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FINANCITÉ MAGAZINE N°55 : MICROBILITÉ, MACROBUSINESS

Soumis par Anonyme le

Rien qu’en 2018, ce marché qui n’existait même pas il y a deux ans a connu une croissance globale de 76 %. Les deux leaders du secteur, Bird et Lime, revendiquent à eux seuls 120 villes et 10 millions d’utilisateurs. D’après une étude du Boston Consulting Group, ce marché pourrait atteindre 40 à 50 milliards de dollars d’ici 2025. Et pourtant, la plupart des sociétés qui proposent des trottinettes en libre-service ne dégagent aucun bénéfice. Elles n’hésitent pourtant pas à investir les villes à coup de centaines d’engins. Car pour conquérir ce marché encore fragile, les opérateurs se livrent une véritable guerre de la croissance. Et pour l’heure, sur le plan écologique, la trottinette électrique en libre-service n’est pas franchement la solution idéale à la micro-mobilité.

Financité magazine n°55

Au sommaire

  • Dossier : Trotinettes en libre-service, l'illusion du partage
  • Dossier : Une cohabitation difficile
  • Dossier : Profession, juicer
  • Zoom : Quand les Gafa paieront-ils leurs impôts ?
  • Brèves
  • L'idée Financité : NewB, ne laissons pas passer notre chance
  • Tribune : Comment se réapproprier l'espace vide ?
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15
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15/09/2019
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Septembre

Le marché européen du carbone : un système critiqué

Soumis par Anonyme le

Le marché européen du carbone a été mis en place en 2005, suite au protocole de Kyoto. Son but : limiter les émissions de gaz à effets de serre par un principe de plafonnement et d’échange de droits d’émission. Le coût des émissions de carbone doit inciter à investir dans des technologies propres.

En quelques mots :

  • Le système d'échange de quotas d'émission mis en place concerne 40 % des émissions de GES au sein de l'union européenne.
  • Le marché du carbone repose sur le principe du pollueur-payeur.
  • Mais il est toujours vivement critiqué, jugé inefficace face à l'urgence climatique et au besoin d'actions efficaces et immédiates.
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05/08/2019
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Août

Le Pacte Finance-Climat peut-il sauver l'Europe et le climat ?

Soumis par Anonyme le

« La terre vit sa période la plus chaude depuis 2000 ans », titre le 24 juillet un article du journal Le Monde. Le climat se réchauffe et pourtant peu de mesures sont prises pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Face à cet immobilisme, certains plaident pour l’adoption du Pacte Finance-Climat, qui permettrait de financer la transition écologique pour lutter contre le réchauffement climatique.

En quelques mots :

  • Ce Pacte impliquerait la création d’une banque pour le climat et d’un fonds d’investissement durable européen.
  • Il favoriserait la transition écologique, mais aussi la création d’emplois et la construction européenne.
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Août

Cum-Ex files : le casse du siècle ?

Soumis par Anonyme le

Les « Cum-Ex files » désignent une enquête menée par dix-huit médias européens et initiée par le média allemand d'investigation Correctiv. L'enquête révèle la pratique de montages financiers frauduleux « d'arbitrage de dividendes », plus couramment appelée Cum-Cum et Cum-Ex. Ces manipulations permettent d’éviter la taxation des dividendes (rémunération des actions), et de bénéficier plusieurs fois du même crédit d'impôts pour un impôt payé une seule fois.

Au total onze pays européens (la Belgique, l'Allemagne, la France, l'Espagne, l'Italie, les Pays-Bas, le Danemark, l'Autriche, la Finlande mais aussi la Suisse et la Norvège) auraient perdu plus de 55 milliards d’euros depuis 2001 suite aux différentes manipulation révélées par l’enquête.

En quelques mots :

  • Cum-Cum est une pratique d’optimisation fiscale, légale mais scrupuleuse, alors que le Cum-Ex est une fraude fiscale.
  • Initiées en Allemagne, ces pratiques permettent d’éluder l’impôt ou de bénéficier frauduleusement d’avantages fiscaux.
  • Une enquête européenne sur la responsabilité du secteur financier a été ouverte.
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Juillet

Quand les GAFA paieront-ils leurs impôts ?

Soumis par Anonyme le

L’acronyme GAFA désigne les quatre géants du numérique : Google, Amazon, Facebook et Apple (on y ajoute souvent Microsoft et Netflix). Ils désignent parfois, de manière plus large, toutes les multinationales de l'économie numérique. Ils ont d'abord impressionné grâce à leur innovation, mais aussi grâce à leur chiffre d'affaires colossaux et leur capitalisation boursière atteignant des sommes jusqu'alors inimaginables. Cependant, les GAFA inspirent désormais de la méfiance: vente des données personnelles, ingérence dans les élections, position monopolistique empêchant la concurrence, mais aussi optimisation fiscale démesurée.

En quelques mots :

  • En Europe, les géants du numérique paient en moyenne 9 % d'impôts sur leurs bénéfices, contre 23 % pour les entreprises relevant d'autres domaines.
  • Le projet d’une « taxe GAFA » ne fait cependant pas l’unanimité autour de la table des négociations.
  • Mais plusieurs pays ont décidé d’adopter une loi similaire au niveau national.
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