

(1) Cf. Rapport CASH : www.vetementspropres.be/doc/RapportCashFR.pdf

Type de support
Type de document
Auteur(s)
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
Lieux
Sommaire

Wal-Mart est le premier employeur privé dans le monde. Son anti-syndicalisme affiché interpelle... Jusqu'aux investisseurs belges ? En bref : Le succès du géant de la grande distribution est proportionnel aux violations des droits élémentaires de ses travailleurs. Les banques actives en Belgique contribuent à financer cette entreprise controversée ! Wal-Mart exerce une pression terrible afin d'éviter tout type de revendication sociale.

Mots-clés liés

Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
RV-BAYO2008-1/38
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2009
Date d'édition
09/2009
Mois d'édition
Septembre

Dexia et les colonies israéliennes : nouvelles révélations

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Auteur(s)
Thématiques liées
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
AR-DF2009-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2009
Jour d'édition
15
Date d'édition
15/09/2009
Mois d'édition
Septembre

Study on Credit Intermediaries in the Internal Market

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Editeur
Europe Economics
Lieux
Sommaire

Broad study of the market of credit intermediairies in the EU

Mots-clés liés

Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
MO-EURO2009-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2009
Jour d'édition
15
Date d'édition
15/01/2009
Mois d'édition
Janvier

6 membres de BankTrack dévoilent les secrets bancaires

Soumis par Anonyme le

La récente recherche menée au sein du réseau BankTrack dévoile les liens financiers entre ces grandes banques européennes et des entreprises blacklistées soutenant des dictateurs, provoquant des dégâts environnementaux irréparables ou produisant des armes totalement aveugles, telles que les bombes à sous-munitions. Les 13 banques étudiées ont investi ensemble près de 40 milliards d’euros dans ces compagnies et ces projets ces 4 dernières années.

De 2005 à 2009, Santander, Barclays, BBVA, BNP Paribas, Citibank, Crédit Agricole, Deutsche Bank, ING, Intesa Sanpaulo, HSBC, RBS, Société Générale et UniCredit ont investi massivement dans des entreprises telles que le producteur de bombes à sous-munitions Textron, la compagnie pétrolière PetroChina et la compagnie minière indienne Vedanta Resources. Elles ont ainsi financé 11,4 milliards d’euros de prêts et organisé et émis des actions et des obligations pour un montant total de 10,5 milliards d’euros. Ces 13 banques détiennent ou gèrent pour compte de tiers par ailleurs 17,7 milliards d’euros dans ces mêmes entreprises.

« Ce type d’investissements controversés ne peut plus être toléré. Ces institutions financières devraient prendre en considération les normes internationales environnementales et sociales dans toutes leurs décisions de financement et d’investissement. Nous exigeons des pratiques éthiques : pas d’argent pour les dictateurs, pour la destruction de l’environnement, les armes controversées ou la violation des droits humains ».

« Les banquiers ne devraient pas attendre d’être reconnus comme pénalement responsables des violations des droits humains et des destructions graves de l’environnement. Ils devraient s’assurer qu’ils ne génèrent pas de profits à partir de telles pratiques. Les banques constituent un levier de changement énorme et elles peuvent contribuer aux changements positifs et nécessaires ».

Afin d’exposer ces secrets bancaires, des activistes ont mené différentes « opérations transparence » en se déshabillant devant plusieurs sièges bancaires dans les principales capitales européennes. Le site Internet présente une carte du monde illustrant les investissements nocifs des banques européennes, les profils des banques et des informations sur les liens financiers entre les entreprises et les banques. Il invite également le public à envoyer une e-carte aux PDG des banques ciblées, ainsi qu’à opter pour une banque éthique

Profils des banques

Photos

Contact en Belgique : Netwerk Vlaanderen

Type de support
Auteur(s)
Editeur
Netwerk Vlaanderen
Lieux
Sommaire

Communiqué de 6 membres de Banktrack concernant le site www.banksecrets.eu qui présente les investissements controversés de 13 grandes banques européennes dans le monde.

Commentaire interne

Communiqué

Mots-clés liés

Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
DE-NETW2009-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2009
Jour d'édition
25
Date d'édition
25/06/2009
Mois d'édition
Juin

Vade-mecum statistique du secteur bancaire 2005

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Editeur
Association Belge des Banques
Lieux
Sommaire

Chiffres clés du secteur bancaire belge p 15 Les banques au sein de l'économie p 19 Structure du secteur bancaire p 31 Ressources humaines p 45 Investissements p 51 Moyens d'action p 53 Crédits p 59 Activités hors bilan p 73 Internationalisation p 77 les paiements p 89 Bancarisation p 105 Rentabilité, solvabilité, productivité p 111 Autres activités et entreprises financières p 123

Mots-clés liés

Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
FD-FARD-2/9
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2006
Date d'édition
07/2006
Mois d'édition
Juillet

Aucune crise à la banque du supermarché suisse

Soumis par Anonyme le
Type de support
Editeur
GRESEA
Lieux
Sommaire

Migros, supermarché suisse, a développé un bras bancaire où ses clients peuvent soit déposer leur épargne, soit obtenir des crédits. Les affaires prospèrent ! Billet d'humeur sur base de l'information parue au sujet de Migros dans le Financial Times du 31/1/09.

