Aller au contenu principal

La BCE lance ses prêts à taux négatifs pour les banques

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Auteur(s)
Editeur
Les Echos
Lieux

Mots-clés liés

Thématiques liées
Code de classement
AR-BENO2016
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
AR-BENO2016-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2016
Jour d'édition
22
Date d'édition
22/06/2016
Mois d'édition
Juin

système européen des comptes

Soumis par Anonyme le
Type de support
Editeur
Commission européenne
ISBN
978-92-79-31243-4

Mots-clés liés

Thématiques liées
Code de classement
PI-SYST2013
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
PI-SYST2013-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2013
Date d'édition
2013

The power of protection

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Auteur(s)
Editeur
HSBC
Lieux
Thématiques liées
Code de classement
AR-HSBC2016
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
AR-HSBC2016-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2016
Date d'édition
2016

L'éducation à la citoyenneté mondiale dans les écoles secondaires de la Fédération Wallonie-Bruxelles : Rapport final

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Editeur
Annoncer la couleur

Mots-clés liés

Thématiques liées
Code de classement
MO-ANNO2015
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
MO-ANNO2015-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2015
Date d'édition
03/2015
Mois d'édition
Mars

Eco consommoation

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Editeur
Centre régional d'initiation à l'environnement
Lieux
Thématiques liées
Code de classement
MO-CENT2000
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
MO-CENT2000-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2000
Date d'édition
2000

A guide to economic citizenship education

Soumis par Anonyme le
Type de support
Type de document
Editeur
Child and youth Finance international
Lieux

Mots-clés liés

Thématiques liées
Code de classement
MO-CHIL2012
Indice du code de classement
2
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
MO-CHIL2012-2
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2012
Date d'édition
2012

Baromètre des entreprises sociales en Belgique

Soumis par Anonyme le
Type de support
Editeur
Académie des entrepreneurs sociaux
Lieux

Mots-clés liés

Thématiques liées
Code de classement
PI-ACAD2015
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
PI-ACAD2015-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2015
Date d'édition
06/2015
Mois d'édition
Juin

«Qui paie ses dettes s’enrichit»

Soumis par Anonyme le
Le trouble s’insinue dans mon esprit:
? Si je n'emprunte pas afin de ne pas vivre endetté (die Schuld), je devrai retarder la possession de l'objet de mon désir ou de mon besoin jusqu’à ce que j'aie accumulé suffisamment d’argent. Dans certains cas, cela signifiera un report sine die de mes envies.
? Si j'emprunte, je pourrai satisfaire dès aujourd’hui mes envies . De plus, l'État me proposera même des réductions d'impôts pendant la durée d'un emprunt hypothécaire ou des aides pécuniaires, des primes,… Curieusement, si je rembourse anticipativement un prêt, je serai souvent sanctionné (clause de remploi) par la banque.
Rembourser avant terme m’appauvrirait donc et gênerait le business de mon prêteur! Ce n’est pas ce que l’adage prétendait.
Du point de vue économique habituel, ça semble donc coincer!
 
Aujourd’hui, je peux presque tout acheter à tempérament: l’électro-ménager, une voiture, un commerce, des vacances, de l’argent, …
La suggestion est claire: vivez à crédit pour être plus heureux. Les garde-fous légaux n'ont pas été si nombreux ces 20 dernières années pour éviter le surendettement. La seule précaution oratoire légale de tous les prêteurs est: « Attention, emprunter de l’argent coûte aussi de l’argent » , ce qui ressemble à s’y méprendre à « le tabac nuit gravement à la santé » mais tout le monde s’en fout, l’important étant que vous augmentiez votre pouvoir d’achat ?quitte à vous endetter jusqu’au cou? et que vous profitiez de la vie, quoi. Endettement, surendettement, où diable fixer la limite ?
 
L'endettement serait-il donc une vertu morale et économique?
L’épargnant serait-il un mauvais citoyen qui ne jouerait pas le jeu de l'indispensable relance économique? C’est pas bien ça!!!
Ne serait-il qu'un égoïste qu’une confiscation de ses avoirs punirait à juste titre? Qui, dans ce contexte, pourrait encore croire à la protection de 100000€ sur les comptes en banque ?
 
