Aller au contenu principal

Vers une éducation financière et à la consommation responsable

Soumis par Anonyme le

L’éducation à la consommation responsable fait partie des thématiques abordées dans le cadre de l’enseignement d’une citoyenneté transversale. Elle englobe les aspects d’éducation financière (acquérir des connaissances pratiques, gérer et planifier ) et de choix conscient et responsable (acheter de manière responsable, acquérir une vision citoyenne).

Ce guide, à destination des enseignants, propose une cinquantaine d’outils innovants permettant de faire comprendre aux élèves de l’enseignement secondaire les
enjeux de l’éducation financière sous l’angle de la consommation responsable.

Type de support
Type de document
Editeur
Financité
Lieux

Mots-clés liés

Thématiques liées
Code de classement
FG-ATTO2016
Indice du code de classement
2
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
FG-ATTO2016-2
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2016
Date d'édition
02/2016
Mois d'édition
Février

Guide pratique des monnaies complémentaires

Soumis par Anonyme le

Si le sujet des monnaies complémentaires vous interpelle, si vous réfléchissez à d’autres manières d’échanger, à encourager des mécanismes de solidarité, si vous voulez vous réapproprier la monnaie en créant votre propre système monétaire et être accompagné dans cette démarche, vous êtes au bon endroit !
Le guide pratique des monnaies complémentaires de Financité contient tout ce que vous devez savoir pour mettre en place une monnaie complémentaire. Chaque étape nécessaire à la création d’une monnaie citoyenne y est détaillée et facilement identifiable.

Type de support
Type de document
Editeur
Financité
Lieux

Mots-clés liés

Code de classement
FG-DISN2013
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
FG-DISN2013-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2013
Date d'édition
09/2013
Mois d'édition
Septembre

Guide pratique des monnaies complémentaires

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Editeur
Réseau Financité
Sommaire

Si le sujet des monnaies complémentaires vous interpelle, si vous réfléchissez à d’autres manières d’échanger, à encourager des mécanismes de solidarité, si vous voulez vous réapproprier la monnaie en créant votre propre système monétaire et être accompagné dans cette démarche, vous êtes au bon endroit !
Le guide pratique des monnaies complémentaires du Réseau Financité contient tout ce que vous devez savoir pour mettre en place une monnaie complémentaire. Chaque étape nécessaire à la création d’une monnaie citoyenne y est détaillée et facilement identifiable.

Code de classement
FE-CLER2013
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
FE-CLER2013-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2013
Date d'édition
09/2013
Mois d'édition
Septembre

Financité Magazine n°25 : Finance en eaux troubles

Soumis par Anonyme le

Type de support
Type de document
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
Lieux
Thématiques liées
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
RV-BAYO2008-1/71
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2012
Date d'édition
03/2012
Mois d'édition
Mars

FINANcité Magazine n°24 : Migrants : où va l'argent ?

Soumis par Anonyme le

Type de support
Type de document
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
Lieux
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
OC-BAYO2011-4
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2011
Jour d'édition
17
Date d'édition
17/12/2011
Mois d'édition
Décembre

L'envol des Cigales

Soumis par Anonyme le

Dès 1983, en France, les CIGALES (Club d’investisseurs pour une gestion alternative et locale de l’épargne solidaire) apparaissent comme un outil de financement innovateur en vue d’impulser le développement économique local.
En pratique, les CIGALES sont composées de 5 à 20 membres qui rassemblent leur épargne en vue de financer des entreprises et associations locales. La gestion de cette épargne se veut collective et démocratique. Avec cette cagnotte, les CIGALES investissent dans de petites entreprises locales, en création ou encore jeunes, pendant 5 ans (renouvelables), en prenant une participation minoritaire dans leur capital. Les prises de capital vont de 1000 à
10 000 €, la moyenne se situant à 1500 € par entreprise pour un club. Au niveau des associations, l’aide financière peut se faire par un apport avec droit de reprise. Les critères de choix de l’activité des entreprises ou associations dépendent de la personnalité du groupe.
Mais au-delà de l’aspect financier, les objectifs des CIGALES sont aussi sociaux, culturels, économiques et surtout humains. Elles créent un véritable lien social entre porteurs de projet et investisseurs. Mieux encore, par leur constitution, elles permettent bien souvent de renforcer le lien social au sein d’un quartier ou d’une communauté d’habitants qui décide d’investir et de s’investir dans cette démarche solidaire.
Aujourd’hui, on compte une centaine de CIGALES actives en France. En Belgique, de telles initiatives existent également, sous la forme de groupes d’épargne de proximité.
Retrouvez-les sur www.financite.be

Type de support
Type de document
Auteur(s)
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
Lieux
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
DE-ATTO2010-3
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2010
Jour d'édition
15
Date d'édition
15/09/2010
Mois d'édition
Septembre

Cahier FINANcité n°18: Indicateurs de responsabilité sociétale des établissements de crédit et des dispensateurs de crédit aux particuliers

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
Lieux
Sommaire

La présente étude a donc pour objectif de définir les contours d'une RSE propre aux institutions financières et axée sur les enjeux de l'inclusion financière, d'une part, et de la responsabilité et solidarité adoptées dans la politique de gestion des actifs et l'offre des produits d'investissement, d'autre part. Elle vise également à développer les moyens de la mesurer. Son objet est donc de fournir un outil d'évaluation de la RSE.

