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La finance expliquée : Le marché interbancaire

Soumis par Anonyme le

Depuis leur création, les banques commerciales se prêtent et s’échangent des réserves sur ce qu’elles appellent le marché interbancaire. Elles y utilisent une monnaie qui n’appartient qu’à elles, mais qui influence l’ensemble de l’économie.

« La banque centrale craint de nouveaux stress sur le marché des liquidités et considère de nouvelles injections pour assurer le fonctionnement et la transmission de la politique monétaire. » Déjà entendu ce charabia ? Derrière ce jargon d’expert·e·s se cache l’une des places les plus importantes de notre modèle économique : le marché interbancaire.

Depuis leur création, les banques commerciales ont pris pour habitude de s’échanger et de se prêter des réserves des dépôts des client·e·s. Imaginez vous en 1720. Vous avez un certificat (un bout de papier) de la banque A qui promet de vous rendre 100 Louis d’or sur présentation de ce document. Vous pouviez (sous réserve) l’échanger à la banque B et obtenir vos précieuses pièces.

Tous les soirs, les banques se retrouvent alors pour s’échanger les certificats qu’elles ont perçus des autres banques. Dans ce cas, la banque A devait s’acquitter du montant de 100 Louis d’or aux gérant·e·s de la banque B. Si la banque n’avait pas les moyens, elle pouvait les emprunter en attendant le lendemain qu’un·e client·e fasse la même opération dans l’autre sens. Naturellement, cela avait un coût. Le marché des dettes et créances interbancaires était né.

Mais que s'échangent-elles aujourd'hui ?

Cela fait des décennies maintenant que le secteur ne prend plus la peine de faire croire que les bouts de papiers et montants électroniques sur les comptes client·e·s sont couverts par de l’or. Néanmoins, les banques utilisent aujourd’hui un substitut : les « réserves banque centrale ».

Cette monnaie, émise par la Banque centrale, ne circule qu’entre les acteur·rice·s bancaires et la banque centrale ellemême. En réalité, elles sont le quasi-équivalent des billets et des pièces, mais en format électronique. La BCE impose d’avoir 1 % de l’équivalent des dépôts en réserve sous cette forme pour s’assurer que les banques commerciales pourront bien fournir les liquidités nécessaires à leurs client·e·s.

Ce que l’on appelle une « crise des liquidités » limite la disponibilité de ces réserves aux banques commerciales. Elles deviennent alors incapables d’opérer les transactions entre les particulier·ère·s ou de permettre des
retraits aux guichets. C’est la triste histoire survenue en Grèce et ailleurs suite à la crise de 2008.

C’est pour éviter cela que la Banque centrale européenne a « injecté des liquidités » dans le secteur bancaire. Entendez : elle a permis aux banques d’obtenir ces fameuses réserves à bas coût, voire en étant rémunérées. Le montant de ces injections s’élève aujourd’hui à 1 700 milliards d’euros. Les rouages beignent dans l’huile. Et pourtant, malgré le calme revenu sur le marché interbancaire, l’effet escompté (encourager la reprise économique en aidant les banques à prêter aux particulier·ère·s) se fait toujours attendre.

Car aujourd’hui, ce marché sert toujours aux banques à réaliser le « clearing » (s’effacer leurs dettes mutuelles). Mais de la même manière, c’est aussi le lieu de prédilection pour se prêter des « réserves », des « liquidités » et autres produits financiers au taux fixé par un mécanisme entre les banques. Ce taux, c’est l’Euribor (ou le Libor sur la place financière de Londres). Un nom qui rappelle nombre de scandales de manipulation opérés par un cartel bancaire en 2005 et invite dès lors à rester attentif à ces pratiques réservées aux « expert·e·s » sur un marché qui leur appartient mais où les conséquences, bien réelles, impactent le quotidien de millions de personnes.

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La finance expliquée : L'assouplissement monétaire (ou Quantitative Easing, QE)

Soumis par Anonyme le

Derrière une kyrielle de mots techniques et de programmes alambiqués qui prétendent sauver l’économie européenne se cachent en réalité un financement public du secteur bancaire et des grands groupes internationaux. Explication.

Depuis la crise des subprimes et à nouveau lors de cette crise du Covid-19, la Banque centrale européenne (BCE) promet de faire « tout ce qu’il faut » pour sauver l’euro et le système banco-financier européen. Pour ce faire, elle permet aux banques commerciales d’accéder à un puits quasi sans fond d’argent fraîchement imprimé (ou plutôt tapé sur un clavier d’ordinateur).

En effet, la BCE détient le pouvoir de créer autant d’unités de compte (appelés euros) qu’elle le désire. Et elle ne s’en prive pas, avec déjà plus de 2 700 milliards créés depuis 2014. Mais où vont ces milliers de milliards? Les traités européens interdisent à la BCE de financer directement les États dans les moments difficiles. Alors la BCE décide d’aider… le secteur financier.

Et oui, car ces fameux programmes permettent avant tout aux banques de revendre les titres et actifs dont elles souhaitent se débarrasser afin d’alléger leur bilan et de rétablir leur solvabilité. Pour peu qu'ils soient éligibles, la BCE les rachète.

