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La finance à impact

Soumis par Anonyme le

À côté des fonds dits « socialement responsables » se développe depuis quelques années le concept d’investissement à impact. Cette analyse vise à définir en quoi ce type de produit diffère des fonds ISR et à évaluer si l’argent investi sert bien positivement la société et l’environnement.

En quelques mots :

  • Bien qu’il n’existe pas de définition officielle, le consensus veut que l’investissement à impact comprenne plusieurs aspects : l’intention de générer un impact positif, l’additionnalité, la mesure de l’impact et le retour sur investissement.
  • Le « retour social » n’est pas toujours facile à mesurer en raison d’un manque de données fiables.
  • Si le risque de « green washing » ou « social washing » existe, il faut noter l’intérêt de la mesure de l’impact étant donné qu’elle contraint ceux·celles qui s’y engagent à détailler ce sur quoi ils·elles pensent exercer une influence et à quelle hauteur.
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20/10/2020
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Octobre

Le don monétaire, pour compléter le système monétaire

Soumis par Anonyme le

Les Etats du monde entier s’endettent pour combattre les conséquences de la pandémie Covid-19 comme ils l’ont fait à la suite de la crise des subprimes en 2008. Partout sur la planète, en flagrante contradiction avec les théories monétaristes de Milton Friedman  qui, théoriquement, inspirent leurs actions, les Banques centrales rachètent une importante partie de cette dette publique. Elles la monétisent. Pourtant, l’Union européenne est, à nouveau, paralysée par l’absence de solidarité interétatique et la remise en cause de sa politique monétaire. Les Etats européens sont incapables de mettre sur pied des programmes transnationaux d’ampleur suffisante pour faire face aux défis qui demandent d’importants financements non récurrents comme les conséquences de la pandémie Covid-19 ou la transition écologique.

Pour y répondre, nous proposons le mécanisme du don monétaire européen. Il s’agit d’un don de monnaie de la Banque centrale à l’autorité publique européenne, par création monétaire pure, sans intermédiaire, libre d’endettement, destiné exclusivement à financer des investissements publics ou à réaliser des actions jugées d’intérêt collectif majeur. Cette proposition, probablement jugée utopique par ceux qui n’ont pas encore perçu les conséquences des évolutions monétaires des dix dernières années, pourrait être une source d’inspiration avant longtemps pour permettre aux Etats d’engager les indispensables politiques en réponse aux défis du temps présent. Cette proposition de don vise à compléter le système monétaire actuel, pas à le bouleverser.

A propos de l'auteur :

Cette étude a été produite par André Peters, sociologue de la monnaie, certifié en Finances publiques, cadre dans le secteur financier, Auteur, chercheur associé d’Etopia, membre des éconologistes et membre bénévole chez Financité.

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20
Date d'édition
20/10/2020
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Octobre

Relancer le commerce grâce à la monnaie locale

Soumis par Anonyme le

Relancer le commerce grâce à la monnaie locale

Morgane Kubicki

Plusieurs communes ont déjà annoncé des plans de relance de la consommation avec un commun : elles s’appuient sur la monnaie locale déjà présente sur le territoire.

Quatre millions d’euros, c’est le montant que la ville de Charleroi a décidé de consacrer à la relance de la consommation. Enfin des euros, pas vraiment. Car pour s’assurer que ce montant profitera au commerce du pays noir, la ville a décidé de distribuer des Carol’Ors, la monnaie locale déjà en circulation depuis l’an dernier. C’est ainsi qu’à la rentrée, chaque habitant·e recevra dans son portefeuille un coupon d’une valeur de 20 Carol’Ors à dépenser dans les commerces locaux membres du réseau.

Mais Charleroi n’est pas la seule ville à s’être appuyé sur la monnaie locale pour imaginer un plan de relance post Covid-19. C’est justement l’épidémie de Covid-19 qui a poussé à la création d’un billet qui a un petit côté « commémoratif » à Gembloux. La ville a en effet demandé au collectif citoyen qui gère la monnaie locale de l’Orno de créer un billet de 19 Orno pour l’occasion. Un clin d’œil, mais aussi une manière d’inciter les habitant·e·s à dépenser en monnaie locale, puisqu’un billet de 19 Orno ne coûte en réalité que 10 euros à la maison communale mais permet bien de dépenser l’équivalent de 19 euros chez les commerçant·e·s de la région.