Code de classement
OC-CAHI-1
Indice du code de classement
26
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
OC-CAHI-1/26
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2010
Date d'édition
06/2010
Mois d'édition
Juin

Nature et Progrès sur la brèche

Soumis par Anonyme le

FINANcité : Quelle vision Nature & Progrès a-t-elle du modèle agricole souhaitable ?

Marc Fichers : Nature & Progrès ne croit en la survie de l'agriculture qu’à condition que l’agriculteur maîtrise la transformation et la commercialisation de son produit. Nous ne croyons plus à une agriculture basée sur une fourniture d’ingrédients où la valorisation est aux mains de l’industrie. L’avenir est principalement dans les produits à haute valeur ajoutée : fruits et légumes, voire fromage, ce qui nécessite peu de surfaces.
Nous croyons plus à la complémentarité et au partage de terres entre des agriculteurs plutôt qu’à l’acquisition de terres en propre. Si de nouveaux maraîchers veulent s’installer, ils ont intérêt à s’arranger avec un agriculteur qui fait de grandes cultures en bio en lui louant 2 ou 3 hectares, plutôt qu'à s’endetter pour acheter. L’accès à la terre peut être réalisé par une mise à disposition de la terre. Nous voyons plus de possibilités dans l’échange humain.

FINANcité : Comment analysez-vous la crise actuelle dans le monde agricole ?

M.F. : L’agriculteur conventionnel ou même bio actuellement est un fournisseur d’ingrédients pour l’agro-industrie. Le problème central de la crise agricole, c’est que les agriculteurs sont producteurs d’ingrédients et, pire, ils ne sont pas maîtres de la transformation et de la commercialisation de leur production. Par exemple, on ne peut pas dire que l’agriculteur vende son lait. Non, l’agriculteur livre son lait, c’est là toute la différence.

FINANcité : Vous plaidez contre l’industrialisation de l’agriculture et pour le développement d’autres modèles de distribution ?

M.F. : On vit dans un petit pays et nous avons des terres minuscules au regard de ce qui se rencontre ailleurs dans le monde. Il n’y a de possibilités de développement que dans l’appropriation de l’outil de transformation et de commercialisation par l’agriculteur. Ce qui passe par le rapprochement entre le consommateur et le producteur : le consommateur doit être conscient qu’il peut exercer une influence sur son environnement social et économique. Il faut éviter que, par l’achat de nos produits alimentaires, nous fassions le jeu de l’agro-industrie.

FINANcité : Vous défendez des modèles comme les groupes d’achats collectifs ou les AMAP ?

M.F. : Les groupes d’achats collectifs (cf. p. 8) sont intéressants parce que ce sont des laboratoires d’échanges, de discussion, de sensibilisation. Mais, pour nous, la solution est clairement dans l’appropriation de la transformation et de la commercialisation par l’agriculteur. Il faut que l’agriculteur soit maître de son outil.

FINANcité : Cette appropriation est-elle possible par un agriculteur qui agit seul ?

M.F. : En Belgique, l’agriculteur est une personne qui travaille plutôt seule. On ne connaît pas beaucoup d’agriculteurs qui acceptent de partager leurs idées, leurs outils, voire leur production. Ici, ça a rarement pris. Peut-être que la situation amènera à ce que cela se développe.
N'oublions pas que les grandes fromageries ou les grandes structures de transformation du lait étaient toutes des coopératives d’agriculteurs au départ. En grandissant, elles ont fait rentrer du capital extérieur dans leur structure pour, à la fin, se faire racheter par des grands groupes agro-industriels. Au départ, c'étaient toutes de petites structures coopératives. Il faut bien mettre au point les règles du jeu dès le départ : coopératives, oui, mais clairement dans les mains des agriculteurs.

FINANcité : Y a-t-il un problème d’accès à la terre en Belgique ?

