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Ça passe par ma commune

Soumis par Anonyme le

« Ça passe par ma commune » est une plateforme soutenue par 12 associations partenaires qui tentent, grâce à leurs membres, d'interpeller les communes pour qu'elles agissent sur de nombreux sujets, de l'éco-consommation à la gestion éthique des deniers publics, en passant par la réduction d'énergie ou la solidarité internationale, avec pour but d'engager les communes sur les voies du développement durable, éthique et solidaire. En 2010, 70 communes ont répondu à l'enquête annuelle de « Ça passe par ma commune », dont l'objectif est de déterminer leur niveau d'implication dans les différentes thématiques. Parmi celles-ci, 21 communes ont déclaré être actives dans le domaine de l'épargne éthique et solidaire. En 2012, l'ensemble des partenaires et leurs membres comptent redoubler d'efforts pour inciter les communes à s'impliquer davantage encore et à obtenir des engagements pour les élections communales de 2012.

Plus d'informations sur www.capasseparmacommune.be.

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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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2011
Jour d'édition
22
Date d'édition
22/06/2011
Mois d'édition
Juin

FINANcité Magazine n° 21 : Crise financière : stop ou encore ?

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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RV-BAYO2008-1/69
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2011
Date d'édition
03/2011
Mois d'édition
Mars

FINANcité Magazine n°20 : Mon toit et mes finances

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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DE-JERU2010-4
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2010
Jour d'édition
15
Date d'édition
15/12/2010
Mois d'édition
Décembre

Alternative globale : finance locale

Soumis par Anonyme le

En bref

  • Les groupes locaux FINANcité rassemblent pour une finance saine et solidaire.

S’inscrire dans un mouvement global, mais réfléchir, interpeller et agir au niveau local, tels sont les enjeux des
groupes locaux développés par le Réseau Financement Alternatif. Il s’agit de retrouver un espace commun où le système financier n’est plus subi, mais poli, adapté et forgé en fonction des besoins sociétaux vitaux.

Une opportunité à saisir

La crise financière, qui est à l’origine des troubles économiques et sociaux que nous connaissons, peut être une formidable opportunité pour la société civile dans son ensemble: celle de replacer la finance comme
un outil et non une finalité, au service de la société et non des individualités.
Après le laxisme et la bienveillance avec lesquels les autorités publiques ont répondu aux errements du système financier international, les acteurs du changement social sont en droit et ont même une part d’obligation à
réagir et revendiquer une finance socialement responsable et solidaire.

Soutenir l’économie locale

C’est pour cette raison que des citoyens se rassemblent autour de cette question cruciale et que ce mouvement se fédère pour se renforcer, que des initiatives locales sont soutenues afin d’aboutir à des alternatives efficaces et à
la mise en place d’un cadre légal adapté. Dans un monde globalisé, la volonté d’agir au niveau local est essentielle et la finance solidaire y tient un rôle central, car elle permet d’encourager de telles initiatives locales, de
soutenir des projets viables, de créer de l’emploi, de renforcer la cohésion entre habitants et de renouveler nos moyens d’échanges. Les monnaies complémentaires, les coopératives citoyennes ou encore les entreprises d’économie sociale sont autant d’exemples encourageants sur cette voie. Les groupes locaux de citoyens engagés sont présents pour encourager les acteurs innovants en économie sociale, sensibiliser le plus grand nombre aux abus de la finance actuelle, réactiver des mécanismes de solidarité essentiels
dans toute société, redonner un sens à l’argent, revendiquer auprès des pouvoirs publics une utilisation socialement responsable des deniers publics, telles sont les grandes lignes d’actions des groupes locaux FINAN cité.
Les changements attendus et espérés seront à la mesure des énergies réunies et des initiatives à venir.

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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Soutenir des initiatives locales, sensibiliser son entourage ou réapprendre à échanger.

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DE-ATTO2010-2
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2010
Jour d'édition
15
Date d'édition
15/09/2010
Mois d'édition
Septembre

FINANcité Magazine n°19 : La démocratie sous influence

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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RV-BAYO2008-1/62
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2010
Jour d'édition
16
Date d'édition
16/09/2010
Mois d'édition
Septembre

L'agriculture paysanne à portée de main - Interview d'Alexandre Dewez

Soumis par Anonyme le

FINANcité Magazine : vidéo

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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Dossier - Grande distribution : qui passe à la caisse ? Interview d'Alexandre Dewez, coordinateur du réseau bruxellois des GASAP (groupe d'achat solidaire de l'agriculture paysanne)

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2010
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16
Date d'édition
16/06/2010
Mois d'édition
Juin

L'agriculture paysanne à portée de main

Soumis par Anonyme le

En bref

  • Les circuits courts évitent les intermédiaires.
  • Aubaine pour les agriculteurs et les consommateurs.

Interview d’Alexandre Dewez, coordinateur du réseau bruxellois des groupes d’achat solidaires de l’agriculture paysanne (GASAP), de l’asbl Le Début des Haricots.

FINANcité Magazine : D’où provient le modèle des groupes d’achat solidaire et quelle est leur finalité ?