À Ath, la commune a fait plus direct : chaque Athois·e de plus de 18 ans recevra un chèque de 5 SolaToi (la monnaie locale en question) à dépenser dans les commerces locaux. À Tournai, il faudra avoir entre 18 et 25 ans pour recevoir 20 Yar, la monnaie citoyenne du Tournaisis et les dépenser parmi les prestataires.

La commune de Wellin, elle, en a profité pour rejoindre le mouvement en devenant la douzième commune à adopter l’Ardoise comme monnaie locale dans la province du Luxembourg. Elle a décidé de distribuer ces billets aux personnes ayant subi un chômage économique durant le confinement. Ils·elles sont déjà 80 à avoir profité de cette aide de 50 Ardoises, soit l’équivalent de 50 euros.

Du papier au système électronique

Vu l’ampleur de certains de ces plans de relance, il a aussi fallu revoir le format de ces « bons de soutien à l’économie locale » qui n’existaient jusqu’ici sur format papier. « Les initiatives des villes vont avoir un impact important sur la circulation des billets de monnaies locales, mais avec le système de paiement électronique, c’est une nouvelle dimension », se réjouit Nicolas Franka, responsable du développement du système de paiement chez Financité.

Le Voltî, monnaie locale condrusienne, et le Val’heureux, dans la région de Liège, s’étaient déjà lancées dans la version électronique de la monnaie locale. Le Carol’Or viennent de faire leur apparition sur nos smartphones et la Zinne, avec l’initiative de la commune de Berchem-Sainte-Agathe (lire en page 26) devrait s’y mettre bientôt.

« Le système de paiement électronique supprime le frein de l’impression des billets et de la conversion des euros, détaille Nicolas Franka. Avec son développement, nous voulons accentuer le rôle de la monnaie locale, autrement dit la faire circuler pour soutenir le commerce local. »

D’autres initiatives communales sont déjà en cours de préparation, mais elles ne sont pas les seules visées par les collectifs citoyens qui gèrent les monnaies locales. Prochaine étape : impliquer les entreprises locales en les incitant à distribuer, pourquoi pas, des chèques-cadeaux en monnaie locale à leurs employé·e·s.

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01/09/2020
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Septembre

La finance expliquée : L'assouplissement monétaire (ou Quantitative Easing, QE)

Soumis par Anonyme le

Derrière une kyrielle de mots techniques et de programmes alambiqués qui prétendent sauver l’économie européenne se cachent en réalité un financement public du secteur bancaire et des grands groupes internationaux. Explication.

Depuis la crise des subprimes et à nouveau lors de cette crise du Covid-19, la Banque centrale européenne (BCE) promet de faire « tout ce qu’il faut » pour sauver l’euro et le système banco-financier européen. Pour ce faire, elle permet aux banques commerciales d’accéder à un puits quasi sans fond d’argent fraîchement imprimé (ou plutôt tapé sur un clavier d’ordinateur).

En effet, la BCE détient le pouvoir de créer autant d’unités de compte (appelés euros) qu’elle le désire. Et elle ne s’en prive pas, avec déjà plus de 2 700 milliards créés depuis 2014. Mais où vont ces milliers de milliards? Les traités européens interdisent à la BCE de financer directement les États dans les moments difficiles. Alors la BCE décide d’aider… le secteur financier.

Et oui, car ces fameux programmes permettent avant tout aux banques de revendre les titres et actifs dont elles souhaitent se débarrasser afin d’alléger leur bilan et de rétablir leur solvabilité. Pour peu qu'ils soient éligibles, la BCE les rachète.

Cela va-t-il aider l’économie réelle ?

Ces nouveaux euros tout frais ne sont pas les mêmes que ceux dans votre portefeuille ou sur votre compte en banque. Il s’agit uniquement de réserves centrales. De la monnaie exclusivement destinée à circuler entre les agents du secteur bancaire sur ce qu’on appelle le marché interbancaire (dont nous parlions dans notre numéro de mars). Place virtuelle où la BCE et les banques commercent entre elles.

Ces liquidités n’ont donc aucune raison, a priori, de finir dans l’économie réelle. Le seul espoir étant que le secteur bancaire daigne regarder du côté de l’économie réelle en prêtant de l’argent aux ménages et petites entreprises grâce à ses réserves plutôt que vers les marchés financiers. Vœux pieux.

Alors, qui en profite ?

Comme on a pu le voir depuis la mise en place de ces programmes à grande échelle en 2014, l’impact pour les citoyen·ne·s est risible. Après 6 ans de pratiques et plus encore au Japon et aux États-Unis, le constat est sans appel : ces programmes favorisent d’abord les banques et les grands groupes internationaux.

