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Fossil fuel divestment - A Shareholder perspective

Soumis par Anonyme le
  • Six of the world’s 10 largest oil, gas and coal companies are more than 33% owned by PRI signatories. These companies, which include ExxonMobil, may face increased support for climate change shareholder resolutions going forward.
  • Royal Dutch Shell and BHP Billiton are more than 4% owned by investors that have committed to the Montreal Pledge or Portfolio Decarbonization Coalition. These companies may face heightened scrutiny from their investors on divestment risks.
  • While divestment is unlikely to cause permanent share price effects, it could have indirect financial implications for fossil fuel companies, including negative impacts on firm reputation, recruitment capabilities and bargaining power.
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Sustainalytics
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2015
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12/2015
Mois d'édition
Décembre

Notre avenir ébranlé - Investissement des banques dans le changement climatique

Soumis par Anonyme le
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FairFin
Sommaire

1. Méthodologie
2. Constats principaux pour les 25 plus grandes banques
3. Constats relatifs aux banques en Belgique
4. Recommandations
5. Analyse des institutions financières

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5
Date d'édition
05/11/2015
Mois d'édition
Novembre

Investissements socialement responsables : étude exploratoire sur la définition de concepts et la mise en oeuvre d'une stratégie

Soumis par Anonyme le

Ce rapport concerne la mise en œuvre d’une politique wallonne d'investissements socialement responsables (SWISR). Les chapitres le composant détaillent les deux axes proposés pour la SWISR, son périmètre d’action, un benchmarking des pratiques publiques existantes en la matière ainsi qu’une enquête sur l’intérêt suscité parmi une série d’organismes wallons, dont les principaux acteurs du secteur du logement social, sur la question.

Ainsi, le chapitre 2 expose les deux axes de la SWISR. Il s’agit de mettre en place, d’un côté, une politique de financement des collectivités wallonnes et, de l’autre, une politique de placement financier des collectivités publiques wallonnes.

Le chapitre 3 propose un périmètre d’action de cette SWISR sur les deux axes retenus. Une typologie des fonds existants au sein de la Région wallonne est examinée en précisant lesquels d’entre eux peuvent être concernés pour chacun des deux axes retenus.

Le chapitre 4 explore les pratiques publiques existantes sur les deux axes. D’abord, sont explorés les exemples publics de financement grâce à des émissions obligataires socialement responsables en Belgique, en France, en Allemagne, en Suède et enfin aux États-Unis. Ensuite, des cas de politiques de placement financier socialement responsable sont détaillés en Belgique, puis en Europe et à l’international. Il s’agit en grande majorité d’exemples de fonds de trésorerie, de fonds de retraite ou de réserve.

Le chapitre 5 se penche sur l’intérêt de divers organismes publics wallons à mettre en place une politique de financement et / ou d’investissement socialement responsable. Un focus spécifique sur le secteur du logement social démontre que le financement via émissions obligataires socialement responsables est une piste à ne pas négliger dans un contexte économique difficile.

Enfin, le dernier chapitre rappelle les déclarations politiques en matière d’ISR, les principaux apprentissages de l’étude et conclut sur l’importance de mettre en place une politique sur l’investissement socialement responsable en Wallonie.

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Réseau Financité
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2015
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02/2015
Mois d'édition
Février

Bilan du label de finance solidaire 2015

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
Sommaire

L'existence d'un label de finance solidaire a longtemps fait défaut en Belgique. A l'initiative du Réseau Financité, elle s'est enfin concrétisée à l'automne 2014. La présente analyse joue le rôle de baromètre de la finance solidaire labellisée. Seront ainsi présentés un historique retraçant la provenance de ce label, puis un état des lieux des produits labellisés et enfin des possibles développements de cette initiative.

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3
Date d'édition
03/11/2015
Mois d'édition
Novembre

Spéculation, à prendre ou à laisser ?

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
Sommaire

Louée par les uns pour son rôle indispensable dans le système financier, honnie par les autres pour ses dérives, la spéculation engendre des sentiments extrêmes. Pour autant, si des termes tels que spéculer ou investir font désormais partie de notre vocabulaire, il s'avère difficile de les définir ou de les distinguer. Cette analyse s'interroge sur l'utilité de la spéculation et envisage les actions à entreprendre pour limiter ses effets les plus néfastes.

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28
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28/09/2015
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Septembre

Des alternatives pour moins de CO2

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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Un monde sans énergie fossile : cela reste difficile à imaginer. Il existe toutefois des alternatives innovantes qui pourraient aider à tendre vers cette utopie. Tour d'horizon de quelques exemples et de leurs coûts.

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17
Date d'édition
17/09/2015
Mois d'édition
Septembre

Est-il possible de consommer à notre rythme actuel seulement avec l'énergie renouvelable ?

Soumis par Anonyme le
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Réseau Financité
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Une analyse précédente montre que les flux d'argent doivent être sérieusement réorientés pour limiter le réchauffement climatique. Pour
ce faire, dans la consommation mondiale d'énergie, la part d'énergies fossiles doit être réduite drastiquement au profit des énergies
renouvelables. De plus, des mesures d'efficacité énergétique doivent être mises en place. Ce ne sera pas une tâche aisée mais certainement nécessaire.

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17
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17/09/2015
Mois d'édition
Septembre

The Carbon bubble: The financial risk of fossil fuels and need for divestment

Soumis par Anonyme le

Les Verts européens publie avec le soutien du Parlement européen une brochure pour expliquer la "bulle carbone".

Pour eux, il y a un risque que la valeur des industries du secteur fossile ne s'effondre, ce qui aurait un impact sur le système financier européen.

