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Taxonomie durable : nouveau standard de greenwashing institutionnel européen

Soumis par Anonyme le

Paris, le 2 février 2022 – Portée par un puissant lobbying industriel et soutenue par une alliance de pays pro-gaz et nucléaire, la Commission européenne intègre legaz fossile et l'énergie nucléaire à la taxonomie durable européenne. Pièce maîtresse de la stratégie de finance durable de l’Union européenne, elle devient ainsi le nouveau standard du greenwashing. En réaction, Reclaim Finance appelle l’ensemble des acteurs financiers français et européens à adopter leurs propres mesures d’exclusion du gaz et du nucléaire.

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Reclaim Finance
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02/02/2022
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Février

Revue d'économie financière : Le financement de la santé

Soumis par Anonyme le

Le financement de la santé

  •  Introduction
  •  Les réformes de santé dans le monde
  •  Assurance sociale et assurance maladie aux États-Unis : principes et paradoxes
  •  Assurance maladie : l'impossible colmatage du tonneau des Danaïdes
  •  Pour une budgétisation du financement de l'assurance maladie
  •  Entre État et marché : quel rôle futur pour l'assurance de santé en France ?
  •  L'étouffement progressif et coûteux des OCAM
  •  Comment restaurer la compétitivité de la recherche française en biologie-santé ?
  •  Santé : évaluer la prévention
  •  Une overdose de technologie informatique de la santé : notes depuis la dystopie américaine
  •  Précarité et rémunération des hôpitaux : pour une modulation des tarifs tenant compte de la position socioéconomique des patients
  •  Quelques suggestions pour améliorer la pratique de la comptabilité hospitalière des établissements publics de santé
  •  Logique médicale, économique, industrielle et politique dans la définition du « prix » du médicament

 

Chronique d'histoire financière

  •  L'Asiento de Negros, la Compagnie des mers du Sud, les profits de la traite d'esclaves et la révolution financière en Grande-Bretagne

Articles divers

  •  Une banque centrale pour le changement climatique ?
  •  Environnement de taux d'intérêt bas et FinTech : quels impacts sur l'intermédiation financière dans la zone euro ?
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Editeur
Revue de l'Association Europe-Finances-Régulations
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Sommaire

Le financement de la santé
- Introduction
- Les réformes dans le monde
- Assurance sociale et assurance maladie aux États-Unis : principes et paradoxes
- Assurance maladie : l'impossible colmatage du tonneau des Danaïdes
- Pour une budgétisation du financement de l'assurance maladie
- Entre État et marché : quel rôle futur pour l'assurance de santé en France ?
- L'étouffement progressif et coûteux des OCAM
- Comment restaurer la compétitivité de la recherche française en biologie-santé ?
- Santé : évaluer la prévention
- Une overdose de technologie informatique de la santé : notes depuis la dystopie américaine
- Précarité et rémunération des hôpitaux : pour une modulation des tarifs tenant compte de la position socioéconomique des patients
- Quelques suggestions pour améliorer la pratique de la comptabilité hospitalière des établissements publics de santé
- Logique médicale, économique, industrielle et politique dans la définition du prix du médicament

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01/12/2021
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Décembre

Les banques européennes ont-elles quitté les paradis fiscaux ?

Soumis par Anonyme le

Ce rapport documente l’activité des banques européennes dans les paradis fiscaux et la façon dont cette activité a évolué depuis 2014.

L’analyse porte sur 36 banques européennes systémiques qui sont tenues de déclarer publiquement des données pays par pays sur leurs activités depuis 2014. Nous étudions le niveau et l’évolution des bénéfices comptabilisés par ces banques dans les paradis fiscaux sur la période 2014-2020. Nous calculons également leur taux d’imposition effectif et leur déficit fiscal – défini comme la différence entre ce que ces banques paient actuellement en impôts et ce qu’elles paieraient si elles étaient soumises à un taux d’imposition effectif minimum dans chaque pays.

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EU Tax Observatory
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01/09/2021
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Septembre

Où va l'argent des pauvres ?

Soumis par Anonyme le

Même s'ils en ont peu, les pauvres ont de l'argent. Cet argent est source de fantasmes : on l'imagine mal dépensé, mal utilisé, mal alloué. Pourtant, on s'interroge peu sur la manière dont ils le gèrent, ce qu'il devient et qui il enrichit. Des émeutes du Nutella à la baisse des APL, en passant par le steak doré de Frank Ribéry, cet essai déconstruit notre perception de la pauvreté et interroge notre rapport à la consommation : la place du luxe ou du superflu dans nos vies, les dépenses contraintes, la nécessité - ou non - des "petits plaisirs" que l'on s'octroie, ou encore l'influence du regard de l'autre sur nos achats. 