Réfléchissons maintenant aux Pouvoirs Publics.
La contradiction entre la vertu et l’incurie politique semble encore plus flagrante: une Commune, une Région, un État qui n’emprunteraient pas seraient sans doute considérés par « l’Opposition » comme manquants de projets, de dynamisme, d’ambition… par rapport à la nécessité d’un mieux-être commun rapide.
Dans le même temps, la justification de l’Austérité est "le retour indispensable et rapide à l’équilibre budgétaire des finances publiques après des décennies de gabegie, de grands travaux inutiles,... ». Retour à marche forcée vers la Sobriété, vers « moins d’État, mieux d’État ».
 
Tout semble logique ainsi que son contraire.
 
Bref, nous sommes déboussolés et adhérer à la théorie du grand complot est tentant.
Une analyse s’impose pour limiter les préjugés: qu’est-ce qu'une dette?
Pourquoi une dette privée n’est-elle pas comparable à une dette publique ?
La Dette: enjeu social, économique, politique, idéologique, moral?
 
Qui dit Dette, dit emprunt, dit taux d’intérêt, dit contrôle par les Banques centrales, dit concurrence entre États et souvent guerre des monnaies.
Quels sont les mécanismes de ce jeu?
Alors, la Dette: vertu ou faute? Vertu ET faute?
Type de support
Type de document
Auteur(s)
Code de classement
MO-POLA2015
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
MO-POLA2015-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2015
Jour d'édition
25
Date d'édition
25/11/2015
Mois d'édition
Novembre

The Carbon bubble: The financial risk of fossil fuels and need for divestment

Soumis par Anonyme le

Les Verts européens publie avec le soutien du Parlement européen une brochure pour expliquer la "bulle carbone".

Pour eux, il y a un risque que la valeur des industries du secteur fossile ne s'effondre, ce qui aurait un impact sur le système financier européen.

Or, les banques, fonds de pension,... ont une responsabilité dans l'emergence de cette bulle carbone.

Le réchauffement climatique est un danger extrême pour notre environnement mais pour notre économie également !

Type de support
Type de document
Lieux
Thématiques liées
Code de classement
MO-PART2015
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
MO-PART2015-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2015
Date d'édition
06/2015
Mois d'édition
Juin

Ma banque ? 0 % carbone ! Pourquoi faut-il désinvestir?

Soumis par Anonyme le
Que font nos banques en matière de lutte contre le réchauffement climatique?
Il existe de très nombreux exemples de défis auxquels notre société est confrontée, que ce soit en matière de souveraineté alimentaire, de pauvreté, de droits de l'homme, d'environnement, ... Un de ceux-ci, qui est sûrement un des majeurs auquel notre génération mais peut-être tout simplement le genre humain est confronté est évidemment le réchauffement climatique.

"En 2010, les chefs d'états du monde entier se sont engagés à limiter le réchauffement global à moins de 2°C, seuil au-delà duquel la science indique que les dérèglements climatiques risquent de prendre une allure incontrôlable. On connaît aujourd'hui avec précision la quantité maximale de gaz à effet de serre que l'humanité peut émettre dans l'atmosphère pour respecter cet engagement. Cette quantité, aussi appelée budget carbone, correspond à 1000 GtCO2. Au rythme actuel d'émission, ce budget sera épuisé dans moins de 25 ans. Lors de son passage à Bruxelles en janvier dernier, Fatih Birol, économiste en chef de l'Agence Internationale à l'Energie (AIE), a une nouvelle fois insisté sur la nécessité de respecter notre budget carbone, faute de quoi les bouleversements seront tels que nous pourrons « dire bye bye au mode de vie que nous avons connu ces derniers siècles », disait-il"1.