Car le diable est dans les détails, et notamment niché dans les centaines de pages qui établissent les règles de fonctionnement de ces programmes. Quels titres une banque peut-elle revendre à la BCE? Uniquement ceux jugés éligibles. Il y a d’une part, les obligations d’États, ce qui revient en quelque sorte à refinancer les États mais en laissant les juteuses marges de cette création monétaire au secteur bancaire. Car puisque les banques savent qu’elles pourront revendre ces obligations à la BCE au moindre problème, elles n’ont plus aucun frein pour les acheter. D’autre part, il y a les titres de grands groupes cotés en bourses qui ont vu leur cote, justement, croître significativement à la suite de ces assouplissements.

Le nouveau programme annoncé et ses 750 milliards (extensibles) changera-t-il la donne pour permettre de financer, par exemple, la transition verte tant nécessaire? Non. Le message de la BCE est clair : « aucun critère vert ne sera appliqué ». Les critères d’achats des titres des grands groupes sont, eux, reconduits.

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14/06/2020
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Juin

Agences bancaires itinérantes, une solution alternative aux agences en dur ?

Soumis par Anonyme le

Chaque année, le nombre d’agences bancaires et de distributeurs de billets diminue. Pour les client·e·s non digitalisé·e·s, ces suppressions sont un véritable frein à l’utilisation des services bancaires. Pour pallier à la suppression des agences en dur, certaines banques ont mis en place des agences itinérantes. Cette analyse vise à déterminer si la mise en place d’un tel service en Belgique fait sens.

En quelques mots :

  • C’est en Ecosse en 1946 qu’est née l’idée de l’agence bancaire itinérante.
  • Aujourd’hui, on trouve ce service dans plusieurs pays européens.
  • Un service similaire mériterait d’être envisagé en Belgique pour servir les client·e·s des zones plus reculées.
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27/07/2020
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Juillet

L'investissement socialement responsable 2020 - Synthèse

Soumis par Anonyme le

« Investir éthiquement et de manière responsable », « investir socialement et durablement », « financer la transition énergétique ». Ces mots sont sur toutes les lèvres. Celles des investisseur·euse·s, de la société civile, mais aussi des législateur·rice·s compétent·e·s en la matière. Tou·te·s ces acteur·rice·s affirment se saisir de ces enjeux, et espèrent faire entendre leur voix et leur vision d’une finance socialement responsable.

Et pour cause, la finance est un outil extrêmement puissant pour façonner notre économie et notre société. Elle peut autant permettre de répondre à des besoins réels de financement pour sortir des groupes ou des personnes de la précarité qu’orienter massivement des flux financiers vers une économie décarbonnée, durable, responsable.

Mais toutes ces avancées en matière d’investissement socialement responsable répondent-elles à une vision commune ? Est-ce que tou·te·s ces acteur·rice·s entendent s’occuper – en plus de la rentabilité financière - des préoccupations sociales, éthiques, de gouvernance ainsi qu'environnementales (nommés communément ESG) liées à leur investissement de la même manière ?

En réalité, tous ces produits financiers dits ISR constituent une jungle dans laquelle il est difficile de s’y retrouver. Le défi de cette étude est d’en dresser un portrait, le plus fidèle possible en Belgique, afin que l'investisseur·euse (particulier, entreprise ou encore institution publique) qui souhaite placer son argent de manière responsable puisse s'y retrouver.

Pour son quinzième rapport sur l’ISR, le Réseau Financité cherche à donner à l'investisseur·euse, qui voudrait investir de manière responsable, davantage de transparence sur l'offre actuelle du marché. En effet, la finalité de l’ISR reste un des enjeux majeurs d'une société qui va devoir changer ses modes de fonctionnement et de consommation : investir de façon plus responsable, en prenant en considération des aspects environnementaux, sociaux, de gouvernance et d'éthique permet d'espérer une transition de l'économie vers un monde plus juste pour tou·te·s.

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15/07/2020
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Juillet

L'investissement socialement responsable 2020

Soumis par Anonyme le

« Investir éthiquement et de manière responsable », « investir socialement et durablement », « financer la transition énergétique ». Ces mots sont sur toutes les lèvres. Celles des investisseur·euse·s, de la société civile, mais aussi des législateur·rice·s compétent·e·s en la matière. Tou·te·s ces acteur·rice·s affirment se saisir de ces enjeux, et espèrent faire entendre leur voix et leur vision d’une finance socialement responsable.