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Payot & Rivages
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ISBN
9782228925419

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12/2020
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Décembre

La Banque européenne d’investissement se transforme pour devenir une véritable banque du climat

Soumis par Anonyme le

Cette fois, c’est fait ! La Banque européenne d’investissement (BEI) avait annoncé l’année dernière vouloir devenir la première banque du climat, mais il lui manquait encore l’aval des États membres, ses actionnaires. Lors du dernier comité de direction, ils ont approuvé à l’unanimité la nouvelle stratégie de l’institution publique et sa feuille de route pour devenir une banque du climat. La BEI, bras armé financier de l’Union européenne, finance chaque année près de 60 milliards d’euros de projets, soit venant de grandes entreprises en direct, soit des PME au travers d’accords de financement passés avec les banques commerciales traditionnelles, ou encore les projets publics et les infrastructures.

Cette nouvelle feuille de route doit permettre à la BEI d’aligner entièrement ses activités sur les objectifs de l’Accord de Paris et de contenir le réchauffement climatique sous la barre des 2 degrés d’ici la fin du siècle. En novembre 2019, le comité de direction avait déjà approuvé la décision de ne plus financer de projets liés aux énergies fossiles. La feuille de route va cette fois un peu plus loin en détaillant la manière dont la banque veut se transformer.

L’une des mesures clés du nouveau plan de la banque va consister à passer tous les octrois de financement au crible du réchauffement climatique. La BEI va inclure des critères relatifs au climat dans ses décisions, ce qui la conduira à ne plus financer de projets tels que les extensions aéroportuaires, les extensions d’activités agricoles sur des zones naturelles et les usines trop gourmandes en énergie fossile.

1000 milliards d’euros pour le climat

En parallèle, la BEI veut augmenter sa part de ses financements consacrés au climat. D’ici 2025, ils devront représenter au moins 50 % du total, soit 30 milliards d’euros annuels. Fin 2019, elle avait déjà prévu un doublement de la part de ces financements, pour atteindre 25 %. Elle poursuit donc sur sa lancée.

Au total, la banque publique prévoit de susciter 1 000 milliards d’euros d’investissements sur le climat d’ici la fin de la décennie. Courant 2021, elle devrait notamment publier une nouvelle politique de financements des transports. Elle va également contribuer à financer la transition des pays membres les plus dépendants des énergies fossiles, tels que la Pologne, en soutenant le mécanisme pour une transition juste de la Commission européenne. Ce dispositif vise à financer des projets permettant d’atténuer l’impact social de la sortie des énergies fossiles, il sera totalement dévoilé dans le courant de l’année prochaine.

"Le Groupe BEI sera la première banque publique de développement à être alignée sur l’Accord de Paris", se félicite Ambroise Fayolle, le vice-président de la banque. Cette nouvelle stratégie est présentée seulement quelques jours après le sommet "Finance en commun" qui rassemblait les plus de 450 banques publiques dans le monde. En clôture de la manifestation, António Guterres, le secrétaire général de l’ONU, avait justement exhorté ces institutions à verdir leurs activités, en les incitants à devenir neutre en CO2 d’ici 2050 et à contribuer à atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) d’ici 2030. La BEI semble donc avoir pris un peu d’avance.

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Les États membres ont donné leur feu vert à la Banque européenne d’investissement pour qu’elle se transforme en banque du climat. Initiée l’année dernière, avec la sortie des énergies fossiles, cette stratégie se poursuit cette année avec l’objectif d’aligner toutes les activités de la banque sur l’Accord de Paris. Elle ne pourra plus financer certains projets tels que les extensions d’aéroports.

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17/11/2020
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Novembre

Finance climat : coup de sang des banques après de nouveaux rapports des ONG

Soumis par Anonyme le

Les ONG mettent un nouveau coup de pression sur les banques. À deux jours du Climate Finance Day, qui réunit les grands acteurs financiers, Oxfam a publié un rapport intitulé "Banques : des engagements climat à prendre au 4ème degré". L’ONG y estime que les financements et investissements réalisés par les banques françaises vont conduire à un réchauffement climatique de plus de quatre degrés d'ici à 2100. Une interprétation que les établissements bancaires, réunis au sein de la Fédération bancaire française (FBF), rejettent avec véhémence.

"Chiffres datés" pour BNP Paribas, données qui "ne reflètent pas les efforts significatifs engagés ces dernières années" pour la Société Générale, ou bien encore chiffrage "fondamentalement faux" pour le Crédit Agricole. Les banques s’agacent des accusations des ONG, qui ne semblent pas prendre en compte leurs engagements récents. Lors d’une conférence téléphonique, Laurent Mignon, président du directoire du groupe BPCE (Banque Populaire et Caisse d’Épargne) et président de la commission climat de la FBF, a déploré que certains "cherchent à faire évoluer (les pratiques) par la stigmatisation". Il rappelle que les banques françaises ont investi 41 milliards d'euros dans les énergies renouvelables en 2019, soit une hausse de 57 % en trois ans, bien supérieure à la croissance du secteur sur la même période.