Une étude récente, publiée dans la revue Nature, a par ailleurs mis en évidence le fait qu’un quart seulement des combustibles fossiles connus et exploitables peut être effectivement brûlé si la température globale doit être limitée sous les deux degrés. Ce budget carbone fini implique donc que trois quart des réserves prouvées d'énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) ne peuvent tout simplement pas être brûlées. Autrement dit, les réserves connues et considérées comme économiquement exploitables sont largement excédentaires. De ce constat est né le concept de bulle du carbone : la valeur estimée des actifs des sociétés extractrices d'énergies fossiles est aujourd'hui surévaluée, car une partie importante de ces actifs doit rester dans le sol.

Par ailleurs, selon l’AIE, le financement de la transition vers une économie bas carbone, compatible avec une hausse maximale de 2° de la température globale, nécessite pas moins de 500 milliards de dollars d’ici à 2020. Pour parvenir à cet objectif, les investissements doivent être massivement réorientés vers des financements verts. Le pouvoir, et donc la responsabilité, des banques en ce domaine est immense: par leurs activités de services financiers, de prêts et de financements de projets, les banques peuvent soutenir les projets d’énergies renouvelables et de technologies vertes, d'une part, et empêcher la construction de nouvelles usines fortement émettrices de gaz à effet de serre (GES), d'autre part. Les acteurs financiers sont d'ailleurs activement encouragés à développer des financements verts par des ONG qui développent des guides d’information, comme l’organisation américaine CERES, avec « Investing in the Clean Trillion » ou le WWF, avec « ESG integration for banks ».

Les banques répondent-elles pour autant à ce défi ?

Pour le savoir, le centre de recherche de Novethic a épluché la communication publique (rapport annuel, rapport RSE et site Internet) des 32 plus gros groupes bancaires et d’assurance européens. Sa conclusion est sans appel, on est encore loin du compte: « L’analyse des rapports des grandes banques européennes montre qu’elles sont encore loin de jouer un rôle moteur dans ce domaine », notent les auteurs de l’étude. Certes, trois quarts des institutions financières analysées ont publié un indicateur sur leurs financements verts (efficacité énergétique, énergies renouvelables, transport durable, gestion de l’eau ou des déchets…) mais, lorsqu'il porte sur les énergies renouvelables, les méthodologies de calcul sont extrêmement variées, rendant difficile toute comparaison entre les acteurs. Qui plus est, la part des investissements alloués aux projets d’énergies renouvelables n’a pas forcément augmenté depuis l’étude précédente de Novethic en 2012, elle a même parfois diminué et seules 7 entreprises déclarent vouloir augmenter leur part de financements environnementaux. Enfin, ces financements verts ne sont pas mis en perspective avec le financement des énergies fossiles, ce que dénoncent plusieurs rapports d’ONG, comme celui des Amis de la Terre et de Bank Track2.

Le moins que l'on puisse écrire est que l'engagement du secteur financier à assumer sa responsabilité sociétale en ce domaine semble inversement proportionnel au tombereau de publications et autres rapports annuels vantant cette même responsabilité ! Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais…

Mais, n'avons-nous pas notre mot à dire ? C'est quant même l'argent que nous déposons sur leurs comptes d'épargne que les banques utilisent pour financer ces énergies fossiles ! C'est-à-dire notre argent ! Faisons connaître notre opinion à nos banques et exigeons d'elles qu'elles la respecte !


1 Voir l'article signé par des nombreuses associations et publié dans l'Echo le 12 février 2015 "Désinvestissement fossile : nécessité économique et impératif éthique"

2 Charbon : l'argent sale des banques françaises, octobre 2014. Novethic, Quelle contribution des banques et assurances européennes ?, février 2015.

Type de support
Type de document
Auteur(s)
Editeur
Réseau Financité
Lieux
Thématiques liées
Code de classement
FAP-BAYO2015
Indice du code de classement
1
Numéro de classement dans la bibliothèque ou code de rangement
FAP-BAYO2015-1
Cocher cette case pour générer un nouveau code lors de l'enregistrement de ce contenu
Désactivé
Année d'édition
2015
Jour d'édition
15
Date d'édition
15/06/2015
Mois d'édition
Juin
Card title

This is a wider card with supporting text below as a natural lead-in to additional content. This content is a little bit longer.

Last updated 3 mins ago