Alexandre Dewez : Les GASAP sont des groupes d’achat solidaire de l’agriculture paysanne. C’est le modèle de l’agriculture contractuelle de proximité. Ce modèle a été développé dans les années 70 aux États-Unis et au Canada. C’est donc un modèle d’agriculture soutenue par la communauté. Actuellement, il existe au niveau bruxellois un réseau composé de 30 groupes d’environ 20 ménages chacun. Ce réseau est né en 2006 avec le premier GASAP. À la base, il s’agit d’un réseau informel, bénévole et citoyen qui entend soutenir le modèle d’agriculture paysanne. On parle ici de circuit court car les intermédiaires sont supprimés entre le producteur et le consommateur.

Quel type de contrat lie les consommateurs aux producteurs ?

Un contrat d’engagement de solidarité est écrit entre les consommateurs et le producteur. Ce contrat, d’une durée minimum d’un an, stipule qu’un consommateur s’engage à acheter un certain volume de production pour au moins quatre saisons. Cette production sera donc composée de légumes de saison locaux. Ce contrat de solidarité implique également un partage des risques. Si le producteur se
trouve dans l’incapacité d’assurer la livraison du volume alimentaire convenu, le consommateur paiera quand même la somme due. Inversement, si le consommateur n’est plus en mesure de payer la production prévue par le contrat, il ne la paiera pas et recevra quand même ses produits. Il s’agit donc d’un préfinancement pour les producteurs. Certains d’ailleurs refusent ce préfinancement, car ils se sentent redevables. D’autres producteurs le préfèrent, car cela leur permet de réinvestir plus facilement dans l’exploitation agricole. Ce financement relève davantage du symbolique, c’est une preuve d’engagement, de confiance accordée aux producteurs. 

Quels en sont les avantages directs ?

Le premier avantage direct est la suppression de l’intermédiaire. Le bénéfice est partagé entre le producteur et le consommateur : le consommateur va pouvoir accéder à des produits artisanaux de très haute qualité issus de l’agriculture biologique à un prix moins élevé que dans un supermarché ou chez un autre distributeur. Le producteur y gagnera également puisque, ne passant plus par un grossiste ou par un distributeur (supermarché ou épicier), il récupèrera la marge bénéficiaire du ou des intermédiaires. Autre avantage de taille pour le producteur : la garantie de vendre un certain volume de production pendant au moins un an. En établissant une relation de confiance, le producteur pourra également fidéliser sa clientèle.

Quelles différences avec la grande distribution?

Elle imposera des prix de base peu avantageux pour le producteur pour dégager le bénéfice nécessaire pour rétribuer ses actionnaires et couvrir ses frais de fonctionnement interne. De plus, la grande distribution ne garantit pas qu’elle va continuer à acheter au même prix et de manière régulière. Il y a donc une précarité dans la collaboration avec la grande distribution.

Les circuits courts sont-ils un modèle durable ?

À partir de deux hectares en culture maraichère bio, une famille peut vivre correctement sans subvention. La plupart des agriculteurs belges exploitent 80 hectares et ne s’en sortent pas alors qu’ils reçoivent des subventions. Il est évident que les États européens auraient grandement intérêt à mettre en place un système de politique agricole paysanne avec de petites exploitations. De l’emploi serait créé, cela protègerait l’environnement, relancerait l’économie et stabiliserait complètement le système.
Alors que les emplois de la grande distribution sont précaires, le modèle des circuits courts solidaires apporte une sécurité aux futurs producteurs locaux en leur offrant des garanties d’avenir. Il a fallu 50 ans pour détruire ce modèle agricole paysan. Le remettre en place prendra donc de nombreuses années.

Plus d’infos sur cette alternative ou pour trouver un GASAP,rendez-vous sur www.haricots.org/gas ou  www.gasap.be

Les accordeurs du Québec

Les systèmes d’échange locaux (SEL) se développent de plus en plus dans notre pays. Ils permettent à des personnes de s’échanger des services. Le moyen de paiement n’est pas l’argent mais le temps. Ainsi, consacrer une heure de son temps à donner un cours de piano permettra d’être crédité d’une heure qui pourra à son tour être utilisé pour un autre service. Ces SEL sont de beaux exemples de solidarité entre personnes mais on leur reproche parfois d’échapper à la mixité sociale. Rares sont les personnes à bas revenus qui les fréquentent. Les Québécois ont déjoué cet écueil en créant les Accorderies. Le projet qui s’apparente à un SEL classique est complété par des services d’intérêt général dont peuvent profiter l’ensemble des Accordeurs. A Québec, il s’agit d’un service d’achat groupé de produits alimentaires bio et d’un système de crédit solidaire. Ces services permettent notamment aux personnes défavorisées d’obtenir des crédits qu’elles ne peuvent obtenir par ailleurs et d’avoir accès à des produits de qualité moins chers grâce à l’achat groupé. Enfin, il n’y a pas de bénévolat au sein de ces Accorderies. Tout travail effectué au sein de l’association est rémunéré en crédit temps et est « facturé » à ceux qui bénéficient du service collectif.
Infos : www.accorderie.ca

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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Privilégier les circuits courts offre une stabilité économique aux agriculteurs et des produits de qualité à des prix abordables aux consommateurs.

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15
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15/06/2010
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Juin

FINANcité Magazine n°18 : Grande distribution, qui passe à la caisse ?

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2010
Jour d'édition
15
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15/06/2010
Mois d'édition
Juin

Cahier FINANcité n°17: Apprentissage mutuel en matière d'inclusion financière

Soumis par Anonyme le
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OC-CAHI-1/19
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2010
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03/2010
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Mars