Mots-clés liés

Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
RV-GRES2009-1/
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2009
Jour d'édition
2
Date d'édition
02/04/2009
Mois d'édition
Avril

La monnaie, à l'image des écosystèmes : plus de diversité S.V.P. !

Soumis par Anonyme le

Bernard Lietaer, comment voyez-vous la crise financière ?

Je la compare à une voiture sans freins avec laquelle on devrait traverser les Alpes. Peu importe où surviendra l’accident, il est inévitable. Ainsi, depuis 1975, notre système monétaire a connu 96 crises bancaires et 176 krachs monétaires. Il est, comme cette voiture sans freins, systématiquement instable. Qui ose le dire ? On parle des trous dans la route, on change de conducteur... Bref, toutes les solutions avancées sont des emplâtres sur une jambe de bois.

Quelle solution proposez-vous ?

Je préconise la création de monnaies complémentaires qui permettent de compenser les failles d’un système dominant et monopolistique. L’expérience des monnaies complémentaires existantes a montré qu’elles « respirent » en contre-cycle par rapport à l’économie en monnaie conventionnelle. Quand celle-ci se porte bien, les systèmes complémentaires restent marginaux. En période de récession, ils se développent parce qu’ils facilitent la poursuite de l’activité économique. Un bon exemple est le WIR, en Suisse. La Suisse est un État capitaliste assez conservateur. Cela n’a pas empêché une poignée d’entrepreneurs – ils étaient seize, en 1934 – de créer une monnaie complémentaire permettant aux entreprises membres de se faire crédit l’une à l’autre. 75 ans plus tard, les membres du WIR sont 75 000 et leur coopérative est devenue une banque. Il a été démontré que cet instrument joue un rôle important dans la stabilité de l’économie suisse.

Vous dites bien « monnaie complémentaire » ?

Oui, car je ne préconise pas une grande révolution, mais plutôt le développement de systèmes qui se développent spontanément en cas de récession. C’est en ce sens qu’une crise représente une opportunité. Je ne suis pas contre d’autres solutions comme les nationalisations ou la régulation, mais la régulation ne va pas supprimer les crises, elle ne peut qu’en réduire la fréquence. Quant à des transformations plus radicales, elles rencontrent la résistance des lobbies financiers, d’où la difficulté de les mettre en oeuvre. Donc, les monnaies complémentaires existent déjà ?

Oui, et ce n’est pas nouveau, même si on en entend peu parler. On ne compte plus aujourd’hui les systèmes à usage commercial de type « chèque repas », points bonus des grands magasins ou autres. Quant aux systèmes présentant une dimension sociale – banques de temps comme les services d’échanges locaux (SEL) ou les monnaies fondantes visant à favoriser l’économie sociale et les échanges locaux – il y en a au moins 5000 dans le monde, d’échelles différentes (1). En Allemagne, il y a 63 monnaies régionales dont 30 sont déjà opérationnelles, l’exemple le plus connu étant le Chiemgauer. Les Autrichiens sont aussi très actifs. Pour la France, on peut citer le SOL... Ces expériences dans les pays voisins sont plus facilement transposables à notre réalité que celles, fort intéressantes par ailleurs, des pays du Sud (2).

Quelles sont les conditions de leur succès ?

Pour pouvoir fonctionner au mieux, une monnaie – qui est une convention sociale basée sur la confiance – doit être gérée de façon rigoureuse et transparente. Ceci est vrai aussi pour les monnaies nationales ! Quand ce n’est plus le cas, comme aujourd’hui au Zimbabwe, la monnaie dévalue fortement. La valeur ajoutée des systèmes à vocation sociale, c’est leur impact sur la société. Toute technologie qui change les relations entre les gens a le pouvoir de changer la société : ce fut déjà le cas avec l’écriture, la voiture, l’ordinateur et Internet... La monnaie représente un réseau complexe où tout est interconnecté, c’est pourquoi on peut le comparer aussi aux écosystèmes et s’inspirer de leur fonctionnement.

On pourrait donc appliquer le biomimétisme à l’économie ?

