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Compendium sur l'inclusion financière

Soumis par Anonyme le
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compendium on financial inclusion

Soumis par Anonyme le
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Janvier

Le dispositif "L'Appui" de la Banque postale française

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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Le surendettement est à ce jour un fléau qui impacte la société à tous les étages :
- au plan individuel, le surendetté en souffre ainsi que tout son ménage ;
- au plan microéconomique, les entreprises créditrices perdent de l'argent faute de payement, et doivent en outre supporter des frais de gestion liés aux procédures de recouvrement pas toujours complètement couvert par les clients ;
- au plan macroéconomique, l'économie en général est ralentie par la baisse de consommation d'une part croissante de la population, souvent maintenue, des années durant, dans un état de grande précarité, sinon de pauvreté ;
- et l’État voit ses recettes fiscales amputées, alors que les services sociaux d'accompagnement, largement sollicités par les personnes surendettées, voient leurs dépenses augmenter.
Au final, le surendettement n'est profitable qu’à un nombre restreint d'acteurs, parmi lesquels, sans doute, certains prêteurs dont le modèle économique intègre les pénalités et frais comme source importante de revenus, les entreprises de recouvrement et d'assurances crédits, et les huissiers de justice, dans une certaine mesure.
Pour l'heure, nous nous intéressons aux praticiens qui cherchent activement à réduire le contentieux, probablement pour la simple raison qu'ils le considèrent comme économiquement peu rentable. C'est le cas de la Banque postale en France, à travers son dispositif « L'Appui ». Celui-ci vous est donc présenté dans ces lignes, qui détaillent, dans un premier temps, les principales étapes qui ont permis son élaboration.

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2014
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09/2014
Mois d'édition
Septembre

Anticiper les difficultés financières : l'apport du scoring comportemental

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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Le développement de l'industrie du crédit, telle qu'on la connaît aujourd'hui, a notamment été rendu possible grâce au modèle de prédiction du risque de défaut de paiement appelé « credit scoring ». Cette approche, en réduisant les coûts de prédiction du risque, a permis d'élargir l'accès au crédit d'une très large part de la société. Le score donne une vision de la probabilité de défaut d’un client et constitue un des éléments essentiels de la prise de décision quant àl'octroi ou non d'un crédit.
Mais cette approche a des limites, car en aucun cas elle ne permet d'anticiper les accidents de vie qui sont l'élément déclencheur d'une grande majorité des situations de surendettement. Dès lors, le nombre de situations d'endettement augmente d'autant plus que le contexte économique et social évolue défavorablement : revenus en baisse, charges en hausse, perte d'emploi, maladie, séparation... Pour enrayer durablement ce phénomène, des entreprises innovent en mettant en place des filets de sécurité qui permettent de prévoir la survenance de difficultés financières avant même que le problème n'apparaisse...
Pour le meilleur et pour le pire ?

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10/2014
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Octobre

Mesure d'impact et prévention du surendettement : le cas Crésus

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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Dans le cadre des analyses publiées en 2014 par réseau Financité au sujet du surendettement et des innovations qui apparaissent en vue de prévenir ce phénomène, nous nous attardons ici sur le mode d'évaluation possible de ces dispositifs.
Les retombées des initiatives en matière de prévention du surendettement sont intuitivement perçues comme positives pour les bénéficiaires. Dans une mesure plus floue, elles semblent aussi impacter positivement l'entreprise, les pouvoirs publics et, donc, la société dans son ensemble.
Au final, les acteurs en place sont souvent impuissants à exprimer, chiffrer, quantifier les impacts, pourtant évidents à leurs yeux. Crésus, un opérateur majeur de la médiation sociale de dettes en France a bénéficié du savoir-faire de McKinsey & Company dans le cadre d'une analyse d'impact de son dispositif de prévention... Attention, apprentissages à tous les étages !

