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FINANCITÉ MAGAZINE n°61 : LE PRIX POUR PAYER

Soumis par Anonyme le

Financité Magazine n°61
Au sommaire

4/Dossier

Il y a 10 ans, au début de l’ère digitale des institutions bancaires, ces dernières se vantaient volontiers de pouvoir offrir un compte entièrement gratuit à leurs client·e·s. Mais force est de constater que ces comptes gratuits disparaissent les uns après les autres. Les banques traditionnelles font face à la concurrence de nouvelles institutions qui proposent des produits à prix cassé, en théorie. Car pour proposer une offre gratuite, les banques doivent bien gagner leur vie sur d’autres produits.

12/ La finance expliquée : La titrisation

14/ En toute mauvaise foi : Sortez Walmart de la liste noire !

15/ Les expert·e·s du quotidien : PayPal, utile ou dangereux ?

16/ Hervé Kempf : "Le capitalisme s'est armé pour survivre"

18/ Analyses

Les supermarchés coopératifs sont-ils vraiment les gagnants de la crise ?

Une épargne-pension durable, réalité ou libellé ?

2% ou 2° C ?

24/ Finance solidaire

La ville en transition

(S')investir dans les énergies alternatives

La planète de la finance solidaire

27/ Monnaies citoyennes : 2020, l'Odyssée des monnaies

30/ Le mouvement Financité : comprendre la finance par l'homéopathie ?

31/ Campagne

32/ Régions

38/ Notre actualité

39/ Oui, mais

40/ Sans filtre : La finance pire que le casino

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Mars

2° ou 2% ? Quel objectif pour une banque centrale ?

Soumis par Anonyme le

La Banque nationale de Belgique invite les citoyen·ne·s et la société civile à s’exprimer sur le travail de l’institution. Cette analyse vise à clarifier son rôle et son mandat. Elle pose la question : la Banque nationale pourrait-elle avoir d’autres objectifs que la seule stabilité des prix ?

En quelques mots :

  • On comprend bien pourquoi éviter une inflation trop forte ou négative est un objectif légitime et peut être vu comme condition nécessaire à tout développement économique.
  • L’urgence climatique ne semble pas modifier, en soi et dans l’immédiat en tout cas, la mission première de l’organisation.
  • D’autres objectifs pourraient être la croissance (plus ou moins verte), le plein emploi ou la réduction des inégalités.
     
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Décembre

Finance climat : coup de sang des banques après de nouveaux rapports des ONG

Soumis par Anonyme le

Les ONG mettent un nouveau coup de pression sur les banques. À deux jours du Climate Finance Day, qui réunit les grands acteurs financiers, Oxfam a publié un rapport intitulé "Banques : des engagements climat à prendre au 4ème degré". L’ONG y estime que les financements et investissements réalisés par les banques françaises vont conduire à un réchauffement climatique de plus de quatre degrés d'ici à 2100. Une interprétation que les établissements bancaires, réunis au sein de la Fédération bancaire française (FBF), rejettent avec véhémence.

"Chiffres datés" pour BNP Paribas, données qui "ne reflètent pas les efforts significatifs engagés ces dernières années" pour la Société Générale, ou bien encore chiffrage "fondamentalement faux" pour le Crédit Agricole. Les banques s’agacent des accusations des ONG, qui ne semblent pas prendre en compte leurs engagements récents. Lors d’une conférence téléphonique, Laurent Mignon, président du directoire du groupe BPCE (Banque Populaire et Caisse d’Épargne) et président de la commission climat de la FBF, a déploré que certains "cherchent à faire évoluer (les pratiques) par la stigmatisation". Il rappelle que les banques françaises ont investi 41 milliards d'euros dans les énergies renouvelables en 2019, soit une hausse de 57 % en trois ans, bien supérieure à la croissance du secteur sur la même période.

Engagements insuffisants pour les ONG

Les établissements bancaires reprochent à Oxfam sa méthode de calcul, qui aboutit à un double comptage de certaines émissions. Ils jugent aussi que le chiffre de quatre degrés annoncé pour le réchauffement s'appuie sur l'hypothèse d'une poursuite des activités à l'identique jusqu'à 2100, ce qui n'est pas conforme à leurs objectifs.