Et pour cause, la finance est un outil extrêmement puissant pour façonner notre économie et notre société. Elle peut autant permettre de répondre à des besoins réels de financement pour sortir des groupes ou des personnes de la précarité qu’orienter massivement des flux financiers vers une économie décarbonnée, durable, responsable.

Mais toutes ces avancées en matière d’investissement socialement responsable répondent-elles à une vision commune ? Est-ce que tou·te·s ces acteur·rice·s entendent s’occuper – en plus de la rentabilité financière - des préoccupations sociales, éthiques, de gouvernance ainsi qu'environnementales (nommés communément ESG) liées à leur investissement de la même manière ?

En réalité, tous ces produits financiers dits ISR constituent une jungle dans laquelle il est difficile de s’y retrouver. Le défi de cette étude est d’en dresser un portrait, le plus fidèle possible en Belgique, afin que l'investisseur·euse (particulier, entreprise ou encore institution publique) qui souhaite placer son argent de manière responsable puisse s'y retrouver.

Pour son quinzième rapport sur l’ISR, le Réseau Financité cherche à donner à l'investisseur·euse, qui voudrait investir de manière responsable, davantage de transparence sur l'offre actuelle du marché. En effet, la finalité de l’ISR reste un des enjeux majeurs d'une société qui va devoir changer ses modes de fonctionnement et de consommation : investir de façon plus responsable, en prenant en considération des aspects environnementaux, sociaux, de gouvernance et d'éthique permet d'espérer une transition de l'économie vers un monde plus juste pour tou·te·s.

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Le cash : un outil de résilience sous-estimé

Soumis par Anonyme le

Les anti-cash ne manquent pas d’arguments pour promouvoir une société sans argent liquide. Mais les pièces et les billets, moyen d’échange et de commerce depuis la nuit des temps, n’ont pas dit leur dernier mot. Cette analyse vise à exposer pourquoi le cash est un outil de résilience.

En quelques mots :

  • Les pièces et les billets sont le seuls à avoir cours légal.
  • Le cash permet de faire face à des crises, qu’elles soient financières ou techniques.
  • L’argent liquide permet aussi de réduire notre dépendance au système bancaire.
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06/07/2020
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Juillet

Le cash : quelques arguments discutables contre l'argent liquide

Soumis par Anonyme le

Dépassé, peu sûr, très onéreux, coûteux, favorisant le blanchiment d’argent, le financement d’activités illicites et l’évasion fiscale, et, depuis l’arrivée du Covid-19, possible transmetteur de virus et microbes, l’argent liquide aurait donc bien des défauts. Cela fait beaucoup pour des pièces et des billets qui nous servent de monnaie d’échange depuis la nuit des temps. Cette analyse vise à discuter de la pertinence des arguments anti-cash.

En quelques mots :

  • Ce sont essentiellement les acteurs du secteur des paiements électroniques, et dans une certaine mesure les autorités publiques, qui sont à l'origine de l’offensive pour une société sans argent liquide
  • Certains arguments en défaveur du cash sont exacts, mais les alternatives ne sont pas nécessairement meilleures.
  • L’argent liquide est un bien commun, public, qui nécessite des mesures publiques pour assurer sa pérennité aux côtés des options de paiement électroniques innovantes.
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01/07/2020
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Juillet

Relocaliser la production énergétique

Soumis par Anonyme le

L’énergie est un des piliers de nos sociétés modernes et nous concernent tou∙te∙s à de nombreux égards. Plus spécifiquement, le développement des sources d’énergies renouvelables est incontournable pour freiner le dérèglement climatique. Or, le pouvoir de décision et les retombées financières liés à ces activités restent le plus souvent entre les mains de groupes internationaux. Mais le secteur est en pleine mutation et une réorientation vers plus de décentralisation et de démocratie est aujourd’hui à l’œuvre. Alors que les économies et les communautés locales font face à de sombres perspectives suite à la pandémie du coronavirus, comment s’assurer que ce tournant leur soit profitable ?

En quelques mots :

  • Le modèle actuel favorise les grands groupes industriels.
  • Mais les coopératives citoyennes de production et de fourniture d’énergie renouvelables se sont largement développées au cours des quinze dernières années.
  • Pour cela, ces coopératives ont besoin d’outils de financement adéquats.
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30/06/2020
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