M.F. : Certainement. La terre est très chère en Belgique. Le développement des terres agricoles doit-il passer par la propriété ? Je n’en suis pas certain. C'est pourquoi nous prônons aussi la location ou la sous-location. Actuellement, de nombreuses structures publiques sont en train de vendre leurs terres : les CPAS, les églises, certaines structures publiques qui, avant, mettaient leurs terres en location. Le cahier des charges de ces ventes peut très bien contenir des clauses favorisant des agriculteurs qui veulent s’installer en production maraîchère pour la vente en circuit court, pour la vente locale. Toutes ces structures publiques mettent aussi en location de grandes quantités de terres. Les principaux critères actuels sont le prix et la proximité. On peut aussi plaider pour des critères d’attribution tenant compte de la production locale, respectueuse de l’environnement, dans le cas d'un bail à ferme. Celui-ci permet un accès à la terre, non pas en tant que propriétaire, mais en tant que locataire.

Type de support
Type de document
Auteur(s)
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
Lieux

Mots-clés liés

Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
AR-ATTO2009-3
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2009
Jour d'édition
14
Date d'édition
14/11/2009
Mois d'édition
Novembre

Trois questions à Arnaud Zacharie, directeur du CNCD

Soumis par Anonyme le

FINANcité : Pouvez-vous nous expliquer ce qui se passe actuellement dans les pays du Sud, quelle est cette nouvelle ruée vers l’or brun ?

AZ : Depuis la crise alimentaire de 2008, un phénomène nouveau est apparu : l’achat massif de terres arables par des firmes transnationales qui n’ont rien à voir avec le secteur agroalimentaire. Il y avait déjà du commerce des terres auparavant, mais l’objectif financier des firmes transnationales est maintenant clair. Celle qui a fait le plus parler d’elle est la firme sud-coréenne Daewoo, qui a entraîné la chute d’un président, à Madagascar. Ce phénomène provient directement de la crise alimentaire. La Corée du Sud en est un bel exemple : elle importe environ 60 % de son alimentation. Différents pays très dépendants des importations alimentaires se sentent vulnérables par rapport aux fluctuations des prix agricoles sur les marchés mondiaux. Ils se disent qu’il vaut mieux prévoir l’avenir en accaparant, en achetant des terres arables qui ne sont pas cultivées, dans les pays les plus pauvres, essentiellement dans l’Afrique subsaharienne, mais pas uniquement. Ils s'intéressent aussi à des pays comme l’Ukraine ou la Russie qui ont ces grandes surfaces à cultiver, et à des pays asiatiques, comme l’Indonésie ou les Philippines.

FINANcité : Qui achète ? Des États ou des sociétés privées ?

AZ : Le phénomène devient spéculatif. Des firmes investissent dans ces terres parce qu'elles voient que les prix fluctuent. Elles tablent alors sur le fait qu'ils vont sans doute encore augmenter. Toute une série de pays émergents consomment de plus en plus de viande et ont donc besoin de plus en plus de céréales. Au même moment, on constate qu’il y a une disparition d’environ 100 000 km² de terres arables chaque année. Dégradations de l'environnement, urbanisation... La quantité de terres arables diminue. Et pendant ce temps, les besoins alimentaires vont croissant. Les financiers prévoient donc une sous-production et conséquemment, une hausse de prix. Ils spéculent sur une augmentation des prix futurs.

FINANcité : Quid des États qui vendent ou louent des terres ? Que devraient-ils faire pour protéger leur population ?

AZ : La première chose à faire est de refuser de vendre les terres, mais évidemment les tentations sont grandes. Les acheteurs apportent de l’argent, parfois beaucoup d’argent à court terme à des gouvernements qui en ont peu et qui sortent d’une crise alimentaire, puis d’une crise économique et financière. Ils ont donc besoin d’argent frais. À cela il faut ajouter que la Banque mondiale conditionne de plus en plus ses financements, ou en tout cas encourage par ses financements la vente des terres agricoles dans les pays qui font appel à elle. Le problème est que l'agro-business ne nourrit en général pas les populations les plus pauvres du globe et en particulier les petits paysans qui sont les premiers à souffrir de malnutrition. Selon les estimations de la FAO, 1,2 milliard de personnes souffrent de malnutrition dans le monde en 2009. Ils étaient 850 millions en 2007. Les deux tiers sont des paysans du Sud. Il faut les soutenir pour leur permettre de nourrir leur population et d'avoir les capacités économiques suffisantes pour se nourrir eux-mêmes. C'est pourquoi le CNCD prône la souveraineté alimentaire, objet de nos campagnes 11.11.11 de 2006 et de 2007.

Type de support
Type de document
Auteur(s)
Lieux
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
AR-ATTO2009-2
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2009
Jour d'édition
15
Date d'édition
15/11/2009
Mois d'édition
Novembre

FINANcité Magazine n°15 : Finançons le travail décent !

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
Lieux
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
RV-BAYO2008-1/37
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2009
Date d'édition
09/2009
Mois d'édition
Septembre