Cela va-t-il aider l’économie réelle ?

Ces nouveaux euros tout frais ne sont pas les mêmes que ceux dans votre portefeuille ou sur votre compte en banque. Il s’agit uniquement de réserves centrales. De la monnaie exclusivement destinée à circuler entre les agents du secteur bancaire sur ce qu’on appelle le marché interbancaire (dont nous parlions dans notre numéro de mars). Place virtuelle où la BCE et les banques commercent entre elles.

Ces liquidités n’ont donc aucune raison, a priori, de finir dans l’économie réelle. Le seul espoir étant que le secteur bancaire daigne regarder du côté de l’économie réelle en prêtant de l’argent aux ménages et petites entreprises grâce à ses réserves plutôt que vers les marchés financiers. Vœux pieux.

Alors, qui en profite ?

Comme on a pu le voir depuis la mise en place de ces programmes à grande échelle en 2014, l’impact pour les citoyen·ne·s est risible. Après 6 ans de pratiques et plus encore au Japon et aux États-Unis, le constat est sans appel : ces programmes favorisent d’abord les banques et les grands groupes internationaux.

Car le diable est dans les détails, et notamment niché dans les centaines de pages qui établissent les règles de fonctionnement de ces programmes. Quels titres une banque peut-elle revendre à la BCE? Uniquement ceux jugés éligibles. Il y a d’une part, les obligations d’États, ce qui revient en quelque sorte à refinancer les États mais en laissant les juteuses marges de cette création monétaire au secteur bancaire. Car puisque les banques savent qu’elles pourront revendre ces obligations à la BCE au moindre problème, elles n’ont plus aucun frein pour les acheter. D’autre part, il y a les titres de grands groupes cotés en bourses qui ont vu leur cote, justement, croître significativement à la suite de ces assouplissements.

Le nouveau programme annoncé et ses 750 milliards (extensibles) changera-t-il la donne pour permettre de financer, par exemple, la transition verte tant nécessaire? Non. Le message de la BCE est clair : « aucun critère vert ne sera appliqué ». Les critères d’achats des titres des grands groupes sont, eux, reconduits.

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Juin

FINANCITÉ MAGAZINE n°59 : PERMIS DE POLLUER

Soumis par Anonyme le

Financité Magazine n°59

Au sommaire

4/ Dossier

Plus les riches deviennent riches, plus ils·elles émettent de CO2. Et ce quand bien même ils·elles ont accès à des modes de consommation plus onéreux et moins polluants. Parmi les individus les plus émetteurs de la planète, on retrouverait les 1 % plus riches américain·e·s, luxembourgeois·es, singapourien·ne·s et saoudien·ne·s. Alors pour sauver l’humanité sur cette planète, beaucoup s’accordent à dire qu’il faut absolument réduire les inégalités qui sont largement corrélées aux émissions polluantes des pays. Sauf que pour le faire, il faut certainement prendre le risque de mettre en péril l’ordre social et financier.

10/ La finance expliquée : Les zinzins

11/ Interview : "On peut se féliciter d'avoir forcé les banques à se capitaliser"

12/ Analyses
En route pour l'agence bancaire itinérante
A vendre (et à financer) : énergie 100% belge
Payer les banquier·ère·s en fonction de leur impact sur le monde

18/ Actus

20/ Finance solidaire :Manger avec l'économie sociale

21/ Campagne : Dehors les seniors ?

22/ Monnaies citoyennes : Relancer le commerce grâce à la monnaie locale

23/ Les expert·e·s du quotidien : Par téléphone, que des arnaques ?

24/ Régions

30/ Le mouvement Financité

32 Sans filtre : Une semaine dans le désert bancaire

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Septembre

Agences bancaires itinérantes, une solution alternative aux agences en dur ?

Soumis par Anonyme le

Chaque année, le nombre d’agences bancaires et de distributeurs de billets diminue. Pour les client·e·s non digitalisé·e·s, ces suppressions sont un véritable frein à l’utilisation des services bancaires. Pour pallier à la suppression des agences en dur, certaines banques ont mis en place des agences itinérantes. Cette analyse vise à déterminer si la mise en place d’un tel service en Belgique fait sens.

En quelques mots :

  • C’est en Ecosse en 1946 qu’est née l’idée de l’agence bancaire itinérante.
  • Aujourd’hui, on trouve ce service dans plusieurs pays européens.
  • Un service similaire mériterait d’être envisagé en Belgique pour servir les client·e·s des zones plus reculées.
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27/07/2020
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Le cash : un outil de résilience sous-estimé

Soumis par Anonyme le

Les anti-cash ne manquent pas d’arguments pour promouvoir une société sans argent liquide. Mais les pièces et les billets, moyen d’échange et de commerce depuis la nuit des temps, n’ont pas dit leur dernier mot. Cette analyse vise à exposer pourquoi le cash est un outil de résilience.

