Marketing of Socially REsponsible Investments to retail clients
Report from Finance Wath's
European SRI Study
Dirty Profits 3
Le rapport « Dirty Profits III » publié à la veille de la journée mondiale des droits de l'homme dévoile que des banques actives en Belgique investissent des milliards dans des entreprises qui violent les droits humains et détruisent l'environnement.
L'exploitation, la corruption et la destruction de l'environnement font partie du business model des multinationales et des institutions financières qui les financent. Le consortium international 'Facing Finance', dont FairFin est membre, démontre que depuis 2012, 144 milliards d'euros au total ont été investis par les institutions financières dans les 25 entreprises étudiées. BNP Paribas y investit 13 milliards, Deutsche Bank 15 milliards. Belfius limite quant à elle les investissements dans ces 25 entreprises à 165 millions.
Les banques doivent élaborer des critères d'exclusion clairs et transparents pour les investissements dans des entreprises qui violent les droits humains et nuisent à l'environnement. Puisque l'auto-régulation ne semble pas fonctionner, il est nécessaire que l'État mette en oeuvre des lois interdisant les investissements nuisibles. Pour FairFin, Belfius pourrait être un cas intéressant pour l'État belge, en excluant toutes entreprises nuisibles de ses investissements.
Dirty Profits 3
Le rapport « Dirty Profits III » publié à la veille de la journée mondiale des droits de l'homme dévoile que des banques actives en Belgique investissent des milliards dans des entreprises qui violent les droits humains et détruisent l'environnement.
L'exploitation, la corruption et la destruction de l'environnement font partie du business model des multinationales et des institutions financières qui les financent. Le consortium international 'Facing Finance', dont FairFin est membre, démontre que depuis 2012, 144 milliards d'euros au total ont été investis par les institutions financières dans les 25 entreprises étudiées. BNP Paribas y investit 13 milliards, Deutsche Bank 15 milliards. Belfius limite quant à elle les investissements dans ces 25 entreprises à 165 millions.
Les banques doivent élaborer des critères d'exclusion clairs et transparents pour les investissements dans des entreprises qui violent les droits humains et nuisent à l'environnement. Puisque l'auto-régulation ne semble pas fonctionner, il est nécessaire que l'État mette en oeuvre des lois interdisant les investissements nuisibles. Pour FairFin, Belfius pourrait être un cas intéressant pour l'État belge, en excluant toutes entreprises nuisibles de ses investissements.
Finance responsable et monnaies sociales
Regards économiques n°99
Investissement direct : à quels risques se préparer ?
L'investissement direct donne à chacun la possibilité de participer au capital ou de prêter des fonds à des coopératives et à des associations sans but lucratif qui souhaitent ainsi stabiliser ou développer leurs activités sans avoir à recourir au financement bancaire. Lorsque l'investissement se réalise sans intermédiation bancaire, il comporte des risques spécifiques qu'il appartient d'identifier pour pouvoir s'y préparer.
Voici donc un tour d'horizon de ces risques. À suivre, une analyse qui proposera un aperçu des options permettant de réduire ces risques !
La responsabilité sociale des institutions de crédit dans l'Union européenne
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