Les principales banques françaises ont ainsi signé en 2019 les Principes pour la banque responsable (Principles for responsible banking, PRB), une initiative soutenue par l’ONU qui les engage à aligner leurs activités sur l’Accord de Paris. Leurs filiales dédiées à l’investissement sont par ailleurs signataires des PRI, les Principes pour l’investissement responsable également soutenus par l’ONU. Des engagements jugés insuffisants pour les ONG. Les établissements financiers "n'ont pas pris d'engagements révolutionnaires qui permettraient de rester sous la barre des 4 degrés, et c'est toute la logique du rapport" que de le montrer, affirme ainsi Alexandre Poidatz. De manière plus générale, Lucie Pinson, présidente de Reclaim Finance, souligne que "pendant des années, ils se sont tourné les pouces".

Chacun dans son rôle

La question du désengagement des énergies fossiles cristallise les désaccords entre banques et ONG. La FBF souligne les politiques de désengagement du charbon annoncées en 2019, saluées à l'époque par les organisations écologiques. Pour les ONG, cela ne suffit plus. "Nous sommes très contents, mais il faut aller plus loin. Il faut le même engagement, le même processus, sur le pétrole et le gaz", a réagi Alexandre Poidatz, auteur du rapport d'Oxfam France. Les hydrocarbures conventionnels conservent une part importante dans les portefeuilles des quatre plus grandes banques françaises (BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale et BPCE). Selon Oxfam, "les crédits aux entreprises actives dans le secteur du pétrole et gaz uniquement représentent plus de 40 % des émissions de CO2 de leur portefeuille de crédits aux entreprises".

BNP Paribas a été l’un des premiers acteurs financiers à annoncer un désengagement du gaz de schiste et des sables bitumineux, en 2017. Le premier groupe bancaire européen rappelle toutefois que "le pétrole reste encore aujourd'hui incontournable dans un grand nombre d'activités vitales pour nos concitoyens". "Chacun est dans son rôle", tranche Michel Cardona, spécialiste du secteur financier pour le groupe de réflexion I4CE, qui traite de l'économie et du climat. Il appelle à la prudence concernant les études sur le sujet, aucune méthode de calcul ne faisant consensus, mais il leur reconnaît toutefois un "fort pouvoir de communication". Du fait de la pression des ONG, les banques "se défendent, donnent des informations et prennent des engagements qu'elles n'auraient peut-être pas pris sinon", ajoute-t-il, citant le charbon.

 

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Un rapport d’Oxfam sur les banques françaises a mis le feu aux poudres. L’ONG estime que les financements et investissements des banques les mettent sur une trajectoire de réchauffement climatique à 4 degrés. "Faux", répondent les banques, qui font valoir leurs engagements récents pour aligner leurs politiques sur l’Accord de Paris.

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Octobre

BlackRock, Vanguard… Les grands investisseurs américains ne votent toujours pas pour le climat

Soumis par Anonyme le
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L’engagement actionnarial est en peine aux États-Unis. L’enquête annuelle de Majority Action montre que les grands investisseurs continuent de voter contre bon nombre de résolutions sur le climat. Et le régulateur met en place de nouvelles règles qui rendront le dépôt de résolutions externes plus difficile qu’avant.

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Octobre

Climate Action 100+ pousse l’engagement actionnarial un cran plus loin

Soumis par Anonyme le

Climate Action 100+ serre la vis. Tout comme la Commission européenne, dont la présidente Ursula von der Leyen vient de proposer de réduire de 55 % les émissions de gaz à effet de serre de l'Europe d'ici 2030, la coalition veut demander un effort supplémentaire aux entreprises qu'elle suit. Ce groupe de plus de 500 investisseurs mondiaux représentant 47 000 milliards d’euros d’actifs sous gestion, a lancé un appel aux 161 sociétés les plus émettrices de gaz à effets de serre afin qu’elles définissent des stratégies de neutralité carbone. En 2021, l’organisation éditera son nouveau cadre de référence d’engagement actionnarial, le "Climate Action 100+ Net-zero company benchmark", avec pour ambition de clarifier ce qui constitue réellement une politique de neutralité carbone.