Effectivement ! Pour ma part, je me base sur vingt-cinq années de recherches menées avec des confrères américains (3) qui ont permis de comparer le flux de la monnaie à celui d’autres types de réseaux dynamiques comme la biomasse, les réseaux électriques ou le système immunitaire. Leur durabilité n’est possible qu’à certaines conditions. La recherche de l’efficacité a tendance à gommer la diversité et la richesse des interconnexions. Cela appauvrit le système, le rend plus vulnérable. La résilience, qui est fonction de la diversité couplée à l’interconnectivité, rend un système moins efficace, mais plus robuste. Entre ces deux pôles, on peut déterminer un point d’équilibre que nous avons nommé la « fenêtre de viabilité ». L’effet d’une monnaie parallèle est de revenir vers plus de résilience.

Les monnaies parallèles permettent-elles de combattre la pauvreté ?

Oui, car si la pauvreté est généralement définie en termes de revenus, la richesse est, elle, plutôt évaluée en actifs, ce qui crée une distorsion. C’est tout le problème de la concentration du capital. Si l’on considère qu’à côté du capital financier il y a aussi le capital humain (la capacité de travail, la compétence...) et le capital social (les réseaux sociaux, l’entourage), on peut aider des pauvres à s’en sortir. C’est ce qu’a démontré la pratique de la microfinance, tout comme celle des monnaies complémentaires. Pour ma part, j’ai suggéré qu’en Inde on crée un outil d’épargne basé sur les arbres – qui croissent en taille, et donc en valeur, pour permettre à des petites gens de constituer une épargne (4).

... Et en Belgique ?

À présent, le gouvernement flamand s’intéresse à un projet qui pourrait démarrer à Anvers et à Gand, avant d’être étendu à d’autres régions. Je travaille à ce projet avec Netwerk Vlaanderen. Concrètement, il s’agira d’une carte à puce multifonction, qui permettra de comptabiliser des services entre entreprises ou particuliers, services commerciaux autant que sociaux. Nous voulons ancrer cette initiative dans des communautés existantes et être à l’écoute de leurs besoins, pour que cette initiative ne soit pas seulement top-down mais aussi bottom-up.

Un autre projet est à l’étude, avec un réseau de villes européennes, dont Bruxelles. Il s’agirait d’une monnaie « carbone », visant la réduction des émissions de CO2. Si la Région wallonne veut également se lancer, je suis à sa disposition !

Propos recueillis par Antoinette Brouyaux

(1) Cf. notamment le dossier« Monnaies complémentaires » du FINANcité Magazine nº 8.

(2) Bernard Lietaer et Margrit Kennedy, Monnaies régionales, de nouvelles voies vers une prospérité durable, éd. Charles Léopold Mayer, 2008.

(3) Bernard Lietaer, Robert Ulanowicz & Sally Goerner, « White Paper on the options for managing systemic bank crises », décembre 2008, étude disponible sur www.lietaer.com

(4) Marek Hudon et Bernard Lietaer : « Natural Savings : A New Microsavings Product for Inflationary Environments. How to Save Forests with Savings for and by the Poor ? », in Savings and Development, Fall 2006.

Type de support
Type de document
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
Lieux
Sommaire

Bernard Lietaer travaille dans le domaine des systèmes monétaires depuis 30 ans. Après avoir exercé le métier de banquier central, il a été enseignant et consultant. Son livre, Le Futur de la monnaie, publié en 1999, a été traduit en 18 langues. À présent, après avoir écrit avec Margrit Kennedy Monnaies régionales, nouvelles voies vers une prospérité durable, il revient au pays pour mettre en oeuvre, en Flandre, une monnaie alternative !

Mots-clés liés

Thématiques liées
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
RV-BAYO2008-1/22
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2009
Date d'édition
03/2009
Mois d'édition
Mars

L'importance d'être séparé

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Auteur(s)
Editeur
Finance Watch
Lieux
Code de classement
MO-FINA2014
Indice du code de classement
5
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
MO-FINA2014-5
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2014
Jour d'édition
24
Date d'édition
24/02/2014
Mois d'édition
Février

233 milliards d’euros: le subside implicite perçu par les grandes banques en Europe

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Auteur(s)
Lieux
Sommaire

Etude publiée par les Verts européens sur les subsides implicites des banques.

Thématiques liées
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
AR-LAMB2014-2
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2014
Jour d'édition
28
Date d'édition
28/01/2014
Mois d'édition
Janvier

JP Morgan Chase and the Corruption of America

Soumis par Anonyme le
Type de support
Auteur(s)
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
DE-REIC2013-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2013
Jour d'édition
10
Date d'édition
10/12/2013
Mois d'édition
Décembre
 

REJOIGNEZ NOTRE MOUVEMENT 

Comme nous, voys croyez qu'une autre finance est possible ? Joignez votre voix aux 4000 membres de notre mouvement (coopératives,asbl,citoyen·ne·s engagé·e·s) et soutenons la finance de demain.