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2014
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10/2014
Mois d'édition
Octobre

Agir ensemble face à l'adversité : des projets locaux, des idées originales et un soupçon de finance

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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Ce qui est bien avec l'homme, c'est qu'il n'attend pas toujours les pires circonstances pour révéler les plus bas aspects de sa personnalité ! En effet, dans l'adversité, certains sont capables d'activer des ressources, si faibles fussent-elles, susceptibles de renverser un cours, jusque-là, inexorable de dégringolade. Cette analyse rend hommage à une poignée d'entre eux1, actifs sur le terrain au quotidien, dans quelques pays d'Europe. Ici, des femmes africaines aident d'autres femmes à sortir de la pauvreté; là-bas, des citoyens s'unissent pour éviter une privatisation violente d'espaces publics; un peu plus loin, ce sont des travailleurs sociaux qui initient des personnes handicapées mentales à plus d'autonomie de gestion... Et, derrière ces initiatives variées, on trouve bien souvent un dispositif financier participatif.

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Août

Les revenus du travail après le départ à la retraite

Soumis par Anonyme le
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Il est courant que les travailleurs prennent un travail rémunéré aprés leur départ à la retraite. Faciliter et examiner le travail après le depart à la retraite pour ceux qui souhaitent encore travailler, peut contribuer à améliorer les systèmes de pension.

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2012
Jour d'édition
15
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15/11/2012
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Novembre

Gestion du risque de fraude interne au sein des banques : un panorama des nouvelles pratiques

Soumis par Anonyme le
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OC-RAPP2011-1/7
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La spéculation alimentaire

Soumis par Anonyme le

On se souvient des émeutes de la faim qui avaient éclaté dans de nombreux pays en développement début 2008, en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie. Cette crise alimentaire n'aurait pas eu lieu sans spéculation, selon Olivier De Schutter, rapporteur spécial de l'ONU sur le droit à l'alimentation. Et le même de tirer la sonnette d'alarme le 11 janvier dernier : « Nous vivons le début d'une crise similaire à celle de 2008 ». Alors, même cause, mêmes effets ? Et comment y remédier ?

La crise de 2008

On se souvient de ces scènes d'émeutes à la fin de l'année 2007 et au début de l'année 2008 : au Burkina Faso, au Cameroun, au Sénégal, en Mauritanie, en Côte d'Ivoire, en Égypte, au Maroc et dans bien d'autres pays encore, les populations affamées manifestaient contre le prix élevé des denrées de base. Dans le même temps, « Tirez avantage de la hausse du prix des denrées alimentaires ! », clamait la KBC pour vanter les mérites d'un produit financier qui investissait dans six denrées alimentaires. La pénurie d'eau et de terres agricoles exploitables ayant pour conséquence une pénurie de produits alimentaires et une hausse du prix des denrées alimentaires, y était présentée comme une opportunité...1 Même s'ils se montraient plus discrets sur leurs intentions, de nombreux autres fonds spéculaient eux aussi sur la hausse des prix des aliments en ce début d'année 2008 : aux dires de la commissaire européenne chargée de l’Agriculture, Mariann Fischer Boël, 140 fonds indexés partiellement ou totalement sur les prix des matières premières agricoles avaient été lancés en février 2008 dans l’Union européenne2.

Cette spéculation a-t-elle à l'époque attisé la hausse vertigineuse des prix des matières premières alimentaires ? En novembre 2007 déjà, la FAO, Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, estimait que la tendance à la hausse des prix internationaux de la plupart des produits agricoles était seulement en partie le reflet de la contraction des approvisionnements, c'est-à-dire du jeu de l'offre et de la demande. C'est que nous sommes alors en pleine crise des subprimes et que les spéculateurs, qui cherchent de nouvelles formes d'investissement, ont l’attention attirée par les instruments financiers liés au fonctionnement des marchés des produits agricoles (par exemple, marchés des instruments à terme et des options3). Ceux-ci représentaient pour eux un moyen de diversifier les risques et d’obtenir des rendements supérieurs4.