Ce nouvel outil contiendra six indicateurs permettant aux investisseurs d’analyser les stratégies climatiques des entreprises. Parmi ceux-ci, les investisseurs devront vérifier si l’entreprise a affiché son ambition d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 ou avant et, surtout, si elle a défini des objectifs à court et moyen terme pour y parvenir. Le référentiel de Climate Action 100+ mentionne par ailleurs que cette neutralité carbone s’entend sur les scopes 1, 2 et 3 de l’entreprise. 

"Soutenus par l’engagement actionnarial, nous voyons des engagements encourageants et des leaders de la neutralité carbone émerger, mais un changement plus important est requis de manière urgente si on veut limiter le changement climatique à 1,5 degré", confie Stephanie Pfeifer, la directrice générale de l’Institutional Investors Group on Climate Change (IIGCC) et membre du comité de direction de Climate Action 100+.

Favorablement accueilli

Ce rehaussement des exigences de Climate Action 100+ a été accueilli favorablement par Follow This, l’organisation d’actionnaires spécialisés dans les compagnies pétrolières. Jusque là, Follow This estimait que les négociations menées par la coalition d’investisseurs avec les majors pétrolières aboutissaient à des résultats trop tièdes. Le cas s’est posé cette année à l’Assemblée générale de Total. Climate Action 100+ appuyait la politique climat ambitieuse du groupe, résultat d’un dialogue qu’elle avait mené. Mais la coalition d'investisseurs n'avait pas soutenu la résolution actionnariale demandant au pétrolier de s’engager plus loin, notamment en tenant compte du scope 3.

"C’est une grande victoire pour le climat que Climate Action 100+ reprenne nos demandes pour des objectifs spécifiques d’émission alignés sur l’Accord de Paris pour les compagnies pétrolières. Cela a été une question clé dans les résolutions actionnariale de Follow This depuis 2017", déclare Mark van Baal, le fondateur de Follow This. 

Climate Action 100+ prévoit de publier les détails de son nouveau référentiel en 2021, sans doute à temps pour la saison des Assemblées générales. Ce sera justement à ce moment-là que cette nouvelle politique de la coalition d’investisseurs prendra toute sa mesure. 

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Climate Action 100+ demande aux entreprises les plus émettrices de gaz à effet de serre de faire un nouvel effort sur le climat. La coalition d’investisseurs veut pousser les 161 entreprises de son panel, à s’engager pour la neutralité carbone d’ici 2050 sur les trois scopes. Elle va publier un nouveau cadre d'engagement actionnarial, pour fixer aux entreprises des objectifs chiffrés à moyen terme alignés sur l’Accord de Paris.

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Septembre

FINANCITÉ MAGAZINE n°59 : PERMIS DE POLLUER

Soumis par Anonyme le

Financité Magazine n°59

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4/ Dossier

Plus les riches deviennent riches, plus ils·elles émettent de CO2. Et ce quand bien même ils·elles ont accès à des modes de consommation plus onéreux et moins polluants. Parmi les individus les plus émetteurs de la planète, on retrouverait les 1 % plus riches américain·e·s, luxembourgeois·es, singapourien·ne·s et saoudien·ne·s. Alors pour sauver l’humanité sur cette planète, beaucoup s’accordent à dire qu’il faut absolument réduire les inégalités qui sont largement corrélées aux émissions polluantes des pays. Sauf que pour le faire, il faut certainement prendre le risque de mettre en péril l’ordre social et financier.

10/ La finance expliquée : Les zinzins

11/ Interview : "On peut se féliciter d'avoir forcé les banques à se capitaliser"

12/ Analyses
En route pour l'agence bancaire itinérante
A vendre (et à financer) : énergie 100% belge
Payer les banquier·ère·s en fonction de leur impact sur le monde

18/ Actus

20/ Finance solidaire :Manger avec l'économie sociale

21/ Campagne : Dehors les seniors ?

22/ Monnaies citoyennes : Relancer le commerce grâce à la monnaie locale

23/ Les expert·e·s du quotidien : Par téléphone, que des arnaques ?

