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Epargne vs investissement : épargner autrement

Soumis par Anonyme le

L'épargne pour tous est-elle possible ? rassemble un panel de contributeurs qui se penchent sur deux questions : pourquoi l'épargne est-elle si importante et quels dispositifs (fiscaux, de bonification, d'épargne collective...) convient-il de mettre en place pour inciter efficacement les publics visés (notamment précaires) à épargner ?

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12/2014
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Décembre

Les pratiques d'épargne en Europe

Soumis par Anonyme le

L'épargne pour tous est-elle possible ? rassemble un panel de contributeurs qui se penchent sur deux questions : pourquoi l'épargne est-elle si importante et quels dispositifs (fiscaux, de bonification, d'épargne collective...) convient-il de mettre en place pour inciter efficacement les publics visés (notamment précaires) à épargner ?

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Décembre

Les banques désarment

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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En avril 2004, un rapport d'enquête met le feu aux poudres : les cinq grandes banques actives en Belgique (Axa, Fortis, Dexia, ING et KBC) ont, directement ou indirectement, des liens financiers avec 13 entreprises qui fabriquent des armes « controversées » : mines antipersonnel, bombes à fragmentation, bombes à uranium appauvri ou armes nucléaires. Ensemble, elles investissent pas moins de 1,2 milliards d'euros dans ces industries1.

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Août

Dirty Profits 3

Soumis par Anonyme le
Le rapport « Dirty Profits III » publié à la veille de la journée mondiale des droits de l'homme dévoile que des banques actives en Belgique investissent des milliards dans des entreprises qui violent les droits humains et détruisent l'environnement.

L'exploitation, la corruption et la destruction de l'environnement font partie du business model des multinationales et des institutions financières qui les financent. Le consortium international 'Facing Finance', dont FairFin est membre, démontre que depuis 2012, 144 milliards d'euros au total ont été investis par les institutions financières dans les 25 entreprises étudiées. BNP Paribas y investit 13 milliards, Deutsche Bank 15 milliards. Belfius limite quant à elle les investissements dans ces 25 entreprises  à 165 millions.

Les banques doivent élaborer des critères d'exclusion clairs et transparents pour les investissements dans des entreprises qui violent les droits humains et nuisent à l'environnement. Puisque l'auto-régulation ne semble pas fonctionner, il est nécessaire que l'État mette en oeuvre des lois interdisant les investissements nuisibles. Pour FairFin, Belfius pourrait être un cas intéressant pour l'État belge, en excluant toutes entreprises nuisibles de ses investissements.

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9
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09/12/2014
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Décembre

Dirty Profits 3

Soumis par Anonyme le
Le rapport « Dirty Profits III » publié à la veille de la journée mondiale des droits de l'homme dévoile que des banques actives en Belgique investissent des milliards dans des entreprises qui violent les droits humains et détruisent l'environnement.

L'exploitation, la corruption et la destruction de l'environnement font partie du business model des multinationales et des institutions financières qui les financent. Le consortium international 'Facing Finance', dont FairFin est membre, démontre que depuis 2012, 144 milliards d'euros au total ont été investis par les institutions financières dans les 25 entreprises étudiées. BNP Paribas y investit 13 milliards, Deutsche Bank 15 milliards. Belfius limite quant à elle les investissements dans ces 25 entreprises  à 165 millions.

Les banques doivent élaborer des critères d'exclusion clairs et transparents pour les investissements dans des entreprises qui violent les droits humains et nuisent à l'environnement. Puisque l'auto-régulation ne semble pas fonctionner, il est nécessaire que l'État mette en oeuvre des lois interdisant les investissements nuisibles. Pour FairFin, Belfius pourrait être un cas intéressant pour l'État belge, en excluant toutes entreprises nuisibles de ses investissements.

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09/12/2014
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Décembre

Investissement direct : à quels risques se préparer ?

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
Sommaire

L'investissement direct donne à chacun la possibilité de participer au capital ou de prêter des fonds à des coopératives et à des associations sans but lucratif qui souhaitent ainsi stabiliser ou développer leurs activités sans avoir à recourir au financement bancaire. Lorsque l'investissement se réalise sans intermédiation bancaire, il comporte des risques spécifiques qu'il appartient d'identifier pour pouvoir s'y préparer.
Voici donc un tour d'horizon de ces risques. À suivre, une analyse qui proposera un aperçu des options permettant de réduire ces risques !

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11/2014
Mois d'édition
Novembre

Financité Magazine n°35 : C'est financé près de chez vous

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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Sommaire

C'est financé près de chez vous ? - Soutenir l'entrepreunariat social p.5 - Investir sans banquier ? p.6-7 - Pour une autre finance - Spéculation alimentaire : le bilan p.10 - Nous voulons changer la finance, et vous ? p.12-13

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09/2014
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Septembre

Le crowdfunding : un nouveau modèle pour financer des projets responsables ?

Soumis par Anonyme le
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10/2013
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Octobre

Gestion des actifs philanthropiques - une politique d'’investissement des fonds socialement responsable ?

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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Comme nous l'avons évoqué dans une précédente analyse, de plus en plus d'acteurs offrant un service de conseil dans le domaine de la philanthropie mettent en place des instruments de mesure destinés à évaluer l'impact social et sociétal des organisations bénéficiaires de leur soutien. Mais qu'en est-il de l'impact social et sociétal des politiques d'investissement du capital détenu par ces gestionnaires d'actifs ? La gestion des fonds mis à disposition en vue de poursuivre les activités à caractère philanthropique tient-elle compte de critères éthiques, sociaux ou environnementaux ou se limite-t-elle à la constitution d'un portefeuille visant à rentabiliser au maximum les capitaux ? La politique d'investissement des fonds est-elle établie en adéquation avec les considérations qui constituent l'essence même de l'activité philanthropique ? Afin de répondre à ces questions, nous nous sommes penchés sur les pratiques américaines mises en œuvre dans le cadre de la Venture Philanthropy (VP) et leurs similitudes avec les pratiques utilisées dans le domaine de l'investissement socialement responsable (ISR). Nous examinerons enfin les pratiques et le positionnement des acteurs belges en la matière.

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MO-NINT2012-2
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2012
Date d'édition
11/2012
Mois d'édition
Novembre

Venture Philanthropy : nouveau mode de soutien des organisations à vocation sociale ou sociétale ?

Soumis par Anonyme le
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Auteur(s)
Editeur
Réseau Financité, (ex- Réseau Financement Alternatif)
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La Venture Philanthropy, dénommée également « capital-risque philanthropique » est un concept relativement neuf en Europe continentale. Cette technique, par laquelle des investisseurs privés apportent un soutien financier ou non financier à des organisations à vocation sociétale et sociale en vue de permettre à ces dernières de renforcer leur impact social, séduit de plus en plus de donateurs et tend à se développer chez nous. Quelle est l'origine de cette nouvelle pratique philanthropique ? Quels sont les mécanismes et les outils utilisés ? Quels sont les développements actuels et futurs pour ce type d'instrument en Europe et en Belgique ?

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MO-NINT2012-1
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11/2012
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Novembre