En quelques mots :

  • Les pièces et les billets sont le seuls à avoir cours légal.
  • Le cash permet de faire face à des crises, qu’elles soient financières ou techniques.
  • L’argent liquide permet aussi de réduire notre dépendance au système bancaire.
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Juillet

Le cash : quelques arguments discutables contre l'argent liquide

Soumis par Anonyme le

Dépassé, peu sûr, très onéreux, coûteux, favorisant le blanchiment d’argent, le financement d’activités illicites et l’évasion fiscale, et, depuis l’arrivée du Covid-19, possible transmetteur de virus et microbes, l’argent liquide aurait donc bien des défauts. Cela fait beaucoup pour des pièces et des billets qui nous servent de monnaie d’échange depuis la nuit des temps. Cette analyse vise à discuter de la pertinence des arguments anti-cash.

En quelques mots :

  • Ce sont essentiellement les acteurs du secteur des paiements électroniques, et dans une certaine mesure les autorités publiques, qui sont à l'origine de l’offensive pour une société sans argent liquide
  • Certains arguments en défaveur du cash sont exacts, mais les alternatives ne sont pas nécessairement meilleures.
  • L’argent liquide est un bien commun, public, qui nécessite des mesures publiques pour assurer sa pérennité aux côtés des options de paiement électroniques innovantes.
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Relocaliser la production énergétique

Soumis par Anonyme le

L’énergie est un des piliers de nos sociétés modernes et nous concernent tou∙te∙s à de nombreux égards. Plus spécifiquement, le développement des sources d’énergies renouvelables est incontournable pour freiner le dérèglement climatique. Or, le pouvoir de décision et les retombées financières liés à ces activités restent le plus souvent entre les mains de groupes internationaux. Mais le secteur est en pleine mutation et une réorientation vers plus de décentralisation et de démocratie est aujourd’hui à l’œuvre. Alors que les économies et les communautés locales font face à de sombres perspectives suite à la pandémie du coronavirus, comment s’assurer que ce tournant leur soit profitable ?

En quelques mots :

  • Le modèle actuel favorise les grands groupes industriels.
  • Mais les coopératives citoyennes de production et de fourniture d’énergie renouvelables se sont largement développées au cours des quinze dernières années.
  • Pour cela, ces coopératives ont besoin d’outils de financement adéquats.
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Juin

FINANCITÉ MAGAZINE n°58 : LES DIVIDENDES DANS LE FEU DE L'ACTION

Soumis par Anonyme le

Financité Magazine n°58

Au sommaire :

4/ Dossier

Début avril, toutes les grandes banques européennes (ou presque) ont annoncé de concert qu’elles renonçaient au paiement du dividende. Il faut soutenir la relance économique, aider les petites entreprises, accorder des reports de paiement aux particulier·ère·s. Le secteur annonce vouloir « prendre ses responsabilités » et « faire preuve de solidarité ». Mais surtout, il va aussi falloir faire face à des pertes importantes pour ce secteur qui se  plaint depuis plusieurs années déjà de sa rentabilité trop faible. L’autorité de contrôle prévient : ce n’est pas le moment pour les banques d’être généreuses avec leurs actionnaires.

10/ La finance expliquée : L’assouplissement monétaire

11/ Interview : Dans la finance, les règles du succès sont définies au masculin

12/ Analyses
To beer or not to beer
Comment l’université a tué la diversité de la pensée économique
Même coupée du réel, la finance l’affecte

18/ Actus

20/ Finance solidaire : S'impliquer dans l'économie sociale

21/ Campagne : Les seniors encore plus abandonnés

22/ Monnaies citoyennes : Les monnaies en confinement

23/ Les expert·e·s du quotidien : Gratter et gagner, c'est possible ?

24/ Régions

30/ Le mouvement Financité

32 Sans filtre : Distance sociale, opium du peuple

 

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Juin

Économie réelle et finance, deux sphères distinctes ?

Soumis par Anonyme le

On oppose souvent les termes d’économie réelle et d’économie financière. La première serait la somme des échanges concrets entre ménages, entreprises et particulier·ère·s alors que la seconde n’aurait aucun flux « réel » correspondant. Cette analyse vise à définir ces deux sphères et la façon dont elles intéragissent.

En quelques mots :

  • Économie réelle et financière sont deux choses différentes.
  • On peut néanmoins s’accorder sur une frontière, pas totalement arbitraire.
  • Même coupée du réel, la finance a une influence sur lui.
  • Pour limiter les effets négatifs, il faut revenir aux principes de la finance solidaire
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Juin

Relocaliser la filière brassicole

Soumis par Anonyme le

Cette analyse tente de répondre à une question simple : « peut-on et est-il souhaitable de remplacer les gros producteurs de bières par de petites brasseries locales »

En quelques mots :

  • La question de la relocalisation peut se traiter au niveau de la production, des ingrédients et de la distribution.
  • Si l’on voulait satisfaire la demande annuelle belge à partir de microbrasseries qui produisent moins de 1.000 hl/an, il faudrait 7.000 microbrasseries, soit 20 fois plus que maintenant, ou 35 brasseries de taille moyenne.
  • Certains estiment qu’à hectolitres produits égaux, il y a onze fois plus de personnes en moyenne qui sont embauchées dans une brasserie artisanale que dans une brasserie industrielle.
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