24/ Régions

30/ Le mouvement Financité

32 Sans filtre : Une semaine dans le désert bancaire

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15/09/2020
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Septembre

Relocaliser la production énergétique

Soumis par Anonyme le

L’énergie est un des piliers de nos sociétés modernes et nous concernent tou∙te∙s à de nombreux égards. Plus spécifiquement, le développement des sources d’énergies renouvelables est incontournable pour freiner le dérèglement climatique. Or, le pouvoir de décision et les retombées financières liés à ces activités restent le plus souvent entre les mains de groupes internationaux. Mais le secteur est en pleine mutation et une réorientation vers plus de décentralisation et de démocratie est aujourd’hui à l’œuvre. Alors que les économies et les communautés locales font face à de sombres perspectives suite à la pandémie du coronavirus, comment s’assurer que ce tournant leur soit profitable ?

En quelques mots :

  • Le modèle actuel favorise les grands groupes industriels.
  • Mais les coopératives citoyennes de production et de fourniture d’énergie renouvelables se sont largement développées au cours des quinze dernières années.
  • Pour cela, ces coopératives ont besoin d’outils de financement adéquats.
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Juin

Banking on climate change - Fossil fuel finance report 2020

Soumis par Anonyme le

Financial companies are increasingly being recognized — by their clients, shareholders, regulators, and the general public — as climate actors, with a responsibility to mitigate their climate impact. For the banks highlighted in this report, the last year has brought a groundswell of activism demanding banks cut their fossil fuel financing, at the same time that increasingly extreme weather events have further underscored the urgency of the climate crisis.

This report adds up financing from 35 private-sector banks to the fossil fuel industry, summing their leading roles in lending and underwriting of debt and equity issuances. These 35 banks from Canada, China, Europe, Japan, and the U.S. have together funneled USD $2.7 trillion into fossil fuels in the four years since the Paris Agreement was adopted (2016-2019). The biggest fossil bank over that time was JPMorgan Chase, followed by its U.S. peers: Wells Fargo, Citi, and Bank of America. Over those four years, RBC was the biggest fossil bank in Canada, MUFG in Japan, Barclays in Europe, and Bank of China in China. 

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Mars

Outgrowing growth: why quality of life, not GDP, should be our measure of successhi

Soumis par Anonyme le

Mainstream economics still thinks growth is essential, but this blind belief in GDP is just enriching the rich and killing the planet. We don’t need more growth to improve people’s lives. By working less, buying and producing less, and investing in public services, we can improve quality of life – and fight the climate crisis.

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19/03/2020
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Mars

FINANCITÉ MAGAZINE n°56 : ALERTE FINANCE SUR LE CLIMAT

Soumis par Anonyme le

Financité Magazine, nouvelle formule !

Dans ce nouveau numéro de Financié Magazine, vous retrouverez les dossiers habituels, ainsi que de nouvelles pages pour toujours mieux comprendre la finance.

Sommaire

4/ Dossier : alerte climat sur  la finance

Fin 2017, un tiers des prêts aux entreprises accordés par les banques concernait un secteur « à forte intensité énergétique ». Si elles annoncent à grands coups de communication leurs engagements pour le climat, les énergies fossiles restent une part conséquente de leur activité. Car si ces activités portent préjudice à la planète, elles rapportent encore gros du point de vue purement financier. Mais si les dérèglements climatiques qu’ils provoquent finissaient par porter préjudice aux affaires des banques ? Un enjeu à plusieurs trillions de dollars qui pourraient perdre toute valeur.

10/ La finance expliquée : Helicopter money

11/ Tribune : "On n'illustre pas la finance, on la rend digeste"

12/ Analyse

  • Seniors : les oubliés de la digitalisation bancaire
  • Too big to fail, mais encore ?
  • L'hawala : une raison supplémentaire pour assurer l'inclusion financière

18/ Actus

20/ Finance solidaire : Entreprise sociale chercher citoyen·ne prêt·e à s'engager

21/ Organisation solidaire : Pour la justice fiscale

22/ Monnais citoyennes : Et de quinze

23/ Les expert·e·s du quotidien : Crédit 0%, une arnaque ?

24/ Régions

30/ Le mouvement Financité

32/ Sans filtre

 

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Décembre