En septembre 2010, Olivier De Schutter a rendu public un rapport sur les causes de la crise de 20085. Ses conclusions sont plus nettes encore quant à l'impact de la spéculation sur la crise alimentaire. « Il n'y aurait pas eu de crise alimentaire sans spéculation », estime le rapporteur spécial de l'ONU sur le droit à l'alimentation. « Ce n'était pas la seule cause de la crise, mais elle l'a accélérée et aggravée. Les marchés agricoles sont naturellement instables, mais la spéculation amplifie les brutales augmentations, tout comme les chutes des prix, qui sont aussi très dommageables pour les pays producteurs. Cela rend difficile la planification de la production et peut brutalement augmenter la facture alimentaire des pays importateurs de denrées. »6

2011, la réplique ?

Le 11 janvier dernier, Olivier De Schutter mettait en garde : « Nous vivons aujourd'hui le début d'une crise alimentaire similaire à celle de 2008. Quatre-vingts pays environ sont en situation de déficit alimentaire. Une hausse continue des prix peut être très dangereuse pour ces pays. C'est pourquoi il ne faut pas répéter les erreurs commises il y a trois ans »7. Et de pointer qu'aujourd'hui, comme en 2008, il n'y a pas de problème de pénurie, mais seulement un manque de transparence sur les stocks. Ce défaut de transparence alimente une réaction de panique sur les marchés, qui est le fait des traders, mais aussi des gouvernements qui imposent des restrictions aux exportations, ce qui accélère le mouvement.

À la tête du G20, la France, qui a mis les questions agricoles au centre de sa présidence, préconise également plus de transparence sur le niveau des stocks mondiaux des matières premières agricoles et un encadrement des limitations à l'export des différents pays. La présidence française du G20 a par ailleurs chargé, le 9 mars 2011, le Programme alimentaire mondial (PAM) de réfléchir à la mise en place d'un système de stocks de denrées alimentaires humanitaires pour parer à des émeutes de la faim.

Au-delà de la nécessaire transparence des stocks se pose, en effet,Réguler le marché la question de leur existence même. Si la constitution de stocks de denrées alimentaires humanitaires va certainement dans la bonne direction, sans doute convient-il d'élargir la réflexion et d'encourager les pays à reconstituer des stocks alimentaires, non pas seulement pour faire face à des crises alimentaires, mais comme outils de régulation des prix, pour protéger les producteurs et les consommateurs contre la volatilité de ceux-ci.

Réguler le marché

Agir sur les stocks est indispensable, mais sans doute insuffisant, surtout à court terme, pour enrayer la spéculation alimentaire si on n'adopte pas, dans le même temps, une réglementation appropriée du marché des matières premières agricoles. Certes, il est très difficile, voire impossible, faire la distinction entre les investisseurs commerciaux, qui ont une fonction utile sur ces marchés, à savoir la couverture des risques, et les investisseurs purement financiers qui parient sur la hausse ou la baisse des cours dans une logique purement spéculative. Car tous deux utilisent les mêmes outils financiers, seules leurs intentions diffèrent.

Cela n'empêche pas d'exercer un contrôle nettement plus strict des marchés dérivés8 de matières premières. À cet égard, les États-Unis ont une longueur d'avance sur l'Europe ! C'est ainsi que les Américains ont créé un régulateur financier spécifique pour les matières premières, la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), qui dès 2006, a régulé ce marché de deux manières : en publiant les positions spéculatives9 et en limitant la spéculation excessive. Elle travaille à présent à la standardisation des transactions de gré à gré, c'est-à-dire celles qui se font en dehors du marché organisé qui est soumis à sa réglementation.

Rien de tel n'existe à ce jour en Europe, mais, dans le cadre de la révision des différentes directives financières, la Commission semble ouverte à une meilleure régulation des instruments financiers dérivés sur matières premières. Le commissaire Barnier a ainsi présenté le 15 septembre dernier des propositions législatives sur les dérivés échangés de gré à gré et la Commission a organisé le 21 septembre une audition publique sur les dérivés de matières premières. Elle doit faire cette année une proposition pour encadrer les positions spéculatives sur les matières premières.