Engagements insuffisants pour les ONG

Les établissements bancaires reprochent à Oxfam sa méthode de calcul, qui aboutit à un double comptage de certaines émissions. Ils jugent aussi que le chiffre de quatre degrés annoncé pour le réchauffement s'appuie sur l'hypothèse d'une poursuite des activités à l'identique jusqu'à 2100, ce qui n'est pas conforme à leurs objectifs.

Les principales banques françaises ont ainsi signé en 2019 les Principes pour la banque responsable (Principles for responsible banking, PRB), une initiative soutenue par l’ONU qui les engage à aligner leurs activités sur l’Accord de Paris. Leurs filiales dédiées à l’investissement sont par ailleurs signataires des PRI, les Principes pour l’investissement responsable également soutenus par l’ONU. Des engagements jugés insuffisants pour les ONG. Les établissements financiers "n'ont pas pris d'engagements révolutionnaires qui permettraient de rester sous la barre des 4 degrés, et c'est toute la logique du rapport" que de le montrer, affirme ainsi Alexandre Poidatz. De manière plus générale, Lucie Pinson, présidente de Reclaim Finance, souligne que "pendant des années, ils se sont tourné les pouces".

Chacun dans son rôle

La question du désengagement des énergies fossiles cristallise les désaccords entre banques et ONG. La FBF souligne les politiques de désengagement du charbon annoncées en 2019, saluées à l'époque par les organisations écologiques. Pour les ONG, cela ne suffit plus. "Nous sommes très contents, mais il faut aller plus loin. Il faut le même engagement, le même processus, sur le pétrole et le gaz", a réagi Alexandre Poidatz, auteur du rapport d'Oxfam France. Les hydrocarbures conventionnels conservent une part importante dans les portefeuilles des quatre plus grandes banques françaises (BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale et BPCE). Selon Oxfam, "les crédits aux entreprises actives dans le secteur du pétrole et gaz uniquement représentent plus de 40 % des émissions de CO2 de leur portefeuille de crédits aux entreprises".

BNP Paribas a été l’un des premiers acteurs financiers à annoncer un désengagement du gaz de schiste et des sables bitumineux, en 2017. Le premier groupe bancaire européen rappelle toutefois que "le pétrole reste encore aujourd'hui incontournable dans un grand nombre d'activités vitales pour nos concitoyens". "Chacun est dans son rôle", tranche Michel Cardona, spécialiste du secteur financier pour le groupe de réflexion I4CE, qui traite de l'économie et du climat. Il appelle à la prudence concernant les études sur le sujet, aucune méthode de calcul ne faisant consensus, mais il leur reconnaît toutefois un "fort pouvoir de communication". Du fait de la pression des ONG, les banques "se défendent, donnent des informations et prennent des engagements qu'elles n'auraient peut-être pas pris sinon", ajoute-t-il, citant le charbon.

 

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Un rapport d’Oxfam sur les banques françaises a mis le feu aux poudres. L’ONG estime que les financements et investissements des banques les mettent sur une trajectoire de réchauffement climatique à 4 degrés. "Faux", répondent les banques, qui font valoir leurs engagements récents pour aligner leurs politiques sur l’Accord de Paris.

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2020
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27
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27/10/2020
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Octobre

Massif mobilisation des entreprises et des investisseurs pour protéger la biodiversité, lors du sommet des Nations unies

Soumis par Anonyme le
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Malgré l’épidémie de Covid-19, le sommet des Nations unies sur la biodiversité du 30 septembre a permis de remobiliser les troupes. En seulement quelques jours, de nouvelles coalitions ont vu le jour et d'autres se sont renforcées. L'enjeu est que l'effondrement des écosystèmes soit mesuré et traité par les acteurs avec autant de rigueur que ce qui leur est demandé pour le climat.

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2020
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2
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02/10/2020
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Octobre

Lobby à Bruxelles : jeux d’influence sur la nouvelle stratégie européenne de finance durable

Soumis par Anonyme le
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Les acteurs européens de la finance affichent tous leur engagement en faveur de la finance durable. Mais l’analyse de leurs réponses à la consultation publique sur la stratégie renouvelée de la Commission européenne en la matière apporte quelques bémols à cette belle unité. L’Essentiel de la Finance Durable vous propose une étude exclusive à partir de l’analyse sémantique de leurs réponses, qui révèle la vraie position des acteurs du secteur.

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2020
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21/09/2020
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Septembre

Les obligations vertes doivent tenir leurs promesses !

Soumis par Anonyme le
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The green bond principles 2017

Soumis par Anonyme le
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02/06/2017
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Juin