Apple, Bitcoin, Paypal, Google: la fin des banques?
Taille optimale de la finance
L’objet de cette analyse est d’identifier les raisons pour lesquelles, au-delà d’un certain seuil, la finance peut s’avérer nocive pour la société. En gardant bien à l’esprit que ce n’est pas (seulement) Financité qui le dit, mais de nombreuses études scientifiques, notamment publiées par des instances aussi connues et reconnues - et rarement soupçonnées d’anticapitalisme primaire - que l’OCDE, le FMI ou la Banque des règlements internationaux.
Réchauffement financier
Le réchauffement climatique désigne ce phénomène d'augmentation des températures moyennes mesurée depuis plusieurs décennies, du fait des émissions de gaz à effet de serre par l'homme. Selon le Giec, « le réchauffement anthropique de la planète pourrait entraîner certains effets qui sont brusques ou irréversibles, selon le rythme et l'ampleur des changements climatiques » (Rapport 2007). Et s'il en allait de même du secteur financier ?
Déréglementer... faute politique ou erreur de langage ?
La notion de « déréglementation » est souvent évoquée tant dans les milieux médiatiques, économiques, politiques que dans les mouvements citoyens et le secteur associatif.
Mais à quoi renvoie ce terme précisément ?
Et à y regarder de plus près, n’est-il pas un cheval de Troie « capitaliste » y compris sous la plume des « alter » et « anti » capitalistes ?...
La genèse de la banque et le principe de réserves fractionnaires
La monnaie est un concept qui fait couler beaucoup d'encre. Le plus souvent quand il manque dans les poches des citoyens, de l'État ou de l'économie. La monnaie est aussi un sujet de société qui reflète et oriente nos rapports sociaux. C’est un vecteur de liens entre les communautés, véhicule de valeurs – au propre comme au figuré. Et enfin, la monnaie symbolise une forme de pouvoir pour celui qui la détient, la définit, la crée. Malgré cette importance capitale, la monnaie reste malheureusement un sujet fort peu connu du grand public.
Afin de permettre une meilleure appropriation du sujet par le plus grand nombre, cette série d'analyses vise trois objectifs. En premier lieu, nous levons une partie du voile sur le cheminement historique qui a conduit à l’avènement des premières banques sous leurs formes modernes et la création des premières monnaies-bancaires par le système des réserves fractionnaires. Dans un second temps, nous découvrons le processus simple par lequel des agents privés : les banques commerciales, créent dans nos sociétés la majeure partie de la monnaie. Enfin, nous évaluons les impacts de cette privatisation d'un outil indispensable à une société marchande et les rapports sociaux qui en découlent.
De plus, cette série émet quelques pistes de réflexion sur la valeur de l'argent, son fonctionnement, les liens établis entre les individus et le rôle des acteurs clés dans ce processus de création pour finalement nous conduire à envisager des pistes de solution.
La prise en compte du long terme
Si l’on ambitionne de changer la finance ou, plus largement, de contribuer à une société plus durable et solidaire, il faut commencer par apprendre à compter et mesurer ce qui compte.
Un élément délicat à prendre en compte semble être, pour les politiques, on le comprend, mais également pour les économistes, le long terme. Penchons-nous sur le sort réservé par le calcul économique aux générations futures.
Le football, miroir grossissant du capitalisme
Chaque été, les montants annoncés lors du mercato dépassent l’entendement. Sport populaire par excellence, comment le football, symbole de la mondialisation a-t-il perdu la boule ?
Qui veut la peau du service public ?
Dans les discours politiques, il ne viendrait à l’idée à aucun parti (ou presque) d’affirmer vouloir supprimer les services publics. Pourtant, l’action politique, elle, prouve le contraire, sous l’impulsion notamment de l’Union européenne.
Que reste-t-il de la crise financière 2/2
Dans la première partie nous avions analysé la place qui a été donnée à la couverture des dix ans de la crise dans Le soir et la Libre Belgique au départ des éditions de deux week-ends « anniversaire ».
Dans cette seconde partie de cette analyse, nous tentons de synthétiser le message, la lecture donnée à ces événements par ces quotidiens.
Avec 10 ans de recul, qu’est-il donné aux lecteurs lambdas pour comprendre la crise, mais aussi ses effets à long terme sur l’ensemble de la société?
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