Il serait souhaitable d’interdire sur ces marchés toute transaction n’impliquant que des opérateurs financiers. Une telle mesure permettrait de juguler l’afflux actuel de capitaux vers les marchés de matières premières - afflux qui participe à l’accroissement du déséquilibre entre l’offre et la demande. En effet, les acheteurs de produits alimentaires de l’économie réelle entrent en concurrence avec les banques et les fonds spéculatifs qui n’achètent ces produits que pour les revendre plus cher un peu plus tard... à ceux qui en ont vraiment besoin10.

D'autres mesures peuvent être envisagées : la subordination de la vente de produits structurés11 aux acteurs de la filière agricole et agroalimentaire à un agrément délivré par une agence publique, la mise en place d’une taxe sur les bonus des opérateurs de marché et la rémunération des gestionnaires de fonds, ou encore la modification des règles comptables autorisant l’évaluation des produits structurés agricoles au « prix de modèle »12 dont le contrôle est difficile13.

Conclusions

Constitution et transparence des stocks des matières premières agricoles et réglementation du marché de ces dernières sont les urgences du moment, pour contrecarrer la spéculation et éviter de nouvelles crises alimentaires. Ces deux impératifs ne doivent pas nous faire oublier, dans une optique de plus long terme, le soutien à une agriculture familiale à même de donner corps à ce « droit à la souveraineté alimentaire » que portent de nombreux mouvements paysans.

Bernard Bayot,
avril 2011

1 Bernard Bayot, « Spéculateurs affameurs », dans FINANcité Cahier, n° 11, Réseau Financement Alternatif, Namur, 2008.

2 Julie Majercza, « La famine fait spéculer », dans Libération, 13 mai 2008.

3 Une option est un produit dérivé qui établit un contrat en vertu duquel l'acheteur de l'option obtient le droit d'acheter ou de vendre un actif (par exemple des matières premières) à un prix fixé à l'avance, pendant un temps donné ou à une date fixée. Ce contrat peut se faire dans une optique de spéculation ou d'assurance.

4 FAO, Prix élevés et volatilité des produits agricoles, Perspectives de l'alimentation, novembre 2007, http://www.fao.org/docrep/010/ah876f/ah876f13.htm.

5 Food Commodities Speculation and Food Price Crises, Regulation to reduce the risks of price volatility, Briefing note 02 - septembre 2010.

6 Isabelle Hachey, « La spéculation au coeur de la crise alimentaire », cyberpresse.ca, 16 octobre 2010.

7 Marie Christine Corbier, Olivier de Schutter : « Vers une nouvelle crise alimentaire », dans Les Échos, 11 janvier 2011.

8 Un dérivé est un contrat entre deux parties qui prévoit un échange (un achat par exemple) dans le futur à des conditions fixées au préalable. Normalement, il sert à couvrir le risque, mais il est de plus en plus utilisé à des fins spéculatives.

9 Une position est un engagement contraignant d'acheter ou de vendre une quantité donnée d'instruments financiers, tels que les titres, devises ou des marchandises, pour un prix donné.

10 Pascal Canfin, « Spéculation sur les matières premières : l’Europe doit aller de l’avant », terraeco.net, 28 février 2011.

11 Produit financier consistant dans la combinaison d’un placement classique (obligation, par exemple) et d’un instrument financier dérivé.

12 La valeur d’un instrument financier peut être estimée par son prix de marché ou, à défaut, par un prix de modèle réalisé à partir de données observables ou non observables.

13 Didier Marteau, « Limiter l’aléa moral sur les marchés de matières premières agricoles »,dans Les Échos, 4 mars 2011.

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Avis du Comité économique et social européen sur : Instruments de mesure et d'information sur la Responsabilité sociale des Entreprises dans une économie globalisée

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