Or, les banques, fonds de pension,... ont une responsabilité dans l'emergence de cette bulle carbone.

Le réchauffement climatique est un danger extrême pour notre environnement mais pour notre économie également !

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06/2015
Mois d'édition
Juin

BIO : Rapport annuel 2002

Soumis par Anonyme le
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Société Belge d'Investissement pour les Pays en Développement
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2002
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2002

Ma banque ? 0 % carbone ! Pourquoi faut-il désinvestir?

Soumis par Anonyme le
Que font nos banques en matière de lutte contre le réchauffement climatique?
Il existe de très nombreux exemples de défis auxquels notre société est confrontée, que ce soit en matière de souveraineté alimentaire, de pauvreté, de droits de l'homme, d'environnement, ... Un de ceux-ci, qui est sûrement un des majeurs auquel notre génération mais peut-être tout simplement le genre humain est confronté est évidemment le réchauffement climatique.

"En 2010, les chefs d'états du monde entier se sont engagés à limiter le réchauffement global à moins de 2°C, seuil au-delà duquel la science indique que les dérèglements climatiques risquent de prendre une allure incontrôlable. On connaît aujourd'hui avec précision la quantité maximale de gaz à effet de serre que l'humanité peut émettre dans l'atmosphère pour respecter cet engagement. Cette quantité, aussi appelée budget carbone, correspond à 1000 GtCO2. Au rythme actuel d'émission, ce budget sera épuisé dans moins de 25 ans. Lors de son passage à Bruxelles en janvier dernier, Fatih Birol, économiste en chef de l'Agence Internationale à l'Energie (AIE), a une nouvelle fois insisté sur la nécessité de respecter notre budget carbone, faute de quoi les bouleversements seront tels que nous pourrons « dire bye bye au mode de vie que nous avons connu ces derniers siècles », disait-il"1.

Une étude récente, publiée dans la revue Nature, a par ailleurs mis en évidence le fait qu’un quart seulement des combustibles fossiles connus et exploitables peut être effectivement brûlé si la température globale doit être limitée sous les deux degrés. Ce budget carbone fini implique donc que trois quart des réserves prouvées d'énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) ne peuvent tout simplement pas être brûlées. Autrement dit, les réserves connues et considérées comme économiquement exploitables sont largement excédentaires. De ce constat est né le concept de bulle du carbone : la valeur estimée des actifs des sociétés extractrices d'énergies fossiles est aujourd'hui surévaluée, car une partie importante de ces actifs doit rester dans le sol.

Par ailleurs, selon l’AIE, le financement de la transition vers une économie bas carbone, compatible avec une hausse maximale de 2° de la température globale, nécessite pas moins de 500 milliards de dollars d’ici à 2020. Pour parvenir à cet objectif, les investissements doivent être massivement réorientés vers des financements verts. Le pouvoir, et donc la responsabilité, des banques en ce domaine est immense: par leurs activités de services financiers, de prêts et de financements de projets, les banques peuvent soutenir les projets d’énergies renouvelables et de technologies vertes, d'une part, et empêcher la construction de nouvelles usines fortement émettrices de gaz à effet de serre (GES), d'autre part. Les acteurs financiers sont d'ailleurs activement encouragés à développer des financements verts par des ONG qui développent des guides d’information, comme l’organisation américaine CERES, avec « Investing in the Clean Trillion » ou le WWF, avec « ESG integration for banks ».

Les banques répondent-elles pour autant à ce défi ?

Pour le savoir, le centre de recherche de Novethic a épluché la communication publique (rapport annuel, rapport RSE et site Internet) des 32 plus gros groupes bancaires et d’assurance européens. Sa conclusion est sans appel, on est encore loin du compte: « L’analyse des rapports des grandes banques européennes montre qu’elles sont encore loin de jouer un rôle moteur dans ce domaine », notent les auteurs de l’étude. Certes, trois quarts des institutions financières analysées ont publié un indicateur sur leurs financements verts (efficacité énergétique, énergies renouvelables, transport durable, gestion de l’eau ou des déchets…) mais, lorsqu'il porte sur les énergies renouvelables, les méthodologies de calcul sont extrêmement variées, rendant difficile toute comparaison entre les acteurs. Qui plus est, la part des investissements alloués aux projets d’énergies renouvelables n’a pas forcément augmenté depuis l’étude précédente de Novethic en 2012, elle a même parfois diminué et seules 7 entreprises déclarent vouloir augmenter leur part de financements environnementaux. Enfin, ces financements verts ne sont pas mis en perspective avec le financement des énergies fossiles, ce que dénoncent plusieurs rapports d’ONG, comme celui des Amis de la Terre et de Bank Track2.

Le moins que l'on puisse écrire est que l'engagement du secteur financier à assumer sa responsabilité sociétale en ce domaine semble inversement proportionnel au tombereau de publications et autres rapports annuels vantant cette même responsabilité ! Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais…

Mais, n'avons-nous pas notre mot à dire ? C'est quant même l'argent que nous déposons sur leurs comptes d'épargne que les banques utilisent pour financer ces énergies fossiles ! C'est-à-dire notre argent ! Faisons connaître notre opinion à nos banques et exigeons d'elles qu'elles la respecte !


1 Voir l'article signé par des nombreuses associations et publié dans l'Echo le 12 février 2015 "Désinvestissement fossile : nécessité économique et impératif éthique"

2 Charbon : l'argent sale des banques françaises, octobre 2014. Novethic, Quelle contribution des banques et assurances européennes ?, février 2015.

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15/06/2015
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Juin